L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
|
|
| Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. | |
| |
and all the devils are here
| Sujet: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. Ven 3 Mar 2017 - 19:01
| Nicholas Alvarez Perfect Disorder Surname Alvarez. First name Nicholas. birthday 7 février 1996, Madrid, Espagne. age 21 ans. origins Espagnole. sexual orientation Hétérosexuelle. relationship status Célibataire. university Il a fait des études de médecine. money maker Chanteur. Social climber Modeste. Première chose à laquelle tu penses au réveil l'Espagne. Première chose que tu fais en rentrant le soir Je mange. UNE MUSIQUE QUI TE FAIT CHANGER D’HUMEUR EN UN RIEN DE TEMPS Coldplay | HypnotisedL'activité qui te remonte toujours le moral La musique. Si ta vie était un film, ce serait: Fifty Shades Darker. Ce qui te fait le plus facilement pleurer L'amour. Ton plus grand complexe Mon corps. Ta plus grande fierté Mes proches. Ton mot préféré do it for your lover. Le meilleur motif pour raccrocher au nez de quelqu'un au téléphone, à tes yeux Il n'y en a pas. Définis-toi avec une expression Une divinité sur terre. Ta personnalité en un mot Détestable. Ta personnalité (au lit) en un mot Conséquent. Plutôt sexe ou abstinence ? Sexe. Tu as le pouvoir de changer le monde. Que fais-tu ? Je rend tout le monde beau. Who are you ?you're the judge oh no Nicholas Alvarez, il n'a jamais aimé ce prénom, donner par ses deux parents. Il a 21 ans, il est tout jeune et adorable il pourrait plaire a n'importe qui. Il est né à Madrid, son passeport indique "espagnol", le tout estampillé du seau rouge de la mairie où il l'a fait refaire. Maintenant, il vit aux États-Unis à Los Angeles. Nicholas il affectionne plus particulièrement les lointaines origines espagnoles de sa mère, pays maternel où il passe le plus clair de ses vacances. Il est né le 7 février 1996. Après des études en médecine. La famille de son père a longtemps vécu à Madrid. Il se veut discret sur sa vie sentimentale, si bien que personne ne sait vraiment si il est réellement célibataire. Il est hétérosexuel seule les femmes le rendent fou. Il est né dans une famille avec des revenus très modeste ce qui la aider à avoir une bonne éducation.
Nicholas il est comme une boite de dragées Bertie Crochue; on peut tomber sur un parfum banane très appréciable, comme on peut se retrouver avec une saveur balais à chiottes après récurage. La vérité c’est qu’on ne sait jamais de quel pied il se sera levé, avant qu’il ouvre la bouche et, généralement, dès que c’est fait, vous pouvez être certains que ça donnera le ton du reste de la journée. Parfois vieux con, d’autres fois adolescent dégénéré, c’est dur de se reposer avec un type du genre dans ses contacts. Ordonné, si bien que la frontière s’amenuise entre satisfactions d’un espace propre et rangé et trouble obsessionnels compulsifs. Son appartement est, d’ailleurs, certainement le seul de tout l'immeuble à être impeccable. Il va même jusqu’à replacer le col de chemise d’un type qu'il connait et qu'il croise dans la rue. Un brin sauvage, la seule manière de l’approcher réellement c’est en titillant sa curiosité, ou en lui offrant une tasse de café avec un nuage de caramel liquide. Intègre (terme sujet à débat, parce qu'on pourrait se poser des questions), honnête (s'il y a quelque chose à y gagner), franc au point d’en être parfois cassant, Nicholas il n'a pas vraiment cette petite voix dans la tête qui lui dit de s’arrêter quand il dépasse les limites, quand il passe du mec sincère à l’affreux connard qui vous pointe vos défauts sans vraiment réaliser la portée de ses mots. C’est le type qui arrive plus facilement à se mettre les gens à dos qu’à s’en faire des amis, certainement parce qu’il a plus de respects pour ses opposants que ses amis, aussi fidèles puissent-ils être.
| Innocent ◈ Il ne se mêle pas des histoires de justice, il se concentre plus sur ça carrière musicale mais sur ça carrière musicale. |
Wish we could turn back time to the good old days | Criminal recordyou're the judge, set me free Son casier judiciaire est un peu rempli, vendeur de drogue il fut un temps il a passé quelques mois en prison et heureusement pour lui, en réalité la fortune de ces parents la aider a sortir plus rapidement. À part ça, il buvait pas mal d'alcool mais pas assez pour l'emmener en prison.
Son casier s'élargira-t-il dans le futur ? |
Black mirrorlos angeles perfect disorder Prénom/pseudo Matthieu. âge/anniversaire 18ans Pays Pays-Bas Présence 5j sur 7j PersonnageScénario Intrigue Non, peut-être plus tard. Où as-tu trouvé le forum ? partenariat Qu'en penses-tu ? Il est magnifiquement beau Newsletter Oui En cas de suppression acceptes-tu que ton personnage puisse devenir une des victimes en cas de suppression ? Pourquoi pas Ta plus grande peur vis à vis du forum L'intégration peut-être Autre chose ? Une âme généreuse pourrais me faire un avatar ? Bottin - Code:
-
<span class="bottinpris">◼ Manel Navarro </span> • Nicholas Alvarez | |
Dernière édition par Nicholas Alvarez le Sam 4 Mar 2017 - 20:24, édité 3 fois |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. Ven 3 Mar 2017 - 19:10
| Lane boy call me back you're the judge, oh no, set me free Mai 2012, Madrid.
Combien d'heures était-il resté là, assit, prostré, dans les escaliers, à appuyer les paumes moites de ses mains sur ses paupières, comme pour chercher à se crever les yeux, les enfoncer au fond de sa boîte crânienne et les digérer. Les images qui s'y étaient imprimées avec. Ç'aurait du être une après-midi délicieuse; il avait un bulletin excellent, une soirée avec des copains pour le week-end (quand ses parents le poussaient à se faire des amis), mais surtout les vacances d'été étaient là et Nicholas s'était laissé monter tout un plan génial par sa mère. Ils devaient se reposer le lendemain, préparer leurs valises et partit rejoindre les grands-parents en Italie; le couple sexagénaire avait même prévu un petit voyage en Autriche puis en France, Nicholas était impatient de visiter ces deux pays. Il aurait dû être heureux. Ils auraient du être tellement heureux. Mais sa mère avait mis un point final à cette euphorie, en s'ouvrant les veines dans la baignoire. Sans un mot. Sans une note. Pas même une larme sur ses joues. Juste se sourire serein, cet air libérateur sur ses traits alors qu'elle devait se sentir partir. Il était resté sans voix, cloué sur place par l'air reposé de sa génitrice et c'était avec un sentiment d'abandon terrible qu'il s'était assit en bas de l'escalier, à attendre le retour du père, à chercher au fond de lui le mécanisme pour activer ses cordes vocales, émettre un son, un cri, des pleurs. Rien. Le vide. Le néant. L'apocalypse émotionnel; comme si une tornade était passée dans sa poitrine et avait balayé, d'un coup d'un seul, les émotions les plus humaines dont il pouvait faire preuve. Une page blanche. Une façade.
Le poids de son sac, les livres qui lui bousillaient la colonne vertébrale et dont il ne se séparait jamais, n’était plus rien en comparaison de celui qui lui écrasait l’estomac. Il ignorait si c’était la vision de ce corps sans vie ou le sentiment de le savoir, de l’avoir toujours su, que cela arriverait qui le bloquait. La notion du temps, abstraite pour l’esprit torturé, mais aussi la conscience de sa situation lui échappèrent et incapable du moindre geste, du moindre son, il avait laissé son père entrer dans ce théâtre de l’horreur, sans le prévenir, sans le sauver.
Cette colère chez son père l'avait frappé alors que ses mains s'appuyaient sur ses épaules, serres d'aigle, griffes d'ours, marquant sa peau de dix petits points bleutés, à travers le t-shirt. S'en était fini des plans sur la comète, des promesses dérisoires, des rires retentissant, des pas légers de sa mère dans le couloir.. Et elle était pourtant partout. À chaque coin de rue, à disparaître derrière la porte dès que Nicholas montait les escaliers, à se cacher sous ses draps à l'heure du coucher. Les terreurs nocturnes débutèrent en fin de mois et l'achat d'un chien par son père n'aida pas son fils à se sentir plus en sécurité. Les séances avec les meilleurs psychologues, puis psychiatres, des environs n'arrangèrent pas réellement les choses non plus; Nicholas se plongea dans un mutisme profond, protecteur, réparateur et son père ne vit d'autre solution que d'emmener son enfant ailleurs. A la fin mai ils enterraient ça mère. A la mi-juin, ils partaient à Barcelone.
Fin 2012, Barcelone.
Il aurait voulu que ce soit différent, mais la vérité c’est que lorsqu’Erica entra dans la vie de son père, qu’il la lui présenta pour la première fois, Nicholas, l’adolescent rebelle et colérique, décida de la détester. Pas parce qu’elle remplaçait sa mère, elle était différente de ça mère en tous points, mais pour ces raisons justement; elle était brune, avait la mauvaise habitude de rester des heures dans la salle de bain, le samedi après-midi, pour se teindre en rousse ou en châtain. Ses grands yeux sombres scrutaient votre âme, votre être tout entier et vous laissez avec rien d’autres que des sensations étranges au fond du ventre. Elle parlait à voix basse, toujours, comme si chacune de ses réflexions était un secret à ne partager qu’en petit comité. Sa fille et elle avaient une relation qu’il enviait, parce que depuis la mort de sa femme, son père s’était un peu éloigné de Nicholas, l’enfant douloureux, l’enfant triste, le gamin qu’il ne reconnaissait plus simplement parce qu’en un instant il était devenu un adulte et qu’il peinait à sécher ses larmes et accepter le fait que son fils avait perdu sa naïveté. Les thérapies auxquelles il inscrivait constamment l’adolescent ne l’aidaient pas à mieux le comprendre et les disputes étaient plus régulières que les confidences. Il filait du mauvais coton; incapable de reprendre le cours d’études normales, enchainant les mauvaises appréciations, obligé de changer trois fois de lycée en une année.. Son père avait fini par lui coller un ultimatum et il avait jusqu’au mariage pour se décider; il se reprenait en main, ou il terminait en pension militaire. Parce qu’il fallait être honnête, son père n’avait jamais été capable d’ériger des règles, de mettre des limites et en ce temps-là, Nicholas en profitait amplement. Il en abusait. Sortait la carte de l’orphelin pour se faire prendre en pitié, ajoutait une bonne dose de larmes… Mais Erica n’était pas dupe. Jamais. Sa fille, Ellie, se faisait régulièrement avoir, surtout quand elle avait quelque chose que Nicholas désirait à tout prix, mais pas Erica. Elle était là, constamment sur son chemin, à lui barrer la route, à le menacer de cette espèce d’aura qu’elle dégageait et qui le rendait malade. Elle était la figure d’autorité à laquelle se heurter. Elle était l’ennemi. Elle était l’objectif, sans doute.
C'était à la veille du mariage que Nicholas avait compris pourquoi il avait tant besoin de la titiller, d'essayer de la faire sortir de ses gonds, de la faire réagir. Il voulait qu'elle s'inquiète pour lui, mieux; qu'elle s'intéresse à lui. Qu'il ait une importance certaine dans sa vie. Elle était là, dans sa robe beige; pas de blanc, elle trouvait l'idée ridicule, sachant qu'elle avait déjà été mariée de son côté, le père de Nicholas aussi. Pas d'église non plus. Pas de grande cérémonie. Juste elle, son père et les deux enfants et quelques amis proches. Et elle était belle dans sa robe beige. Et ses cheveux qu'elle relevait sur sa nuque.
Février 2017, Los Angeles.
Maintenant 3 ans qu'il a quitter l'Espagne, les premières années fut très compliquée à gérer, les derniers mois de 2017 furent plus paisibles. Nicholas, lui, se heurtait à l’horrible réalité; Los Angeles n’était pas le cocon paisible qu’on lui avait décrit. Une vague de crainte, des corbeaux mystérieux, des menaces à peines voilées. Cette ville était cruelle, mais il fallait avancer.
Dernière édition par Nicholas Alvarez le Sam 4 Mar 2017 - 14:15, édité 1 fois |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. Ven 3 Mar 2017 - 19:16
| Bienvenue parmi nous Fiche déjà remplie mais quelle rapidité. |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. Ven 3 Mar 2017 - 19:20
| |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. Ven 3 Mar 2017 - 19:23
| Bienvenue sur LAPD ! Ce Nicholas m'a l'air d'être un sacré personnage |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. Ven 3 Mar 2017 - 19:35
| Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche ! |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. Ven 3 Mar 2017 - 20:27
| Bienvenue parmi nous |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. Ven 3 Mar 2017 - 21:04
| J'ai pas tout lu mais ce que j'ai lu est vraiment génial Bienvenue à toi en tout cas avec ce perso qui roxe des koalas |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. Ven 3 Mar 2017 - 21:11
| |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. Ven 3 Mar 2017 - 22:39
| Bienvenue parmi nous |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now.
| |
| | | | Nicholas Alvarez ▶ If you leave me now. | |
| Page 1 sur 2 | Aller à la page : 1, 2 | | |
Sujets similaires | |
|
They call it the city of angels but all the devils are here
| | |
| |
|