L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
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| CAMILLE ► Love her but leave her wild. | |
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and all the devils are here
| Sujet: CAMILLE ► Love her but leave her wild. Mar 28 Fév 2017 - 21:41
| Camille West He stepped down, trying not too look long at her, as if she were the sun, yet he saw her, like the sun, even without looking. Perfect Disorder Surname West,ou plutôt Adamczyk comme ce polak de père qu'elle n'a jamais réellement connu et dont elle s'est débrouillée pour hériter du nom, allez savoir comment. First name Camille est née Marnie Jean, à Harrisburg, dans un état où foisonnent les bêtes de traite et les chanteurs country débiles. birthday vingt janvier mille neuf cents quatre vingt treize ou quelque chose comme ça. agevingt quatre ans, le temps fuit constamment instiguant son angoisse sur le fil quotidien. originspolonaises et américaines, selon toute vraisemblance. sexual orientation les paumes calleuses et les lèvres charnues, emportée sous la caresse des mâchoires recouvertes d'une petite barbe, de préférence. Les hommes, pas les garçons. relationship status désillusionnée et ce, profondément. universityla prison d'état, ça compte ? money maker danseuse éthérée à atours de démone, dans un night club détenu par un dragon aux yeux azurés. Social climber modeste à fauchée, lorsqu'il est question d'échapper à la misère, l'être mute et devient extrêmement qualifié dans l'art négligé d'embobiner le monde. Première chose à laquelle tu penses au réveil le lendemain. Première chose que tu fais en rentrant le soir fermer les trente six mille verrous, au cas où. Une musique qui te fait changer d’humeur en un rien de temps Benjamin Clementine - Gone L'activité qui te remonte toujours le moral regarder la mélodie du bonheur en mangeant un pot de glace vanille bourbon. Si ta vie était un film, ce serait: Proposition indécente. Ce qui te fait le plus facilement pleurer porter le regard sur la veuve . Mais autant dire que ses larmes ont depuis longtemps abandonné ses yeux pour n'être déversées qu'à l'abri des témoins qui pourraient en tirer profit. Ton plus grand complexe la peur de l'abandon. Ta plus grande fierté peut-être qu'à bien y réfléchir, à cet instant t, il n'y en a aucune. Ton mot préféré l'aube. Le meilleur motif pour raccrocher au nez de quelqu'un au téléphone, à tes yeux les vérités dures à entendre. Définis-toi avec une expression Tenir la dragée haute à quelqu'un. Ta personnalité en un mot fluctuante Ta personnalité (au lit) en un mot chaleureuse. Plutôt sexe ou abstinence ? romantisme, donc sexe. Tu as le pouvoir de changer le monde. Que fais-tu ? Je le change, à l'évidence. Who are you ?you're the judge oh no gras nom complet Marnie Jean Adamczyk les effluves de formol et de talc enfument l'espace, pour se retrouver happées par les vents et les déboires, Camille West est née d'un rêve qui est depuis longtemps devenu cendre, vingt quatre saisons essuyées au compteur avec avidité et stupidité. Patchwork est l'enfant qui se demande s'il sait vraiment d'où il vient et si cela a de l'importance. Danseuse - effeuilleuse, elle est la poupée qui décrit des pas de basques devant des types bourrés pour en caresser l'essence à l'abri des regards, si la petite princesse a un jour songé à la beauté d'un monde, ce monde n'a plus aucun secret pour celle qui se clame indifférente. amoureuse des brumes de l'inconstance et de l'ingratitude masculines, celles qui flanquent des gifles aux grands mythes.battante , elle le répète avec conviction, mieux vaut être seule que mal accompagnée.démunie c'est comme ça que la présente son compte bancaire qui hurle famine mais, les richesses revêtent des formes qui échappent au plus commun des hommes. viva la diva. caractériellement parlant, Camille, c’est pas un cadeau, elle n’est pas emballée et derrière son maquillage inspiration raton laveur ne se cache pas la délicatesse personnifiée, bien au contraire. Elle frappe, elle mord, elle est grossière mais le caméléon rusé se transforme en diplomate dès que l'occasion se présente à lui. Elle compile les tares et les erreurs, l'extravagance vulgaire et les déceptions. Camille, elle ne tend pas l’autre joue, ne se prend pas la tête. C'est ce qu'elle raconte. Et si vous pensez qu’elle possède une personnalité particulièrement complexe, c’est qu’elle n’a pas encore ouvert la bouche. Dès lors, vous changerez d’avis. Ils le font tous. | groupe ◈ Usual suspects - elle récolte neuf fois sur dix les grains de la suspicion semés le jour où elle a braqué l'épicerie indienne, à New York. Le délit de faciès est prépondérant, de toute façon, son casier judiciaire parle souvent à sa place et donne raison aux flics. |
Wish we could turn back time to the good old days | Criminal recordyou're the judge, set me free vol et association de malfaiteurs, elle a pris cinq ans, avec réduction de peine. Parce qu'elle était jeune et influençable, c'est du moins la carte qui a été agitée par l'avocat commis d'office. Elle aurait pu mieux s'en tirer, si elle avait pu bénéficié d'une grâce parentale. Parfois, aux heures creuses de la nuit, elle se demande à quoi aurait pu ressembler sa vie, si ses choix avaient été plus, disons, judicieux. Cependant, Camille, c'est pas vraiment le genre de nana qui regarde les regrets dans le blanc des yeux pour en mouiller la conjonctive. Elle rit face au danger comme pour se persuader que ça n'est pas si grave. Alors que ça l'est. |
Black mirrorlos angeles perfect disorder Prénom/pseudo spf, chiara. âge/anniversaire xx Pays france. Présence régulière Personnage pré-lien d'un gangster Intriguewhy, not. Où as-tu trouvé le forum ? un partenariat Qu'en penses-tu ? c'est le feu. Newsletter seulement si c'est important. genre, important. En cas de suppression faut demander à Nath'. Ta plus grande peur vis à vis du forum qu'il coule ? Autre chose ? des bisous Bottin - Code:
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<span class="bottinpris"> ANA DE ARMAS</span> • Camille West | |
Dernière édition par Camille West le Mer 1 Mar 2017 - 18:08, édité 13 fois |
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| Sujet: Re: CAMILLE ► Love her but leave her wild. Mar 28 Fév 2017 - 21:42
| Lane boy call me back A Thousand Pieces of You (Miss someone until you don’t)L'astre diurne pointe ses premiers rayons, iridescent, les goniochromismes balayent la surface du capot se reflétant aussitôt dans ses iris opalins. La chatte s'étire, le feulement transperce le silence de l'habitacle,les guibolles distendues sur le tableau de bord remontent; Marnie ne ressent les courbatures qu'au cœur qu'elle porte au bord des lèvres (lorsqu'il ne se noie pas dans son estomac) depuis qu'elle a quitté consanguinité-ville , nommée Harrisburg ,trou paumé au fin fond de l'état d'Arkansas, à vingt et une heure hier soir. L'ange châtain s'est fait la malle, les pommettes rosies et les yeux larmoyants, comme un voleur dans la nuit, avec son maigre butin en main. Tandis que sa mère et son nouvel as de la baise dormaient à poings fermés, à deux pièces de sa foutue chambre. Marnie cligne des paupières, jette un furtif regard au géant qui tient le volant à ses côtés, monstre de conte de fée débarqué un de ces matins brumeux dans son coin perdu pour tirer à bout portant sur l'ennuie, la banalité d'une vie de future fermière, engrossée avant même d'avoir atteint l'âge de boire légalement sa première bière. Elle essuyait les tables et les regards lubriques, à l'époque, encaissait les caresses de séant, en serrant les dents, pour pouvoir, plus tard, encaisser les pourboires. Il avait fière allure, son chevalier,arrivé sans crier gare, de l'encre dessinant sur sa peau tannée de drôles d'arabesques, il était la personnification d'une rébellion qu'elle étouffait constamment. Marnie à cet instant, gonflée d'une fierté toute féminine, dévore son homme du regard. Elle n'a que quinze ans, étourdie par les rêves de gloire et cette liberté friable qui lui file inexorablement entre les doigts, elle croit en ce qui se trouve au bout de cette ligne d'asphalte. L'espoir suinte à travers tous ses pores et se réverbère sur ses chicots qui partent dans tous les sens. Consciente du sort qui l'attend, elle balaye les mauvaises pensées d'un mouvement de tête, se rapprochant de son champion, pour lui déposer un baiser au creux du cou tout en soufflant un « bonjour ». Il lui murmure des mots d'amour, récite des vers de Randall Jarrett, chantonne à tue-tête les paroles de Lou Reed; elle devient la Dame aux camélias, revisite l’œuvre de Dumas et s'abandonne aux espérances, même les plus futiles. Marnie mue en Camille, là, dans cette vieille Cadillac, sur l'interstate 80. Elle se défait de cette enveloppe charnelle souillée par les pèlerins qui ont longtemps visité le mobile home et l'entre cuisse de celle qui lui a donné le jour. Il est six heure quarante cinq, un coq quelque part a salué le soleil.Elle se contente de partir, avalant goulument les mètres à bord de cette vieille bagnole, avec son renégat. Ils se feront prendre, dans un motel miteux, deux états plus loin et ,elle, ramenée de force auprès de sa mère. Ça ne l'empêchera pas de se tirer à l'aube de ses dix-huit ans, encore, mais cette fois-ci, pour de bon.(...) (It’s not how we fall. It’s how we get back up again)Les sirènes de police hurlent à travers le Queens. -- Cours, putain de merde, Cam - qu’elle hurle, Sin à une Camille hébétée, elle n’entend plus rien , elle ne voit plus rien: ni les néons aveuglants, ni les bris de verre, par terre sur lesquels elle marche, ni le hurlement ni ce bang bang assourdissant qui éclate dans l'air ou ce corps qui tombe dans un bruit étouffé à quatre mètres d'elle. Elle cligne des paupières, il y a cette flaque qui s’étend, tout autour de Sin. Et le son qui se forme dans sa gorge. Cinq ans, avec une réduction de peine. C’est ce qui arrive lorsqu’on décide - vingt quatre heure avant la collecte des loyers- d’assister sa meilleure amie ,rencontrée sous un abri bus un an auparavant ,dans un braquage, pour se fournir de quoi mettre les voiles. Récoltes ? L'échec critique qui assombrit l'humeur, adjure la mélancolie, une mort sur la conscience et une compagne de cellule nommée Maria-Guadalupe Josefina Suarez. Raser les murs les premiers mois, se faire tabasser tous les jours, à la pause, entre dix sept heures cinq et dix sept heure sept par Crazy Jane, parce qu’on n’a pas encore l’habitude de serrer les poings. Se faire tatouer le signe distinctif d'un gang et regretter mais, savoir que c’est ce qui lui permettra de se réveiller le lendemain, sans une égratignure ou un poil de traviole. Camille apprend la vie et son goût, doucement, dans les cinq mètres carrés de sa cellule; elle converse avec Jack le maton , compte les jours, les heures, les minutes et tout ce que ça lui coûte. Les visites au parloir n'existent que dans les fantasmes qui tapissent son crâne, nulle part ailleurs. Elle finit par sortir. Alors, quand une nana lui lance un soir qu'elle connait quelqu'un qui pourrait la faire travailler, elle saute sur l'occasion. Elle qui a pourtant connu le pittoresque d'une prison ne se doute pas que le gang lui réserve des surprises et la destine au rang de mule, elle se dit que "c'est toujours mieux que d'être une pute". (...) (Both she and I have grief enough and trouble enough)Seulement, la voila. A plusieurs milliers de kilomètres de la grosse pomme. Les rires gras résonnent à travers les murs ; même derrière les cinq couches de fond de teint et d’anti-cerne appliquées avec minutie, la fatigue transparait. Les cernes lui mordent les pommettes et octroient à sa frimousse un air de ressemblance avec une vedette des années 90, sous acide. La gloire éphémère a laissé place à l’interminable descente aux enfers justifiée par un bon sens relevant du néant ; Camille sourit au client excité qui la dévisage, la main sur le pantalon. Les envies pullulent , maîtresse est pourtant celle de commettre un meurtre, ses talons aiguilles pourraient facilement fracasser le crane et épingler la cervelle qui se cache derrière une aussi sale gueule. Elle se trémousse là, dénudée, comme elle semble se complaire à le faire à raison de six soirs sur sept, les exigences d’un contrat quasiment illicite, signé sous la contrainte du désespoir. C’était clairement soit ça, soit la rue et, sa mère lui a toujours dit qu’elle était bien trop jolie pour finir dans un carton.Peut-être qu’elle avait tort. – Et peut-être que pour dix autres billets, tu pourrais te montrer plus encline à me sucer la queue ? - l’oeil brillant rencontre le sien et lui donne une envie de vomir ses tripes ; elle se relève refroidie par la réplique, sa main s’abat instinctivement. Une erreur, les chiens de garde accourent et parlent de faire remonter l’information au big boss. - Tu risques ta peau, Cam, fais gaffe à tes miches. Ils vont souffler tout ça au patron et paraît que c’est pas un tendre – lance Miss Candace, une blonde texane, les obus sont référencés Texas aussi. Camille lève les yeux au ciel, elle n’a rien à perdre, à part la vie et, par moment, elle s’en fout. - Bah, qu’ils le fassent. Et ils le font puisque le fantôme, la rumeur, celui qui dirige apparait enfin sous son regard désabusé pour lui offrir la condescendance du grand daron et l'opportunité de se perdre , un instant, dans ces iris couleur tempête. Une œillade ravivant les peurs et les certitudes depuis longtemps délaissées au profit d'une insouciance folle. Elle reconnait le portrait dressé par ses pairs, immobile, contenant la hargne mais aux yeux bien plus éloquents que le reste. -- À demain - et au surlendemain, et au sur-surlendemain, boss. (...) - Marnie, est-ce que c'est toi ?-... Non, c'est Camille.
Dernière édition par Camille West le Mer 1 Mar 2017 - 18:15, édité 24 fois |
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| Sujet: Re: CAMILLE ► Love her but leave her wild. Mar 28 Fév 2017 - 21:43
| Les Camille sont les meilleurs Bienvenue ! |
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| Sujet: Re: CAMILLE ► Love her but leave her wild. Mar 28 Fév 2017 - 21:49
| La Sacha qui est en moi te déteste profondément. Mais la joueuse adorable que je suis est plus que ravie de te voir là. Ana est éblouissante, c'est un très très bon choix. Je languis de lire cette fiche qui je le sens va être parfaite ! (et j'ai hâte de vous stalker Nath et toi ) |
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| Sujet: Re: CAMILLE ► Love her but leave her wild. Mar 28 Fév 2017 - 22:00
| Bienvenue parmi nous ma jolie |
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| Sujet: Re: CAMILLE ► Love her but leave her wild. Mar 28 Fév 2017 - 22:12
| C'te beauté. Nath s'entache que d'une fine sélection on dirait. Bienvenue ici, bon courage pour ta fiche ! |
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| Sujet: Re: CAMILLE ► Love her but leave her wild. Mar 28 Fév 2017 - 22:44
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| Sujet: Re: CAMILLE ► Love her but leave her wild. Mer 1 Mar 2017 - 0:28
| Eva, oui, je plussoie, les CAMILLE sont les meilleures , d'ailleurs, il fait partie de mon top prénoms unisexe. Sacha, ça se comprend, une arriviste qui débarque et qui trouve un certain attrait au Jules, franchement, faut la poutrer que des jolis mots, ça me va droit au coeur Ethan, Liam, tu as vu ça ? et pour le big boss, tu m'en vois absolument ravie, j'ai vraiment eu un coup de coeur pour le lien du coup, je clavote le plus vite pour venir t'enquiquiner dans les règles merci beaucoup pour ce bel accueil, vous avez l'air adorables (et abordables ce qui n'est pas rien, sérieux ) |
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| Sujet: Re: CAMILLE ► Love her but leave her wild. Mer 1 Mar 2017 - 6:37
| Toujours étrange de voir son prénom apparaître sur un forum. Bienvenue à toi, et bon courage pour ta fiche! |
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| Sujet: Re: CAMILLE ► Love her but leave her wild. Mer 1 Mar 2017 - 10:23
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| Sujet: Re: CAMILLE ► Love her but leave her wild.
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| | | | CAMILLE ► Love her but leave her wild. | |
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