LA VIE N'EST PAS TOUJOURS ROSE.

Tout le monde pense que nous sommes tous heureux mais quand on rentre chez soit la plus part du temps ce n'est pas du tout ça. Mes parents peuvent être assez riche, mes parents on pu tout me payer mais ils ne m'ont jamais donner l'amour que j'ai du recevoir. Mes frères et sœur on tout eu. L'amour de deux parents, la joie de pouvoir partir en vacance avec eux, la joie de voir mes parents heureux. J'aurais aimer savoir pourquoi ils on fait ça, j'aurais aimer savoir pourquoi ils m'ont totalement délaisser. Depuis toute petite ils m'ont laisser a l'écart, depuis toute petite ils essayaient de me redonner l'amour qu'ils ne m'ont jamais donner avec de l'argent, en m'offrant tout se que je voulait mais en réalité ça n'a pas marcher. Quand mes frères et sœurs sont nés, je ne suis pas aller à la maternité, je ne voulais pas m'occuper d'eux vue tout l'amour que mes parents leurs donnaient. A l'âge de onze ans je suis partie en internat, mes parents ne me supportaient plus, je n'arrêtais pas de faire des crises. Mais je pense qu'ils n'auraient jamais du faire ça. Là-bas j'ai rencontré des personnes plus dur que moi, ils ont réussit a me redonner de la force dans les deux sens ; ils m'ont appris a me battre mais aussi a avoir un caractère assez fort. Tout, tout chez moi a changer. Quand je suis retourner chez mes parents mes crises n'étaient plus là, j'ai demander a mes parents de me faire retourner dans une école qui en valait la peine. Je voulais cacher toute cette haine, ce mal être que j'ai en moi. Quand je suis aller dans cette école je me suis retrouver avec un ami, je ne sais pas si c'était vraiment un ami au début. Bien sur nos pères se connaissait tellement bien vue qu'ils travaillaient ensemble mais s'entendait très bien. Au début quand je les revu j'avais l'impression d'être une petite enfant devant mais non, je me suis rappeler des paroles que l'on me répétait à l'internat « Soit forte, ne montre pas t'es faiblesse devant les autre. » Alors je relevais la tête et restait, moi-même ? Ou celle que je devais être. Mais se qui ma plus étonner c'est qu'on sait très rapidement attacher. Oui j'ai été amoureuse de lui au début, non je ne lui ai jamais dis, non je ne lui dirais jamais se que je fais, enfin, se que j'ai fais parce que c'est quelques choses qui ne se dit. Mes frères et sœurs ont bien souffert ainsi que mes parents. Je le regrette ? Je ne sais pas, je suis assez violente et ils s'en sont tous rendu compte. Le jour ou je me suis énerver, ou j'ai mal finit ou j'ai totalement exploser et que j'ai faillis envoyer des personnes a l'hôpital. Heureusement qu'il était là pour me contrôler : mon meilleur ami. Depuis ce jour là, je pense qu'il doit se douter de quelque chose, mais jamais, jamais je ne craquerais, jamais je ne lui dirais tout se que j'ai sur le cœur, jamais je ne réussirais a tout lui dire. Je pense que je suis trop faible pour ça ou je ne veux pas que l'on me voit aussi faible que ça. Je ne sais pas si être psy va résoudre mon état mais je suis bien, je suis le genre de personne ou je vais conseiller quand l'on a besoin mais je ne ferais jamais ça pour moi-même. Comme m'avouer quand je suis follement amoureuse d'une personne, comme m'avouer que je déteste mes parents et tout le reste de ma famille. Je ne serais jamais la petite fille que tout le monde pense que je suis, je ne me ferais jamais prendre pour se que j'ai pu faire, ou se que je peux faire -l'alcool et la fumette ne fais pas bon ménage ça me rend violente. Plus d'une fois je me suis faite arrêter mais le nom que je donnais à chaque fois n'était pas Eliza mais Delilha, mon deuxième prénom que très peu de gens connaissent.