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 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.

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Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  Empty
Sujet: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  EmptyLun 3 Oct 2016 - 15:35

Nathanael Svensson

   
35 ans • Américain • Hétérosexuel • En couple...?
   Ecole de la rue • Propriétaire d'un Night Club (mafieux) • Aisé • Feat. Cillian Murphy

   
QUI ES-TU?
   
Nathanael. On dit des gens qui portent ce prénom qu’ils ont un courage et une volonté de fer, qu’ils feraient tout pour atteindre un objectif qu’ils se sont fixé. On dit qu’ils ont un tempérament de guerrier, qu’ils ne supportent ni l’ennui, ni la monotonie. On dit aussi qu’ils sont romantiques et expansifs. Comme quoi, on dit parfois de belles conneries. Svensson. Nom suédois. Nom d’un homme parti de son pays natal, aspirant à une vie meilleure. Nom d’un père qui l’a toujours effrayé, avec qui il n’est jamais parvenu à s’entendre. Cependant, Nathanael est américain. Peut-être possède-t-il la nationalité suédoise, mais si tel est le cas, il n’en sait rien. 35 ans, dont dix passées entre quatre murs, c’est déprimant quant on y pense. En couple ? Oui, c’est peut-être cela qu’il devrait dire. Mais il n’appartient à personne, même s’il ne fait aucun doute à ses yeux qu’elle est sienne. Les femmes, bien sûr qu’il les aiment. Beaucoup trop d’ailleurs, à en croire Sacha. Riche, c’est bien ce qu’il est et il n’a pas honte de le dire. Il aime les belles choses et ne se refuse rien. D’où vient l’argent ? Du night-club qu’il possède bien sûr, l’Eden. Une petite partie est gagnée tout à fait légalement. Pour le reste… Disons simplement qu’il sait y faire ? Cela ferait-il de lui un mafieux ? Certainement, mais il s’en fiche. Il aime ce train de vie et n’y renoncerait pour rien au monde.


   


   
PORTRAIT CHINOIS
   
Merci d'essayer de te limiter à un ou deux mots par question !

   • Première chose à laquelle tu penses au réveil: Fumer.
   • Première chose que tu fais en rentrant le soir: Appeler ma soeur.
   • Une musique qui te fait changer d’humeur en un rien de temps: U-Turn (Lili) - AaRON
   • L'activité qui te remonte toujours le moral: Un petit tour sous la couette en charmante compagnie.
   • Si ta vie était un film, ce serait: Legend


   • Ce qui te fait le plus facilement pleurer: Rien. Je ne pleure pas. Jamais.
   • Ton plus grand complexe: Avoir une faiblesse, une seule.
   • Ta plus grande fierté: Mon night-club.
   • Ton mot préféré: Baiser.
   • Le meilleur motif pour raccrocher au nez de quelqu'un au téléphone, à tes yeux: L'ennui.


   • Définis-toi avec une expression: Quand le vin est tiré, il faut le boire.
   • Ta personnalité en un mot: Excessif
   • Ta personnalité (au lit) en un mot: Doué ?
   • Plutôt sexe ou abstinence ? Sexe, bien évidemment !
   • Tu as le pouvoir de changer le monde. Que fais-tu ? Je tue l'homme qui a brisé la vie de ma soeur avant qu'il ne le fasse.


   


   
CASIER JUDICIAIRE
   
Sur le casier de Nathanael, sept lettres sautent aux yeux : meurtre. Accusation qu'il n'a jamais cherché à réfuter, même pour sauver ses fesses. Condamné à 12 ans d'emprisonnement grâce aux circonstances atténuantes, il n'en fera finalement que 10. Remise de peine pour bonne conduite qu'ils lui ont dit. Si seulement ils avaient su... En regardant plus loin dans le passé, on retrouve son nom (ainsi que celui de son frère Derek) inscrit dans la liste des suspects d’affaires non-élucidés ; vol, recel et trafic de drogue notamment. Aujourd’hui, il apparait comme étant rangé, autant qu’on puisse l’être lorsqu’on tient un night-club, mais il n’apprécierait tout de même pas que la police vienne y fourrer son nez au mauvais moment; prostitution, trafic de drogue et blanchiment d’argent règnent en maitre à l’Éden. Jusque là, Nathanael s’en sort à merveille, mais sa chance tournera-t-elle de nouveau ?


   


   
PRÉNOM: Laura. PSEUDO: Evolia ÂGE & ANNIVERSAIRE: 20 ans, 5 septembre. PAYS: France.  GROUPE(S) SOUHAITÉ(S): Usual Suspects NIVEAU DE RP: je serais pas trop dire PRÉSENCE: Variable en fonction des cours. PERSONNAGE: Mi-inventé on va dire ? xD AIMERAIS-TU PARTICIPER À L'INTRIGUE DU MOMENT? Oui OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM? Un petit oiseau m'en a parlé (a) QU'EN PENSES-TU? Le design me perturbait un peu mais maintenant ça va, j'adore ** ANCIEN MEMBRE DE FRAT/L.A.P.D.? Nop ! AUTRES COMPTES: // SOUHAITES-TU T'INSCRIRE AU MP DE MASSE? (Obligatoire s'il ne s'agit pas d'un double compte) Oui [x] Non [ ] TA PLUS GRANDE PEUR VIS-À-VIS DU FORUM? Avoir du mal à m'intégrer peut-être ? UN DERNIER MOT? :heart:
   
Code:
<span class="bottinpris">◼️ Cillian Murphy</span> • Nathanael Svensson
   


   


   
AVATARS ©️ Tik Tok ; ICON ©️ solarrygold (tumblr)


Dernière édition par Nathanael Svensson le Sam 8 Oct 2016 - 12:14, édité 8 fois
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Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  Empty
Sujet: Re: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  EmptyLun 3 Oct 2016 - 15:35

Mon histoire commence ici ...

   
« Trop de gens traversent la vie en attendant que les choses arrivent au lieu de faire en sorte qu’elles se produisent »

   

   

   
Oui, j’ai fait des erreurs. La vie ne vient pas avec des instructions.

   Le père de Nathanael vient de Suède. Il n’a jamais vraiment connu la richesse là-bas et a toujours rêvé de partir pour découvrir d’autres horizons. Aussi, quand il a rencontré Elizabeth (Liz), et qu’elle lui a demandé de le suivre jusqu’à Los Angeles d’où elle était originaire, il n’a pas hésité une seconde. Rien ne le rattachait réellement à son pays natal. Cependant, il n’a jamais vécu le rêve américain. L’adaptation a été difficile et il n’est pas plus riche ici qu’il ne l’était là-bas. Nath’ a toujours vu ses parents travailler très dur, parfois jusqu’à l’épuisement, pour un salaire moindre et peu, voire carrément aucune reconnaissance.

Il est né en 1981 à Los Angeles. Son frère Derek le précède de quelques années et en 1984, la jolie Coleen vient compléter leur fratrie.

Sur son enfance, rien de très original à raconter. Elle ne fut pas malheureuse, mais peut-être pas heureuse non plus. Nathanael n’a jamais pu quitter Los Angeles, les vacances n’étant pas un luxe que ses parents pouvaient leur payer. D’autre part, son père a toujours été très exigeant, surtout avec Derek et avec lui, et n’hésitait jamais à user de sa force lorsqu’il jugeait que c’était nécessaire. C’est sans doute cette violence non soupçonnée à l’origine qui entraîna petit à petit Liz vers la dépression. Nathanael est aujourd’hui encore très proche de sa mère, mais entretient des relations tendues avec son paternel, qui ont souvent tendance à tourner à l’affrontement.

1988-1995 : À l’école, c’est un enfant objectivement plutôt mauvais. Il ne manque pas d’intelligence, mais le système scolaire l’ennuie prodigieusement et malgré les réprimandes parfois musclées de son père, on ne peut pas dire qu’il fasse le moindre effort pour s’y adapter. Parallèlement à cela, il suit plus ou moins les traces de son frère et traine beaucoup dans la rue avec lui. Ses premières bagarres surviennent alors qu’il a à peine 12 ou 13 ans et il s’avère qu’il s’en tire relativement bien à chaque fois, surtout parce qu’il n’a pas peur, sans être imprudent pour autant. Il sait analyser une situation et juger de ses meilleures chances de s’en sortir, ce qui l’aide encore quotidiennement dans la vie qu’il mène aujourd’hui.

1995 - 1999 : Petit à petit, il s’éloigne de l’école, se débrouillant plus ou moins pour que ses parents ne se rendent pas compte qu’il sèche presque tout le temps. Il commence aussi à commettre ses premiers délits. Rien de bien grave; quelques vols à l’arraché et des petites arnaques, mais c’est plus ou moins là que tout commence sans qu’il ne s’en rende réellement compte. Après tout, c’est plus facile de prendre ce que l’on désire que de travailler pour l’obtenir non ? C’est en tout cas ce qu’il pense, d’autant plus lorsqu’il voit qu’avec quelques vols il peut se payer ce que ses parents mettront des semaines et des semaines à avoir en trimant 10h par jour. Derek et lui se rapprochent beaucoup durant cette période, parce qu’ils doivent bien se serrer les coudes pour se couvrir l’un et l’autre lorsqu’ils rentrent à la maison. D’autre part, le fait d’appartenir à la même fratrie leur donne une certitude que toutes les bandes ne peuvent pas avoir : si l’un des deux se fait arrêter, il est clair qu’il ne balancera jamais l’autre, plutôt mourir.

1999 : Coleen n’a que 15 ans lorsqu’un gars que Nathanael connait pour le voir trainer dans son quartier régulièrement commence à lui tourner autour. Ce type ne lui plait pas, pas du tout même. Sans être au courant de tout, il sait qu’il trempe dans beaucoup plus grave que lui. Non pas que cela le dérangerait en temps normal, chacun fait bien ce qu'il veut, mais c’est forcément le cas lorsqu’il s’agit de sa soeur. Malgré ses avertissements et ses menaces, un couple finit par se former entre eux deux. Les relations du frère et de la soeur se détériorent beaucoup à cette période, parce que Nathanael ne peut s’empêcher de veiller de manière insistante sur Coleen, notamment pour s’assurer qu’elle ne va pas trop loin et qu’elle ne se laisse pas entraîner par son copain. Sa vigilance n’aura servi à rien; lorsqu’elle revient à la maison en pleurs, les jambes tremblantes et les vêtements plus ou moins déchirés, il comprend ce qui est arrivé sans qu’elle ait besoin de lui dire. « Je m’en occupe » Ce sont les seuls mots qu’il prononce tout en sortant de la pièce, ignorant les supplications de sa soeur qui l’incite à ne rien faire.

La rage l’aveugle lorsqu’il se retrouve face à celui qui vient de prendre par la force l’innocence de Coleen. Un petit échange verbal entrecoupé de provocation de la part du garçon, qui ne nie rien et se vante au contraire de ce qu’il vient de faire, suffit à faire basculer Nathanael. La loi de la rue opérant, personne n’appelle la police malgré les cris qui résonnent, mais qui finissent par s’éteindre lorsque le jeune homme achève son adversaire d’un adroit - et dernier - coup de poing. C’est les vêtements et les poings maculés de sang à force d’avoir frappé qu’il rejoint la demeure familiale, sans répondre aux questions pressantes de sa soeur et de Derek, mis au courant de la situation. Lorsque la police vient le chercher, il a eu le temps de se changer et c’est la tête haute, vêtu d’une chemise propre et de son plus beau pantalon qu’il les suit jusqu’au commissariat. La seule chose qu’il daigne dire lors de ses interrogatoires, c’est qu’il ne regrette absolument pas son geste. Qu’aurait-il dû faire après tout ? Fermer les yeux et laisser sa soeur souffrir et croiser tous les jours l’homme qui lui avait fait du mal ? Cependant, jusqu’au jour du procès, personne ne sait rien de ce qui a motivé son geste. Nathanael estime en effet que c’est à Coleen de raconter cette histoire si elle le veut. Si elle préfère garder le silence, il respectera son choix.

19 octobre 1999 : jour du procès. Même si l’affaire a été un peu médiatisée et qu’il y a du monde au tribunal, Nathanael n’est pas stressé. Il sait pourquoi il a fait ce qu’il a fait et il ne compte pas s’en excuser ni mentir. Il n’a aucun remords et ne s’en cache pas. C’est devant une assemblée médusée que Coleen prend la parole pour la première fois et explique comment son frère en est arrivé à tuer un homme. Le verdict ne tarde pas à tomber : grâce aux circonstances atténuantes, il écope de 12 ans d’emprisonnement, avec une remise de peine possible pour bonne conduite.

1999 - 2009 : Nathanael est incarcéré. En toute honnêteté, les débuts sont loin d’être faciles. Bien qu’il soit plutôt intelligent, il est surtout trop confiant. Les règles de la prison sont différentes de celles qu’il a pu expérimenter dans la rue et il lui faut le temps de l’apprendre. Il finit quelques fois à l’infirmerie, plutôt bien amoché, et atterrit à l’isolement pour avoir répondu aux coups qu’on lui a donnés. Son frère et Coleen lui rendent visite chaque semaine. Cela lui permettra de constater, non sans amertume et tristesse, que sa soeur n’arrive pas à se remettre de l’agression dont elle a été victime. Elle plonge petit à petit dans l’autodestruction pour échapper à ses démons sans que ni Nathanael ni Derek ne puissent rien y faire. Par contre, il n’a plus aucun contact avec son père, et sa mère vient le voir seulement lorsqu’il lui en donne l’autorisation, de moins en moins souvent au fil des ans.

Le jeune homme comprend très vite que pour survivre en prison, il ne doit clairement pas rester seul. Ici, ce n’est pas nécessairement le plus fort qui gagne, c’est celui qui parvient à créer les meilleures relations. C’est ainsi qu’il bascule progressivement, s’efforçant simplement de rester le plus discret possible sur ses activités. Entrer dans un gang est plutôt aisé lorsqu’on est incarcéré. Ce qui lui vaudra plus de difficulté, c’est de s’intégrer et de faire ses preuves, sans attirer l’attention du personnel pénitentiaire. C’est Ana qui l’y aidera bien malgré elle. Jeune visiteuse de prison qui lui écrit régulièrement et vient le voir plusieurs fois par mois. La séduire devient un défi de taille pour lui. Essentiellement parce qu’elle lui résiste et qu’il adore ça. Également, il ne faut pas se mentir, car elle ne manque pas de charme et que son caractère bien trempé le fait craquer. Petit à petit, Nathanael finit par arriver à ses fins. Dire qu’ils forment réellement un couple serait exagéré vu les circonstances, mais leur relation n’en est pas moins forte pour autant. La jeune femme aime les défis, et c’est sur cette facette de sa personnalité qu’il s’appuiera pour mettre en place son stratagème ; au début, il lui demande simplement de rencontrer Derek, qui peut ainsi lui transmettre plus librement certaines informations que lorsqu’il vient lui-même voir, notamment car ils se refusent à parler de ces choses-là devant leur soeur. La régularité des allées et venues d’Ana et son statut de visiteuse depuis quelques années lui permettent d’échapper à la surveillance rapprochée des matons. Ainsi, leurs conversations ne sont pas épiées, ou seulement très peu. Cela lui permet de remettre un pied dans les affaires alors même qu’il est toujours enfermé. Avec la complicité de son frère qui n’a pas peur de se mouiller, il peut ainsi rendre régulièrement des services au gang, qui lui valent d’acquérir le respect et la place de choix qu’il recherchait tant. Après quelques mois, Nathanael se débrouille également pour faire passer des objets à sa petite amie, notamment des lettres contenant des informations qui ne doivent pas tomber entre les mains de n’importe qui. Il est clair que l’on contrôle ce qui entre dans la prison lors des visites, mais beaucoup moins ce qui en sort. Malgré tout, les sentiments qu’il a pour Ana sont réels. Il joint simplement l’utile à l’agréable, sans jamais oublier d’être prudent. Il sait qu’il peut jouer avec le feu, mais il ne veut clairement pas se brûler.

21 septembre 2004 : Une journée que Nathanael n’a jamais pu oublier. La première durant laquelle il a vraiment ressenti à quel point ça pouvait faire mal d’être emprisonné, d’être coupé du monde, sans aucun moyen instantané de communication. Ce jour-là, Derek et Coleen étaient censés venir le voir, comme chaque semaine, mais au moment où il est arrivé au parloir, on lui a signalé que personne n’était là pour lui. Première fois que ça arrivait en cinq ans. Nécessairement, il s’est inquiété. D’autant que Derek lui avait fait savoir par le biais d’Ana que leur cadette n'allait pas bien ces derniers temps. Une énième aventure amoureuse qui aurait mal tourné et qui l’aurait poussé vers ses vieux démons, comme à chaque fois. Nathanael aurait tout donné pour pouvoir passer un coup de téléphone. Juste quelques secondes, juste pour s’assurer que rien de grave ne s’était produit. Mais c’était impossible, alors il n’a pu qu’attendre. Attendre et s’imaginer les pires scénarios, jusqu’à ce que l’un des gardiens arrive à sa cellule pour lui faire savoir que l’hôpital venait d’appeler et que sa soeur avait fait une tentative de suicide. « Elle a sauté du haut d’un pont. Elle est en vie, mais son état est critique. » Quelques mots prononcés sur un ton neutre, sans compassion, comme s’il venait simplement lui parler de la pluie et du beau temps. C’est tout ce qu’on lui a donné avant de le laisser à nouveau. Plus seul que jamais malgré les murmures qu’échangeaient ses compagnons de cellule pour commenter la nouvelle. Lui, il ne pouvait que rester là et serrer les dents pour étouffer le cri de rage qui menaçait de s’échapper de sa gorge à tout moment. Sans broncher, sans bouger, sans même espérer pouvoir voir Coleen. Parce que si elle était en vie, rien ne justifiait qu’il quitte cette prison. Alors il a attendu, encore et toujours, ne pouvant s’empêcher de se dire que la prochaine fois que son geôlier viendrait, ce serait peut-être pour lui annoncer que sa soeur avait succombé à ses blessures. L’inutilité, l’impuissance, et la culpabilité d’avoir agit trop tard, d’avoir attendu que cet homme brise la vie de Coleen avant de régler le problème de manière définitive. Pourquoi n’avait-il pas réussi à l’éloigner alors qu’il savait parfaitement que cette relation était nocive pour elle et que ça se finirait mal ? Pourquoi n’avait-il pas employé la force, plutôt que de s’obstiner à lui coller aux basques sans jamais rien faire ? Et pourquoi était-il là et non à ses côtés alors qu’elle était entre la vie et la mort ? Rien n’était logique dans tout cela, et lui, il avait l’impression qu’il allait finir par tuer quelqu’un à nouveau à force de tourner dans sa cellule comme un lion en cage en attendant qu’on daigne lui donner des nouvelles.

L’hospitalisation de Coleen dure des semaines entières, qui finissent d’ailleurs rapidement par se transformer en mois. Elle est plongée dans un coma artificiel et ses multiples blessures ne permettent pas aux médecins d’assurer clairement que son pronostic vital n’est plus engagé. « C’est un miracle qu’elle soit en vie » disent-ils tous à la famille de Nathanael. Comme si c’était une consolation de la savoir vivante, tout en imaginant qu’elle puisse ne jamais se réveiller, ou qu’elle garde des séquelles irréversibles qui l’empêcheront de mener sa vie normalement. L’enfermement devient une torture à supporter pour le jeune homme, qui s’isole autant qu’il le peut des autres détenus pour éviter de faire ressortir l’agressivité et la colère qu’il sent monter en lui. Chaque semaine, il attend la visite de son frère en espérant une amélioration de la situation. Seule Ana essuie sa mauvaise humeur sans broncher, continuant à lui écrire et à venir le voir même s’il est plus qu’imbuvable avec elle. Lorsque Coleen peut enfin être sortie du coma, il apparait que les lésions les plus graves se trouvent au niveau de la colonne vertébrale. Personne ne sait si elle pourra remarcher un jour, et en attendant d’avoir des réponses, elle est condamnée à rester en fauteuil et à supporter la rééducation sans savoir si elle peut aboutir à quelque chose. Si Derek semble presque soulagé de cette issue, Nathanael est effondré et peine clairement à le cacher. Il connait sa soeur, il sait à quel point elle aime être active, faire du sport, de longues marches, avoir l’opportunité de partir seule se balader dès qu’elle en a envie. Tout cela lui est interdit désormais, et même si son frère s’efforce de lui répéter que ce n’est pas sa faute, le jeune homme a l’impression d’être le seul et unique responsable de ce qui arrive.

2009 Après dix ans passés derrière les barreaux, Nathanael est libéré. On lui fait grâce des deux dernières années, puisque mis à part quelques rappels disciplinaires lors de sa première année d’incarcération, il semble s’être conduit à merveille. Tout du moins, c’est ce que croient le personnel et l’administration pénitentiaire, et il n’a pas l’intention de les détromper. Pour lui, c’est aussi grisant qu’angoissant de retrouver sa vraie vie. S’imaginer aller où bon lui semble et faire les choses lorsqu’il en a envie sans qu’on ne puisse lui donner d’ordre lui parait complètement irréel. D’autant que sa libération sonne aussi le début de sa vie d’adulte, puisqu’il était à peine majeur lorsqu’il avait commencé à purger sa peine. D’un autre côté, il sait parfaitement qu’il n’aura que très peu de temps à s’accorder. La place dans le gang qu’il a rejoint implique des responsabilités ; maintenant qu’il est libre, il doit faire en sorte de pouvoir continuer à leur rendre service. C’est dans cette optique que quelques mois à peine après sa libération, il investit dans l’achat d’un immense entrepôt qu’il a l’intention de transformer en night-club.

2009-2015 Sa relation avec Ana ne tarde pas à prendre fin. Peut-être étaient-ils faits pour s’aimer uniquement à distance ? Peut-être la prison leur donnait-elle un goût d’interdit qu’ils ne pouvaient retrouver à l’extérieur ? Toujours est-il qu’elle le trouve trop distant et que lui ne supporte pas de sentir tous ses faits et gestes observés et jugés. D’autre part, elle n’admet pas que malgré ses années d’incarcération, rien n’ai réellement changé pour lui ; le goût des arnaques et de la transgression est toujours là, et si elle a fait avec pendant longtemps, elle n’en est plus capable, pas maintenant qu’il est libre. Elle aspire à quelque chose qu’il ne pourra certainement jamais lui apporter; la tranquillité. C’est elle qui prend la décision de partir, mais comme pour donner le change, il ne peut s’empêcher de prononcer les mots qu’elle a tant craint d’entendre depuis le début de leur relation. « Je ne t’ai jamais aimé Ana. Tu m’as été utile, c’est tout. » C’est faux bien sûr. Même si leur relation était particulière, Nath’ sait que ses sentiments n’en étaient pas moins réels pour autant. Mais s’il souffre de la séparation, il est clair qu’elle souffrira aussi.

Nouvellement célibataire, et pas si triste que cela de l’être en définitive, il consacre tout son temps et toute son énergie disponible à l’aménagement de l’entrepôt. Les arnaques passées ainsi que les services rendus au gang durant ses années de prison lui ont permis d’amasser pas mal d’argent, qu’il n’hésite pas à dépenser pour que tout soit exactement comme il l’imagine. Ce projet, il le porte à bout de bras et s’y investit sans concessions, comme pour rattraper le temps perdu. Bien évidemment, l’objectif premier est de pouvoir se servir du club comme couverture, mais il n’empêche qu’il apprécie beaucoup l’idée que cet endroit lui appartienne et donne beaucoup de sa personne pour qu’il soit à son image. Comme toujours, il peut compter sur l’aide de Derek qui, en plus de participer à l’aspect purement technique de la construction parvient à le canaliser et à l’empêcher de brûler des étapes inutilement. Nathanael se plonge également corps et âme dans le monde de la nuit, ignorant royalement les risques que cela implique. Drogue, alcool, sexe, il ne s’interdit rien. Après tout, il a passé presque un tiers de sa vie derrière les barreaux, il est hors de question qu’il passe le restant à faire attention à lui et à sa santé. Tout le monde meurt de quelque chose et à choisir, lui préfère le faire en s’amusant.

2015 : Tout va pour le mieux. Le night-club a enfin pu ouvrir il y a de cela quelques mois et les affaires sont florissantes. Après s’être cantonné à ce qui était légal pendant quelque temps pour éviter d’attirer l’attention sur lui, il passe un accord avec le propriétaire d’un casino voisin, chez qui il se fournit en partie en drogues, tout en ayant l’assurance d’être prévenu en cas de descente de police ou autre danger. De plus, il a un concurrent en moins puisqu’ils conviennent d’éviter de marcher sur les plates-bandes de l’autre, tout du moins lorsque c’est possible. Dans un tel contexte, où il est entièrement tourné vers le travail et profite simplement de ses soirées de libre pour voir sa famille, ou traîner dans son club lorsqu’il en a l’occasion, jamais il n’aurait pensé faire une telle rencontre. C’est à l’Eden qu’il la voit pour la première fois. Un an plus tard, Nathanael est encore incapable de mettre des mots sur ce qu’il a ressenti à ce moment précis. Sacha dansait et dès qu’il l’a aperçu il n’y avait plus qu’elle. C’est comme si tout le reste avait disparu. On aurait pu lui parler, lui annoncer une catastrophe, il ne l’aurait même pas entendu. La boite aurait pu prendre feu, il n’aurait sans doute rien vu. Tout ce qu’il était capable de faire, c’était d’observer cette sublime jeune femme blonde qui se déhanchait au rythme de la musique. Bien évidemment, il n’a pu s’empêcher d’aller l’aborder et la détresse qu’il a très vite ressentie chez elle l’a profondément touché, sans doute parce qu’elle lui était douloureusement familière. Il ne saurait pas l’expliquer, et c’est certainement mieux comme ça, mais il a su qu’ils étaient liés, qu’il y avait quelque chose de très particulier entre eux avant même d’apprendre à la connaitre. Elle est cette personne à qui il ne peut s’empêcher de penser, celle autour de qui son monde s’est mis à tourner sans même qu’il ne s’en aperçoive. Sauf qu’elle est libre Sacha, indépendante. Et que lui, il n’arrive pas à l’accepter et à lui laisser l’espace dont elle a besoin. Il l’étouffe, il l’emprisonne, il l’oppresse sans parvenir à se contrôler. L’idée qu’un autre l’approche ou qu’elle s’en aille lui est insupportable et lui fait faire des choses dont il ne se serait jamais cru capable. Pas pour quelqu’un d’autre, et encore moins pour une femme. Lui qui ne supporte pas l’idée d’appartenir à quelqu’un voudrait qu’elle soit à lui, et cela le terrorise bien plus qu’il n’est capable de l’admettre. Le monde dans lequel Nathanael vit est dur, cruel, et bien qu’il ait tenté de l’en tenir écarté le plus longtemps possible, Sacha semble maintenant s’y plonger à corps perdu, sans concessions, sans tenir compte des risques qu’elle encourt. Le pire, c’est que jusque là, elle est diablement douée et qu’il réalise progressivement qu’elle lui devient indispensable. Uniquement pour le travail ? Oui, bien évidemment. Ou tout du moins, c’est ce qu’il aimerait pouvoir continuer à penser…

Prisonnier de cette relation et de plus en plus impliqué dans son travail, peut-être pour fuir le reste, Nathanael est incapable de dire de quoi l’avenir sera fait. Tout ce qu’il espère, c’est de pouvoir rester libre…

   
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Dernière édition par Nathanael Svensson le Lun 10 Oct 2016 - 9:58, édité 7 fois
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Santiago Holliday

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Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  Empty
Sujet: Re: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  EmptyLun 3 Oct 2016 - 15:51

Bienvenuuuuuue parmi nous ! Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2047593811 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2047593811
Et bon courage pour remplir ta fiche ! Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  3044280666
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Aaron Campbell

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Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  Empty
Sujet: Re: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  EmptyLun 3 Oct 2016 - 15:54

Tu nous as ramené le grand Cillian, je t'aime déjà. Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  3134170382
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Clarence M. Burns

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Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  Empty
Sujet: Re: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  EmptyLun 3 Oct 2016 - 15:56

Bienvenue parmi nous. Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2033325312 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2033325312 Ce personnage promet de dépoter, je crois qu'on aime bien tous Cillian et la badasserie ici. Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  3159414034 Trop de mystère, remplis-moi ça et vite. Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  1663500128
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Sacha Lewis

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Sujet: Re: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  EmptyLun 3 Oct 2016 - 15:58

Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  1686139153 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2416173883 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  879837853 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  1865705636 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  1726316410 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2169355921 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2229878663 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2584297093 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  3751583814 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2033325312 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  1645299156
Toi et moi, on va faire de grandes choses. Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  1663500128
Tu sais déjà à quel point je suis contente de te voir là mais je te le redis parce que trop de joie en moi là, tu imagines même pas. Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  3476840814
Hâte de lire ta fiche et surtout hâte de rp à nouveau avec toi. Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2033325312
(t'es trop parfaite en Cillian en plus Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  3305873184)
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Sujet: Re: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  EmptyLun 3 Oct 2016 - 16:03

Bienvenue parmi nous, hâte de voir ce personnage en action Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  1663500128
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Sujet: Re: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  EmptyLun 3 Oct 2016 - 17:22

Bienvenue sur LAPD, courage pour ta fiche ! Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  3618937294
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Sujet: Re: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  EmptyLun 3 Oct 2016 - 19:37

Welcooome
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Sujet: Re: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  EmptyLun 3 Oct 2016 - 21:30

@Krys Marshall Merci beaucoup Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2033325312

@Aaron Campbell Merciiii ! Et je ne peux que t'aimer aussi pour ce choix d'avatar Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  933260333 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  3305873184

@Clarence M. Burns Merci Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2117533474 Voilà déjà un petit bout, j'espère que ça lèvera le mystère, mais pas trop quand même (a)

@Sacha Lewis Graaaaaaah merci Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2033325312 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2033325312 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2033325312 Tu imagines pas à quel point je suis heureuse d'être là moi aussi :heart: Et j'ai telleeeeeement hâte de rp avec toi ici, je tiens plus en place Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  1865705636 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  1498042908

@Gabriel Davis OMG Jake Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2169355921 Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  3305873184 Merci pour l'accueil Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2033325312

@Oliver Penford Merciiiii Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  2117533474

@Hana Mars Merci beaucoup Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  3327754071
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Sujet: Re: Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.    Nathanael ▶ L'amour, c'est comme un oiseau qu'on tient entre ses mains: le laissant assez libre, il risque de s'envoler; le serrant assez fort, il risque de s'étouffer.  Empty

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