Sujet: Re: pleasesitdownandtakeoffyourclothes. /w Aristide Dim 30 Oct 2016 - 23:19
Aristide Kendricks & Damian Carstairs
Please sit down and take off your clothes
Je perd le contrôle, je deviens pathétique. Mes mains se sont agripé à sa veste pour finir par l'embrasser fougueusement. Ma fougue deferle comme une cascade elle ne s'arrête plus et je sens que Aristide y prend vite goût. il me mord la lèvre inférieur cela m'excite et me pousse à plus de franchise. Il s'écarte un peu me dévorant des yeux, je reprend ma respiration peu à peu avant de reprendre de plus belle. Etant nettement plus audacieux dans le choix de mes placements. La main d'Aristide se noue autour de ma cravate je me sens piégé et j'adorai ça. ses caresses le long de mon échine me fait frissoner jusqu'à qu'il prenne prise de mes fesses... Cela faisait si longtemps que j'attendais cela... L'observais au loin à l'université et dans les bureaux... C'est forcement après cette engueulade digne d'une télé Novelas que je finis par lui sauté dessus comme une vulgaire adolescente. Comme on le vois dans les film je me detache de lui pour deblayer le bureau avant dem'asseoir dessus et kidnapper Aristide entre mes cuisses avant de reprendre le baiser et commencant à deboutonner sa chemise. passant mes mains à l'interieur pour les faire tomber sur le sol ne gardant que sa cravate... Je me detache de lui observant son torse... Comme dans mes souvenirs... je glisse mes mains sur son torse alors que mes baisers, eux décide de rejoindre la nuque du jeune homme commencant alors a jouer sur la peau du jeune Kendricks descendant vers son pantalon jouant un peu avant de m'y attaquer autant prendre son temps n'est ce pas?
AVENGEDINCHAINS
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and all the devils are here
Sujet: Re: pleasesitdownandtakeoffyourclothes. /w Aristide Mar 1 Nov 2016 - 10:27
Alors que nous nous embrassâmes, que mes mains s’accaparèrent son corps, palpèrent ses fesses, il me repoussa. Un instant. Il fit de la place sur son bureau et s’y assit. Je ne pus qu’avaliser sa prise d’initiative. Il s’assit. Il m’attira à lui et nous continuâmes d’échanger ce baiser. Il l’attira jusqu’à lui et m’emprisonna entre ses jambes. Ses mains, délicates, commencèrent détacher, un à un, les boutons de ma chemise. Libéré de ce vulgaire morceau de tissus, je le retirai et le laissai tomber à terre. Damian, palpa mon torse, vigoureusement. Ses mains chaudes sur ma peau m’excitaient. Mon sang était en train de bouillir d’envie de passer à l’étape supérieure. Pourtant, je restai calme, tentai de laisser du temps en temps, tandis que mon boss déposait de doux baisers dans le creux de ma nuque. Chaleur. Ses baisers s’enhardirent tandis que ses mains descendirent en rappel sur mon torse, frôlant dangereusement le haut de mon pantalon.
Prisonnier de ses jambes, je posai une main contre son torse, l’obligeant à s’allonger sur le bureau qu’il avait préalablement débarrassé. Je m’enquis à lier une nouvelle fois nos lèvres tout en déboutonnant sa chemise. Son torse était à présent à ma merci. Magnifiquement dessiné comme le David de Michel-Ange. Mes mains s’amusèrent de chaque parcelle de sa peau, tandis que mes lèvres l’inondèrent de baisers. Mes mains caressèrent ses jambes et s’imprégnèrent de ce corps que j’avais si souvent convoité. Puis, sans crier gare, je me saisis du zip de sa braguette et lentement, très lentement, je l’ouvris. Je désirai libérer le lion qui sommeillait en lui. Avant d’aller plus loin, de laisser libre court à nos pulsions, je recherchai encore une fois son visage, ses yeux, ses lèvres gourmandes et l’embrasser, encore, avant de l’obliger à se relever, en le tirant vers moi avec sa cravate.
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and all the devils are here
Sujet: Re: pleasesitdownandtakeoffyourclothes. /w Aristide Dim 6 Nov 2016 - 15:53
Aristide Kendricks & Damian Carstairs
Please sit down and take off your clothes
Je sentis mon corps se réchauffé instinctivement au contact de la peau d’Aristide, son corps me fascinais, mes doigts parcourant son corps rendant tout cela très érotique. Aristide prend des initiatives et j’adorais cela. Il pose une main sur mon torse encore couvert me forçant à m’allonger sur mon bureau vierge de tout objets dérangeant. Je l’avais capturé avec mes jambes, tel un prédateur qui est sur le point de dévorer sa proie. Mais il devient de plus en plus entreprenant comme si la proie devenait un prédateur, ses mains s’occupèrent de ma chemise déboutonnant un à un les boutons, mais j’étais beaucoup plus intéressé par les baisers qu’il me donna. C’était chaud, sensuel, fougueux mes mains se glissèrent de plus en plus le long de son dos. Entamant le parcours en ayant de se frayer un chemin sous son pantalon pour saisir un bout de chair qui me rend très curieux. Ma chemise s’ouvre de plus en plus, sentant un léger courant d’air effleurant ma peau, la rendant fébrile au moindre de ses contacts, me faisant cambrer sentant des frissons parcourir mon échine. Ma respiration devenait plus haletante, ma peau s’électrisait, ses mains se mit à parcourir le long de mes jambes, sa gourmandise me plaisait ses doigts se glissant vers mon pubis, il commença à faire glisser la fermeture éclair de mon pantalon. Je me sentais de plus en plus libre, sentant mes envies s’accroître. Il m’embrassa cherchant mes lèvres, je mords sa lèvre inférieure sans aucun scrupule. J’avais tellement envie de lui, mon désir s’intensifia quand mes mains décidèrent de s’accaparer de son pantalon. Déboutonnant alors le premier bouton, laissant du mou dans le tissu pour le faire lentement glisser jusqu’à ses cuisses. Je palpai généreusement son magnifique fessier. J’en étais presque jaloux, elles étaient bombé et ferme. Je soupire, je ne suis plus moi-même. Une main remonte jusqu’à sa nuque alors que je cherche moi aussi ses lèvres, lui offrant un baiser fougueux, emplit de passion. Donnant alors le mouvement pour continuer, mon bassin s’anima tout seul pour excité d’avantage le jeune homme.
AVENGEDINCHAINS
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Sujet: Re: pleasesitdownandtakeoffyourclothes. /w Aristide Dim 13 Nov 2016 - 15:44
Nous nous embrassâmes avec fougue, passion. Lorsque nos lèvres se lièrent, il me mordit la lèvre inférieure. Sauvage. Carnassier. Mon patron s’enhardit en commençant à me délester de mon pantalon, qui glissa le mon de mes jambes, dévoilant mon boxer aux yeux de tous. Ses mains s’approprièrent mes fesses qui n’attendirent qu’une chose. Etre découvertes, mises à nu. Pourtant, il laisse durer le plaisir et préfère laisser une main parcourir mon échine et atteindre ma nuque pour partager un énième baiser. Fougueux. Tandis que nous nous embrassâmes, coincé entre ses jambes, je sentis qu’il donnait de léger mouvement de rein, un petit effet de balancier qui attisa mon excitation. A présent torse nu, il était de mon devoir de lui arracher son pantalon, ce morceau de tissus qui empêchait toute jouissance future. Posant les mains sur ses cuisses, je les écartai, me libérant ainsi de son emprise, et commençai à tirer et amener à moi le pantalon. Le vêtement glissa, glissa jusqu’à me rester dans les mains. Un regard sur ce dernier avant de le jeter à terre. A présent j’avais une vision parfaite sur son sous-vêtement et je remarquai une bosse se dessiner dessous. Mes yeux pétillèrent. Je posai une main à cet endroit précis. Je voulus saisir l’instant, sentir la réaction de Damian, attiser son envie, sans aller trop vite. Jouer avec lui, mais en refreinant ses pulsions. J’accrochai ses lèvres et l’embrasser encore, toujours, comme si elles étaient devenues une drogue. Je me retirai. Mon visage descendit le long de son torse, déposant des baisers fugaces sur sa peau, jusqu’à atteindre le nombril, et… il descendit encore et toucha presque le tissus bombé. Je fermai les yeux et soufflai longuement, m’imprégnant de l’instant. Mes mains se posèrent alors sur les deux cuisses de Damian, de chaque part de la proéminence. Dans l’expectative. Une première main se glisse telle une souris sous le tissu et palpe la chair de sa cuisse. La seconde fait de même. Je sens qu’il frissonne, qu’il n’attend qu’une chose. Je tourne mon visage vers le sien. Je le regarde. Longuement. Mes mains commencent alors à faire glissai le boxer, vers le bas. La pression est grande.