and all the devils are here
| Sujet: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16) Jeu 15 Sep 2016 - 22:38
| Nanea K. Pilialoha 24 years old • Américaine • Hétérosexuelle • Célibataire Diplômée en marketing digital • Joueuse de LFL • Aisée • Feat. Rita Ora QUI ES-TU?Je m'appelle Nanea Kehaulani Pilialoha, vous l'aurez sûrement deviné (ou pas), je suis originaire des îles d'Hawaii. Mes parents étant tous les deux des descendants d'immigrés de Nouvelle-Zélande. Je viens tout juste de fêter mes 24 ans ainsi que mon MBA en marketing digital. Cependant, durant mes études, j'ai été recrutée par l'équipe de LFL de Los Angeles, donc je suis actuellement "wide receiver" des Los Angeles Temptation. Malgré mon métier sous les projecteurs, je reste célibataire mais je ne vais pas pour autant manger à tous les râteliers et préfère de loin me retrouver avec un homme plutôt qu'une femme lorsqu'il s'agit de se dénuder (non pas que cela ne me soit jamais arrivé, bien au contraire). L'avantage d'avoir pu travailler pendant mes études m'a permis de bien gagner ma vie et de rembourser mon prêt étudiant bien avant mes camarades. Aujourd'hui, je suis plutôt bien lotie et je peux même aider mes parents si le besoin s'en fait sentir. Dans la vie, je suis restée simple malgré les sollicitations des médias et de la gente masculine. Je suis la même peu importe la situation et les gens que je côtoie. D'un naturel espiègle, je me passionne pour le sarcasme et la faculté méconnue et méprisée d'embêter tout un chacun. Naturelle, spontanée et bout en train, je ne manque pour ainsi dire jamais d'énergie, surtout lorsque l'on voit les quantités de nourriture que je peux ingurgiter. Le concept des repas m'est complètement étranger mais par contre, on peut largement compter sur moi si quelqu'un fait soudainement une crise d'hypoglycémie. PORTRAIT CHINOIS• Première chose à laquelle tu penses au réveil: Manger • Première chose que tu fais en rentrant le soir: Retirer son soutien-gorge • Une musique qui te fait changer d’humeur en un rien de temps: Too Original - Major Lazer • L'activité qui te remonte toujours le moral: Manger • Si ta vie était un film, ce serait: Le Journal d'une Princesse• Ce qui te fait le plus facilement pleurer: Les oignons • Ton plus grand complexe: Mes cheveux • Ta plus grande fierté: Mes études • Ton mot préféré: Sérieusement • Le meilleur motif pour raccrocher au nez de quelqu'un au téléphone, à tes yeux: "J'dois aller manger, déso mais pas vraiment déso!"• Définis-toi avec une expression: La soif du coeur ne s'apaise pas avec une seule bière. • Ta personnalité en un mot: Explosive • Ta personnalité (au lit) en un mot: Explosive • Plutôt sexe ou abstinence ? Sexe. • Tu as le pouvoir de changer le monde. Que fais-tu ? De la bouffe pour tous! CASIER JUDICIAIRE- Consommation et possession de stupéfiants type marijuana: inconnue des fichiers de police - Entrée avec effraction sur une propriété en dehors des horaires d'accès: connue des fichiers de police (délit juvénile) - Excès de vitesse: inconnue des fichiers de police - Trouble à l'ordre public: connue des fichiers de police - Téléchargements illégaux de films et musique: inconnue des fichiers de police - Ebriété sur la voie publique: connue des fichiers de police PRÉNOM: Fiona PSEUDO: OhMyFiona ÂGE & ANNIVERSAIRE: 24 ans & le 7 août 1992 PAYS: France GROUPE(S) SOUHAITÉ(S): ici. NIVEAU DE RP: plutôt bon mais un peu rouillée PRÉSENCE: quotidienne PERSONNAGE: Inventé AIMERAIS-TU PARTICIPER À L'INTRIGUE DU MOMENT? Oui/Non. OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM? Sur Bazzart QU'EN PENSES-TU? le design m'a un peu fait peur en arrivant... Dans le sens où c'est très beau mais on perd un peu le côté tradi des forums qu'on connait depuis longtemps... Une fois passée outre, tout va bien, j'apprécie le talent de vos graphistes ANCIEN MEMBRE DE FRAT/L.A.P.D.? ici. AUTRES COMPTES: C'est le premier! SOUHAITES-TU T'INSCRIRE AU MP DE MASSE? Oui [X] Non [ ] TA PLUS GRANDE PEUR VIS-À-VIS DU FORUM? Pas avoir de lien UN DERNIER MOT? ici. - Code:
-
<span class="bottinpris"> RITA ORA</span> • Nanea K. Pilialoha AVATARS blondie & milkovitch ; ICON hollidaysee
Dernière édition par Nanea K. Pilialoha le Dim 2 Oct 2016 - 19:15, édité 2 fois |
|
and all the devils are here
| Sujet: Re: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16) Jeu 15 Sep 2016 - 22:46
| Mon histoire commence ici ... « HOLD ON TIGHT » UA MAU KE EA O KA AINA I KA PONO
Née à Honolulu, j’y ai passé la majorité de mon enfance. Mes parents ont toujours été aux petits soins pour moi, ma mère étant infirmière et mon père professeur. La vie sur l’île n’est pas forcément facile. En dehors des cours de danse traditionnelle et du surf, il n’y a pas beaucoup d’activités. Néanmoins, la vie y est simple, calme et même beaucoup trop lente. Dès toute petite, je remuais partout, jamais fatiguée quand il le fallait, je réclamais toujours d’aller à la plage ou de monter à cheval dans les montagnes. Le seul moment où je me calmais, c’était pendant les cours de Hula. Encore aujourd’hui, il m’arrive de lancer une chanson traditionnelle et de bouger mes hanches aux rythmes de la musique. Ce fut un vrai déchirement quand, pour des raisons financières et professionnelles, mes parents m’annoncèrent notre déménagement pour le continent. Direction San Francisco. C’est l’année de mon entrée au collège et tout le monde se souvient de ces années fatidiques en terme de popularité. En plus de la danse hawaïenne, j’avais eu droit à des cours de danse classique et mon intérêt pour cette discipline ne semblait pas s’en aller. Mes parents m’ont donc rapidement inscrit à une très bonne école de San Francisco, heureux de me voir m’apaiser pendant les entraînements. Il se trouva que j’étais particulièrement douée et ma professeur insista rapidement pour me faire accéder à des sphères plus intéressantes. Cependant, c’est également l’époque des amitiés sincères, notamment comme celle que j’entretenais avec mon voisin, plus âgé que moi. Nous étions toujours fourrés ensemble après les cours, mais jamais à l’école. A l’époque, je ne voyais pas trop où était le problème, mais mes parents semblaient déjà s’en être rendu compte. En grandissant, j’avais le cadre de la danse classique qui m’imposait une certaine hygiène de vie. Lui, musicien autodidacte, suivait les vagues là où elles l’emmenaient. De mauvaises fréquentations en mauvaises fréquentations, il tomba dans des travers que j’aurais préféré qu’il évite. Alcool, tabac puis marijuana et drogues dures. La descente fut assez fulgurante mais personne ne semblait s’en rendre compte. Au fil des mois, et des années, j’étais devenu son alibi. Quoi qu’il fasse, dès que ses parents insistaient un peu trop, j’intervenais et le couvrais. Parfois même, je le retrouvais complètement ivre mort devant sa porte d’entrée. Je passais un de ses bras autour de mes épaules et m’arrangeait pour que ses parents ne se doutent de rien en rentrant. Je ne voyais pas le mal dans cette histoire. Pour moi, c’était mon devoir en tant qu’amie, en souvenir de ces années passées à s’amuser dans le jardin de ou dans la maison de l’autre. En grandissant, j’avais compris qu’il ne voulait pas que ses amis le voient avec une gamine, et ça m’allait. Je l’avais pour moi toute seule dans notre quartier, et je savais que notre amitié était vraie. Mais plus il sombrait, plus je culpabilisais. J’étais déchirée entre l’envie de le protéger en continuant à le laisser vivre en paix ou révéler le pot aux roses à ma mère qui saurait certainement quoi faire. Puis, ce fut la dégringolade. Premier événement, le décès de mon père. Fulgurant, comme un cancer sait l’être, il était parti en quelques mois à peine. La famille de mon meilleur ami était venue présenter ses condoléances et nous assurer de leur présence lors de la mise en terre. Mon meilleur ami, en revanche, restait absent. Son soutient signifiait beaucoup pour moi, j’allais entrer au lycée et j’étais chamboulée par la rapidité avec laquelle la maladie l’a emporté. Quelques jours plus tard, lors de la crémation, tout le monde était là, sauf lui une fois de plus. Les amis de la famille étaient ensuite invités à diner pour évoquer la vie de mon père décédé, selon les traditions hawaïennes. Mais mon regard était bloqué sur la seule chaise vide de la tablée. J’en avais la nausée. Plus tard, j’appris qu’il était encore une fois trop bourré pour se lever. Puis, ce fut la cerise sur le gâteau. La goutte d’eau. Mon école de danse m’avait inscrit à un test d’entrée dans deux opéras majestueux : New-York et Paris. Les deux essais auraient lieu dans la même semaine et tous les frais étaient pris en charge par l’école, compte tenu de la situation précaire de ma mère. Quelques jours avant le vol, peu rancunière, je monte le voir dans sa chambre. J’avais besoin de discuter, de jouer pour évacuer le stress. Mais tout a dérapé. J’ai eu le malheur de faire une réflexion sarcastique sur son état léthargique et ce fut l’explosion. Il entra dans une colère noire, injustifiée et irrationnelle à tel point qu’il me faisait incroyablement peur. Je me dirigeai alors vers la sortie, pensant le laisser se calmer et revenir plus tard. Mais c’était sans compter sur sa force. Il me poussa et je tombai dans l’escalier. En me retrouvant au pied, je perdis connaissance rapidement, mais j’eu le temps de le voir fuir en me sautant par dessus. Je repris mes esprits quelques dizaines de minutes plus tard et je savais que quelque chose était cassé. Cheville ? Pied ? Tibia ? Péroné ? La douleur était impressionnante et pourtant, au fond de moi, je savais que si je restais chez lui, tout viendrait à se savoir. Qu’est-ce qu’il adviendrait de lui ? Sa musique commençait à attirer certains regards dans les scènes undergrounds de San Francisco. Ce serait égoïste. Alors je me suis relevée et j’ai marché, enfin j’ai boité jusque chez moi. J’entendais déjà le médecin m’engueuler. A chaque pas, c’était un éclair de douleur qui me prenait toute la jambe jusqu’au milieu du dos. Mais je ne me suis pas arrêtée là, il fallait que je sois crédible pour ne pas attirer les soupçons. Donc j’ai monté nos propres escaliers, j’ai fait un trou dans la moquette et je me suis allongée en bas. Bilan : fracture du tibia et du péroné, plâtre, immobilisation de trois mois. Mes rêves étaient brisés en mille morceaux. Tout ce pourquoi je m’étais entraînée, tout ce pourquoi mes parents avaient fait des sacrifices pour me payer la meilleure école de ballet, tout ça réduit en fumée. Car c’était la chance d’une vie. J’avais déjà atteint l’âge maximal requis pour ces essais et maintenant, je n’aurais plus que l’option de Julliard. Mais en avais-je envie ? Non, plus maintenant. Pas après cette désillusion. Autant dire que mes années lycées ont été un clavaire, et même ça c’est un euphémisme. Tombant dans le désespoir le plus total, le flou et l’incertitude se faisant de plus en plus présent au fur et à mesure que chacun se découvre une vocation, je me suis retournée vers des choses plus concrètes. J’avais besoin de me sentir vivante. Je ne le voyais plus, du moins plus aussi souvent et cela me laissait le temps de respirer et de penser à moi. Prise d’un élan de confiance, je m’étais présentée au coach de football américain de mon lycée, lui demandant de me laisser participer aux entraînements. Après plusieurs rires au nez et de nouvelles demandes, il accepta. L’adrénaline, les chocs, la douleur dans les muscles le lendemain. Voilà ce qui me faisait avancer. Par la suite, les choses ne s’arrangeaient pas pour mon ami. Mais je ne considérais plus qu’il s’agisse de mes affaires. Ses parents, toujours aussi aveugles, pensaient que tout allait très bien. Jusqu’à ce jour si sombre que je préfère ne plus jamais en parler. La peur de ma vie. Ma mère m’avait demandé de préparer un gâteau pour remercier notre voisin de son aide pour l’entretien du jardin. Ne voulant pas particulièrement leur parler, j’avais exécuté puis emmené le gâteau accompagné d’un petit mot. Une odeur trop familière me brûlait les narines et peu importe à quel point j’essayais de l’ignorer, je ne pouvais pas aller à l’encontre de ma curiosité. Je descendis à la cave, là où il avait définitivement élu domicile, pour le retrouver allonger au sol, inconscient. La panique, brute et dure. J’ai du mal à attraper mon téléphone et encore plus à ne pas le faire tomber en composant le numéro des secours. J’entends une voix vaguement me parler, je cris l’adresse et mets le téléphone sur haut-parleur. La prochaine chose dont je me souviens, c’est la gifle de ma mère et de sa mère. Je les comprends, aujourd’hui. Jamais je n’aurais du garder cela pour moi, c’était beaucoup trop. Mais je suis toujours comme ça, même aujourd’hui. Pendant quelques semaines, je ne le voyais plus. Une overdose, ça laisse des séquelles me disait-on, comme si je ne le savais pas. Je me fis une raison et finit le lycée avec plusieurs lettres d’admission pour de belles universités. Pas d’Ivy League, mais ce n’était plus mon ambition. Ma mère, finalement, se décida à me donner l’adresse de la cure de désintoxication où il avait été accepté. Je m’y rendis pendant les heures de visite, heureuse de le voir comme il était quand je l’avais connu. Mais c’est un jeune homme froid qui me reçu dans un salon immaculé. Un charabia, c’est tout ce dont je me souviens de son discours prononcé comme s’il avait subit un lavage de cerveau. Un requis soit disant, dont il devait s’acquitter. Rayer de son passé tout ce qui lui rappelait la drogue. C’était l’une des étapes déterminantes de son programme. Donc, me rayer moi. Je restai muette alors qu’il se leva et rejoignit un autre groupe de jeune. Mon choix se porta sur le cursus en marketing de UCLA. Loin, mais pas trop, que je puisse retourner voir ma mère sans trop de soucis ni de dépense. Rapidement, mon historique en football américain fit son bout de chemin jusqu’aux bonnes oreilles. J’ai refusé, au début. Mon niveau de confiance en moi en ayant pris un sacré coup après ma blessure. J’étais roudouillette, je noyais ma peine dans la nourriture et mon corps me le rendait bien. Je ne me voyais pas jouer en sous-vêtements devant des milliers de spectateurs, exposer mes bourrelets à côté des autres déesses. Mais elles insistèrent et je les en remercie tellement aujourd’hui. Je n’ai fais que des entraînements et des compétitions inter-universités durant mes études. Mais j’ai été récemment sélectionnée par les Los Angeles Temptation et j’ai participé à mon premier match. Il faut avouer que reprendre une réelle activité m’a rendu mon corps, avec un peu plus de courbes tout de même. Alors oui, j’ai obtenu mon diplôme avec une belle spécialisation en digitale mais pour l’instant, le football américain en sous-vêtements ça me plaît. On verra pour la carrière derrière un bureau !
AVATAR © créateur ; ICONS © grayicons @tumblr & lavirtud @tumblr
Dernière édition par Nanea K. Pilialoha le Dim 2 Oct 2016 - 19:07, édité 2 fois |
|
and all the devils are here
| Sujet: Re: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16) Jeu 15 Sep 2016 - 22:58
| Bienvenue parmi nous! Rita est un excellent choix, on la voit pas assez! J'ai hâte d'en lire plus sur le personnage qui me semble bien prometteur! |
|
and all the devils are here
| Sujet: Re: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16) Jeu 15 Sep 2016 - 23:00
| |
|
and all the devils are here
| Sujet: Re: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16) Ven 16 Sep 2016 - 7:02
| |
|
and all the devils are here
| Sujet: Re: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16) Ven 16 Sep 2016 - 7:15
| LFL pour Legends Football League ? Bienvenue parmi nous avec la sexy Rita. |
|
and all the devils are here
| Sujet: Re: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16) Ven 16 Sep 2016 - 10:15
| Anh Rita excellent choix Bienvenue parmi nous Good luck pour ta fiche |
|
and all the devils are here
| Sujet: Re: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16) Ven 16 Sep 2016 - 10:31
| Merci pour l'accueil chaleureux je suis tellement soulagée de voir que vous aimez Rita autant que moi @ Aaron Campbell : tu connaiiiiiiiiiiis !!!! Oui, c'est tout à fait pour ça il se trouve qu'il y a une équipe IRL à Los Angeles en plus |
|
and all the devils are here
| Sujet: Re: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16) Ven 16 Sep 2016 - 15:14
| Rita. Bienvenue à toi ma belle et choix original de métier, effectivement. |
|
and all the devils are here
| Sujet: Re: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16) Ven 16 Sep 2016 - 16:13
| Bienvenue parmi nous ma jolie. Si tu as besoin de quoi que ce soit, nous sommes là pour toi. |
|
and all the devils are here
| Sujet: Re: NANEA ▶ behind every great man is a woman rolling her eyes (délai jusqu'au 02/.10.16)
| |
|