L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
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| MINI TG N°1 - Dans le métro | |
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| Sujet: MINI TG N°1 - Dans le métro Sam 14 Jan 2017 - 14:45
| MINI TG N°1 Dans la rame du métro Vous marchez à travers les longs couloirs souterrains, déambulez dans cette fourmilière géante et impressionnante. Ici, les gens vont et viennent sans arrêt, comme si le temps ne s'arrêtait jamais. Vous rentrez dans la première rame que vous trouvez, jetez un coup d’œil rapide aux autres passagers avant de repartir dans vos pensées. Le métro démarre et c'est un nouveau jour qui commence, une autre routine qui se lance. Cela aurait pu être une journée comme une autre... Mais tout à coup, l'engin se stoppe brutalement. La surprise se lit sur le visages des personnes présentes autours de vous. Vous-même ne comprenez pas réellement ce qu'il se passe mais vous savez que ce genre de choses arrivent. Dans quelques minutes tout devrait être réglé. Du moins, vous l'espérez... Précisions sur le contexte ▶ Il est environ 7h30. La majorité des gens présents sont en route vers le travail ou vont à l'université. ▶ Il n'y a pour l'instant eu aucun message pour tenir au courant les passagers de la situation. Personne ne comprend ce qu'il se passe mais personne ne semble réellement inquiet. Comment intervenir ▶ Pour plus de lisibilité, écrivez vos dialogues en couleur et respectez la couleur de chacun. ▶ Mentionnez les personnes que vous citez dans vos RPs. ▶ Privilégiez les posts courts pour que le RP soit dynamique. ▶ Il n'y a pas d'ordre de passage. Les participants @Arizona Harper-Duval, @G. Brynn Rhodes, @Serafina Murillo, @Sacha Lewis, @Maxime R. Aldini et @Talya S. Adams CONTENU © TIK TOK POUR L.A.P.D. |
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| Sujet: Re: MINI TG N°1 - Dans le métro Mar 31 Jan 2017 - 20:20
| Elle a la rage Sacha. Les nerfs à vif. Son pas est rapide, presque violent. Il est à l’image de la colère qui l’anime en cet instant. Toi qui sais si bien me rendre folle… Inutile de demander qui a bien pu la mettre dans cet état, la réponse est toujours la même : Nathanael, évidemment. Qui d’autre hein ? Il n’y a que toi qui arrive à me toucher, à me blesser. Que toi qui parviens à faire voler en éclats toutes les limites que je m’impose. Ils se sont encore pris la tête pour une connerie, pour une broutille qui ne méritait pas tant de tension. Parce qu’ils ne savent faire que ça. Parce qu’ils préfèrent se pousser à bout que de céder. Et elle est épuisée Sacha. Fatiguée de ces disputes inutiles, de ces combats déchirants. Elle veut seulement un peu de paix. Un peu d’amour. Mais on ne sait pas ce que c’est mon Ange… Nous ne connaissons ni le calme, ni la sérénité. Et si elle s’y est habituée, il y a malgré tout des instants où c’est plus difficile que d’autres. Plus pesant également. Mais c’est comme ça qu’on s’aime…
Lorsqu’elle entre dans la station de métro, elle réalise à quel point sa vie est différente. Décalée. Elle voit les visages de ces gens qui vont au travail, de ces jeunes qui filent tout droit en cours. Elle se rappelle de ces matins, de ces trajets qu’elle faisait pour aller à l’université. Elle se souvient de ces moments où l’avenir lui semblait serein et attrayant. De cette époque où le bonheur semblait à portée de main. Mais il a suffi d’un rien pour que tout s’envole, pour que tout bascule. Retour à la case départ ma vieille, t’as raté le coche.
Dans la rame, elle cherche du regard une place de libre. Ses jambes sont lourdes et sa tête lui fait un mal de chien. Soirée de merde… Elle a envie de dormir, envie de quitter ce monde pour rejoindre les bras de Morphée. Elle n’aime pas le métro Sacha. Elle n’aime pas les gens non plus. Elle déteste cette lumière agressive, cette odeur désagréable. Elle déteste ces regards qui se posent sur elle, ces yeux qui la jugent, qui la dévisagent. Elle voudrait se détendre, elle voudrait se calmer mais l’image de Nath en train de se saouler au club ne cesse de lui revenir en tête. Elle se mord la lèvre, nerveuse. Elle passe son arrêt sans s’y arrêter, l’idée d’une vengeance germant dans sa tête. Finalement, elle ne rentrera pas. Pas encore. Pas maintenant. Elle préfère traîner n’importe où, aller se poser quelque part juste pour qu’il s’inquiète, juste pour qu’il réalise son absence lorsque lui décidera de revenir chez eux. Elle veut lui montrer qu’il ne sera pas le maître ce soir - ou plutôt ce matin. Je ne te laisserai pas gagner… Alors qu’elle échafaude son plan, elle sent la rame qui s’arrête brutalement. « Putain ! » Jure-t-elle à voix haute, trop énervée pour se contenir. Sérieusement c’est pourtant pas dur de conduire un métro ! Ils ont décidé de tous me saouler aujourd’hui ou quoi ? Elle rumine la jeune Lewis. Sa mauvaise humeur ne risque pas de s’arranger pour le moment… |
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| Sujet: Re: MINI TG N°1 - Dans le métro Ven 3 Fév 2017 - 18:51
| « Mais démarre, saloperie ! » Je suis déjà en retard et cette poubelle roulante refuse de démarrer. Ça vaut bien le coup d'acheter une voiture de sport à un demi million pour qu'elle ne démarre pas. Comment fait le commun des mortels pour se déplacer en ville déjà? L'air dépité je donne un coup de pied dans le pneu de mon véhicule puis je me dirige vers la station de métro la plus proche. Alors que je dévale les marches quatre à quatre pour ne pas perdre une seconde de plus, je songe qu'il me faudra donner mes vêtements à nettoyer au pressing, sinon cette odeur d'urine et de saleté ne partira jamais. Alors que je patiente sur le quai, un homme à côté de moi vient de vomir sur ses baskets. J'oublie que je suis médecin, y'a pas besoin d'être médecin pour voir qu'il décuve juste. Je trouve qu'il a une tête à s'appeler Alfred. On dirait que j'aurais mieux fait de ne pas me lever ce matin. Le métro arrive enfin, il n'est pas encore trop plein malgré l'heure de pointe puisque je monte presque au début de la ligne. Au moins je peux m'asseoir. Je vais vraiment arriver à la bourre au boulot. Soupir. Je lance Candy Crush sur mon portable et j'écoute de la musique avec mes écouteurs histoire de passer le temps, sans adresser un regard à la plèbe qui m'entoure. Ce trajet me paraissait déjà interminable quand.. *HIIIIIIIIIIIIII* Non. Non non. NON. C'est pas possible Monsieur le conducteur, je suis déjà vraiment trop à la bourre. Pourquoi tu freines? Allez on s'en carre du problème. Tu nous arrange ça fissa, je reste pas coincée au milieu de ces gens. Pitié. J'ôte les écouteurs de mes oreilles pour écouter un quelconque message de la part du conducteur ou toute information utile mais rien n'arrive. Ca fait longtemps que je n'ai pas pris le métro, pourtant ce temps-mort me semble s'éterniser. Ca me semble bien trop long. D'un naturel assez méfiant, je commence à me demander si ce n'est pas quelque chose de grave. « C'est quoi cette blague encore...? » Et de 3. Entre la voiture, Alfred et le conducteur du métro qui avait décidé de faire une pause pipi au milieu du trajet, cette journée commençait vraiment mal.
Dernière édition par Talya S. Adams le Lun 20 Fév 2017 - 23:57, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: MINI TG N°1 - Dans le métro Lun 13 Fév 2017 - 15:00
| Brynn s’apprêtait à prendre le métro tôt le matin exceptionnellement pour se rendre au cimetière pour déposer des fleurs sur la tombe de sa grand-mère avant de se rendre au boulot. Je réussi à me trouver siège alors je m'assieds, je sortis mon petit journal The Times et je commençais tranquillement ma petite lecture de la matinée, jusqu'à que d'un coup, d'un seul, le train s’arrêta. Personne ne compris ce qui se passait réellement. Brynn fut secouée et surprise à la fois. Pourquoi le wagon s'était-il arrêté et pourquoi mettait-il autant de temps à redémarrer? Rien ne se produisit. Aucune annonce ne fut faite. Les passagers étaient dans l'incompréhension la plus totale. Ils sont vraiment casse bonbons punaise ! " C'est pas possible là je vais etre en retard au boulot à cause de ses abrutis! ". Au diable la courtoisie, tout ce que je désirais à ce moment précis c'était que le train redémarre au plus vite. Les minutes passèrent et rien ne se produisit. Le train était toujours là, bloqué au milieu de nulle part entre deux stations. " Qu'est ce qu'attend le conducteur pour faire une annonce ? Il s'est endormi ou quoi ? " demanda Brynn à belle brune qui se trouvait pas loin d'elle @Talya S. Adams. J'en ai ras le bol, il faut toujours que ce genre de choses arrivent à des personnes ponctuelles comme moi. |
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| Sujet: Re: MINI TG N°1 - Dans le métro
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