L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
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and all the devils are here
| Sujet: Re: Civil war. [ANDREVA] ❤ Dim 11 Déc 2016 - 17:32
| J’ai envie qu’il me frappe. Ça peut paraitre maso mais… je crois que ça me plait, dans le fond, d’être dans la provocation et la ‘violence’ avec Andreas. Un échange intense… c’est motivant ! Surtout qu’il répond ouvertement à mon ‘jeu’.
Il finit par répondre d’une manière…surprenante. Je serais même plus vexée qu’il ne me frappe pas parce que je suis une fille que le fait qu’il dise que je règle les choses par l’argent. Je ne peux m’empêcher de rigoler quand il dit ça.
C’est vrai, c’est drôle.
Et si je rage, ça va lui plaire.
Et je veux que ce soit lui qui rage !
Je me mordille la lèvre quand il insinue ouvertement qu’il peut… Enfin, on a tous lu… Je ne peux pas m’empêcher de lui répondre au tac-o-tac, c’est… viscéral !
« Que tu es présomptueux ! » Simple. Mais taquin. Joueur. Provocateur…
Même si je me retrouve surprise par son geste. Prise en sandwich entre le mur et Andreas, je reprends rapidement mes esprits et lui fait face. Comme toujours. Il continue de m’envoyer des mots durs, des mots qui ne cherchent qu’à me blesser.
Mais pour l’instant, plus personne ne le peut. Ces mots me passent bien au-dessus. Je n’en ai rien à faire de ce qu’il peut penser de moi, que je ne suis pas un exemple de bonne conduite. Contrairement à lui, j’ai un meilleur sens dans la famille.
Il se rapproche dangereusement de moi, mais vraiment. A tel point que je sens son souffle sur mes lèvres, une sensation que je ne peux nier perturbante. Je n’ai jamais eu un homme aussi proche de moi de cette manière depuis… depuis Kai ?
A nouveau, je me cache derrière mon jeu.
Je suis obligée de jouer.
Je ferme les yeux et murmure à Andreas :
« Hum, j’aime quand tu me dis ça, Andreas. Ça m’excite. »
Puis je rouvre les yeux, à nouveau dans le même face à face beaucoup trop proche… J’ai adoré mettre le ton dans ma voix, comme si je l’étais vraiment…
Je pose mes mains sur son ventre, remonte un peu au niveau de ses pectoraux. Je les sens à travers son vêtement. Je n’en profite pas vraiment car je le pousse violemment… pour le faire tomber. J’ai glissé ma jambe très légèrement derrière sa jambe pour qu’il tombe à la renverse.
Évidemment, je fais attention à ne pas l’assommer, je n’ai pas envie qu’il meurt. Lauren m’en voudrait et je n’aurais plus personne à embêter, à insulter, à détester.
Je me glisse au-dessus de lui, mes genoux entre ses cuisses, mes bras de chaque côté de sa tête.
« C’est tellement amusant de te voir te voiler la face. C’est toi le naïf. Tu es juste trop gay pour le rôle, chéri, c’est bien pour ça que Grace est partie non ? Tu ne l’as pas satisfaite car tu n’assumes pas ce que tu es. Un gay refoulé. Et t’en veut à tout le monde, c’est ça, non ? A ta mère, aux femmes… comme moi… »
Sur mes mots, je me rapproche encore plus de lui. Mon corps le frôle intégralement, mon souffle se mêle au sien, et mon regarde se fait toujours plus intense. J’ai touché un autre point sensible…
Grace…
Je sais que de parler des amours aussi intenses, ça fait mal.
Mais c'est pas ce qu'on cherche à faire tous les deux ?
Faire mal à l'un et l'autre...
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| Sujet: Re: Civil war. [ANDREVA] ❤ Dim 18 Déc 2016 - 20:07
| Je suis présomptueux, d’après elle. Ce n’est pourtant pas bien compliqué, elle n’aurait qu’à ouvrir les cuisses et à se laisser faire docilement. Processus qui ne doit pas lui être étranger, qui doit même lui être, allez, au pire habituel, au mieux routinier. Mais je ne m’inquiète pas pour elle et encore moins pour son entrejambe vorace. Le mien, puisqu’il est vaguement concerné, préférerait goûter à l’abstinence plutôt que d’aller goûter à ce met empoisonné. Alors qu’elle me dise que je l’excite, aussi faux cela soit-il, ça ne réussit tout au plus qu’à me faire sourire. Deux arrogants qui jouent au plus fort, ce n’est ni plus ni moins ce que nous sommes en train de faire, n’est-ce pas ? Mais qui sait vraiment ce qui se cache sous les masques ?
Touche-moi Brûle-moi
Avoir mal C'est se souvenir qu'on est vivant
... BAM'ç£%!¨ Le choc, la douleur. La surprise, la haine.
La dureté du sol contre mon dos et la froideur de son regard démoniaque sur moi. Tout m'incommode, me perturbe, et me stresse, bientôt. Je me débats, ou songe à le faire, si fort. Et puis, il y a son corps contre le mien, qui se glisse, se faufile. Qui lui parle, lui dit de ne plus bouger, d'attendre et de voir, de voir à quel point elle va encore pouvoir attaquer. Moi, maso ? Non, plutôt une sale curiosité malsaine, putain.
“C’est tellement amusant de te voir te voiler la face. C’est toi le naïf. Tu es juste trop gay pour le rôle, chéri, c’est bien pour ça que Grace est partie non ? Tu ne l’as pas satisfaite car tu n’assumes pas ce que tu es. Un gay refoulé. Et t’en veut à tout le monde, c’est ça, non ? A ta mère, aux femmes… comme moi… ”
Comme
une
envie
de
vomir.
Le nœud dans le fond de la gorge, la boule au creux du ventre.
Je serre les dents, incapable de la regarder davantage sans avoir envie de l'encastrer au fond d'un mur. J'ai arrêté de respirer je crois, pendant quelques lourdes secondes. J'ai espéré être en train de vivre un mauvais rêve, rien que ça, mais tous ces mots sont bien réels, bien sortis de sa bouche de... “T'es vraiment qu'une...” Je l'attrape violemment. Ses bras, ses poignets, glaciaux. Peut-être autant que son cœur. Je l'attrape et la fais basculer brusquement contre le sol, me foutant bien qu'elle souffre du choc. A mon tour, je m'impose une place entre ses jambes, l'empêche de gesticuler, et la regarde avec haine “...qu'une salope.”
...
Je m'en bats de Grace, tu vois ? Je m'en bats des mecs, tu vois ? Je m'en bats de ce que tu penses, putain.
Tu devrais crever, pour ça. Ou tu devras plutôt crever, quand tu sauras.
...
Eva a de la force, mais j'en ai peut-être encore plus, dans cette position. Je ne sais plus si j'ai davantage envie de la faire souffrir ou envie de lui prouver par a + b qu'elle a tort. Deuxième option nourrie par la chaleur de nos deux corps, si écœurante et si galvanisante à la fois, je crois que j'en deviens un peu fou sur le coup. Les horreurs qu'elle m'a dites ? L'effet qu'elle me fait ? Mon souffle encore si proche du sien, mon buste effleurant le sien, mon bassin contre le sien. Ce n'est pas un peu fou, c'est complètement fou, que je suis, quand je viens presser sauvagement mes lèvres contre les siennes, à même le sol.
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| Sujet: Re: Civil war. [ANDREVA] ❤ Sam 24 Déc 2016 - 19:23
| Je sais que j’ai touché Andreas par mes mots. Ce n’est pas vraiment le genre de choses que j’aime faire en soi, car je sais que si on me le fait, je serais encore plus violente qu’à mon habitude. Mais Andreas ne pense pas à enfoncer le couteau envers moi, non, il me renvoie mes mots… Outch !
Au début, j’ai cru qu’il allait me frapper, la respiration haletante, un brin d’adrénaline en plus dans le sang, je suis devenue sa prisonnière. Je ne suis plus aux commandes mais… ce serait mentir de dire que je n’apprécie pas l’idée d’être à sa merci.
C’est un jeu dangereux que de provoquer un homme. Bien qu’une part de vérité sommeille dans les mots exagérés, je peux reconnaitre que j’ai su le toucher comme il se doit. Je me délecte de la « petite » insulte qu’il m’a proféré.
Serais-je devenue dingue ? Serais-je en train d’avouer que j’apprécie physiquement Andreas ? Clairement qu’en dehors de ça, il m’agace au plus haut point ! Mais…
Je ne sais pas ce que je peux vous dire à l’instant où je sens le corps d’Andreas se rapprocher du mien, d’une manière… différente qu’à l’habitude ? Non… Non ? Si… Ses lèvres contre les miennes. Andreas se permet de m’embrasser sous l’idée que par la suite… J’ai envie de mourir que d’avouer ouvertement que mon corps se plait à cet assaut. Je découvre la saveur de ses lèvres, l’intensité nouvelle … La tension entre nous se reflète dans ce baiser, dans cette étreinte que je me plais à prolonger… Je gesticule un peu pour libérer mes bras, commençant d’abord par les poser au niveau de sa nuque pour appuyer encore ce baiser, m’amusant d’ailleurs à mordiller par moment sa lèvre inférieure.
Je me rends compte de ce que je fais, j’embrasse l’homme qui m’insupporte le plus en ce moment. Je devrais plutôt le gifler mais mon cerveau n’a plus aucune maitrise sur ce que je fais. Mon corps veut répondre à ce désir… cette folie…
J’ai envie de jouer. J’ai envie d’être sauvage avec lui, comme à mon habitude, mais pas avec des mots… Je commence par lui arracher son haut sans me préoccuper de son état, m’appropriant alors le contact de sa peau du bout de mes… ongles. Je ne force pas mes doigts, je ne marque pas sa peau. Bien que ce ne serait que tarder…
Quand nos lèvres s’écartent l’une de l’autre, je ne peux m’empêcher de lui envoyer un regard à la fois ardent et provocateur.
« Sale con. »
Quel mot doux en prémices d’un retournement de situation. Bien que je le pousse, ce n’est que pour mieux m’asseoir sur ses hanches, pour presser « nos hanches » l’une contre l’autre. A reprendre cette intensité sauvage qui vient de naitre en nous…
J’ai envie de l’épuiser … jusqu’au bout.
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| Sujet: Re: Civil war. [ANDREVA] ❤ Mer 4 Jan 2017 - 21:43
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| Sujet: Re: Civil war. [ANDREVA] ❤ Dim 5 Fév 2017 - 16:42
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| Sujet: Re: Civil war. [ANDREVA] ❤ Dim 5 Mar 2017 - 13:33
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| Sujet: Re: Civil war. [ANDREVA] ❤
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They call it the city of angels but all the devils are here
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