L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
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| GIOVANNI ▶ Strength of thousand men | |
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and all the devils are here
| Sujet: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men Dim 28 Aoû 2016 - 23:11
| Giovanni Alessandro Di Castelli 32 ans • Américaine • Hétérosexuel • Célibataire Diplômé en criminologie • Ex-Navy Seals devenu flic à la LAPD, nouvellement commandant des SWATs • Aisée • Feat. Ian Somerhalder QUI ES-TU?Salutations !
Je me nomme Giovanni Alessandro Di Castelli et je vais vous conter quelques bribes de mon histoire. Commençons par ma famille ! Noble et respectable famille, figurant parmi les plus aisées et les plus puissantes d’Italie, les Di Castelli allaient avoir leurs premiers enfants en ce Solstice d’été 1984, le 21 juin 1984 à Naples. En effet la Signora Silvia (ma mère) était actuellement enceinte de jumeaux et elle avait tellement hâte de les mettre au monde, sachant qu’elle avait passé une grossesse assez difficile dans l’ensemble. Son vénérable époux, le Duc Alessandro Di Castelli était un politicien de renom et en apprenant que sa femme était en plein travail, il avait demandé à être remplacé lors d’une réunion importante afin d’assister à la naissance de ses jumeaux. Ma sœur jumelle Gina naquit à 14h39 précise, tandis que moi, je vins au monde quinze petites minutes plus tard. D’origine Italienne pure souche, je grandis dans le plus beau pays du monde jusqu’à mes 13 ans : c’était l’année où mon père avait démissionné de son poste parce qu’il était soupçonné de corruption alors qu’il se trouvait au ministère des Finances de la nation italienne. Nous nous sommes donc exilés aux Etats-Unis à ce moment-là afin d’éviter tout problème : une nouvelle vie s’offrait donc à nous à New York. Nous étions devenus d’honorables citoyens américains grâce aux connaissances de mon père. A l’aube de mes 17 ans, mes parents furent assassinés par la mafia italienne et c’est à ce moment-là que je décide de m’engager chez les Marines en tant que tireur d’élite. Sauf que je ne m’attendais pas du tout à me retrouver quelques mois à peine après ma première mission opérationnelle, dans les rangs des Navy Seals , les forces spéciales des Etats-Unis: j'en ai déduit que j'étais quelqu'un de doué, destiné à faire de grandes choses. Parallèlement à ma carrière militaire, je fais des études de criminologie parce que j’avais dans l’idée d’intégrer la Police afin de pouvoir retrouver les assassins de mes parents. Bien que je parte souvent en mission, j’ai tout de même réussi à obtenir mon diplôme en juin 2010. L’année suivante, je troque mon uniforme militaire pour revêtir celui de la Police. En tant que policier, j’allais faire mon possible pour retrouver les meurtriers de ma famille et faire régner la Loi. Aujourd’hui, à l’âge de trente-deux ans, je peux affirmer sans fausse modestie que je suis devenu l’un des meilleurs éléments de la Police de Los Angeles sinon je ne serais pas monté aussi vite en grade. Si vous tenez à le savoir, je suis célibataire bien que la présence d'une jolie brunette semble perturber ma vie : il s'agit d'une certaine Hayley, qui est entre autre la mère de ma fille Valentina; de plus afin d'accorder à la petite lumière une vie normale, je me suis octroyé une ravissante demeure dans le quartier de Montebello puisque c'est l'un des rares quartiers où je me sens réellement en confiance, du moins en théorique. Il faut se dire que j'ai toujours été de nature méfiante. Prônant toujours l'excellence et mon intégrité comme des valeurs fondamentales de ma réussite, on dit de moi que je suis un officier remarquable, fin stratège, très observateur. Je cache également sous ma carapace de dur à cuire, une sensibilité que je ne montre jamais hormis une fois. Ayant eu une formation accrue de tireur d'élite, le tir est devenue ma qualité première sauf que je peux tuer de sang-froid et sans remords. Au jour d'aujourd'hui, je suis promu au grade de Capitaine et je commande désormais l'unité du SWAT de la LAPD PORTRAIT CHINOIS
• Première chose à laquelle tu penses au réveil: Mon café • Première chose que tu fais en rentrant le soir: Boire une bière • Une musique qui te fait changer d’humeur en un rien de temps: The World's greatest de R. Kelly • L'activité qui te remonte toujours le moral: le tir sportif • Si ta vie était un film, ce serait: The Marine avec John Cena
• Ce qui te fait le plus facilement pleurer: Penser à ma défunte soeur • Ton plus grand complexe: Supériorité • Ta plus grande fierté: Ma fille Valentina • Ton mot préféré: Respect • Le meilleur motif pour raccrocher au nez de quelqu'un au téléphone, à tes yeux: "Navré mon fils réclame à manger"
• Définis-toi avec une expression: L'efficacité c'est le silence • Ta personnalité en un mot: Intégrité • Ta personnalité (au lit) en un mot: Excellence • Plutôt sexe ou abstinence ? Sexe • Tu as le pouvoir de changer le monde. Que fais-tu ? J’abolirais le terrorisme pour que le monde ne vive plus dans la peur.
CASIER JUDICIAIREPour pouvoir intégrer les forces spéciales de la Navy, j'ai du présenter un casier judiciaire vierge. Sauf qu'en vrai, je ne suis pas totalement blanc comme neige. En effet, avant que je ne m'engage à l'âge de 17 ans, je faisais des petites bêtises comme le vol de packs de bière dans des supérettes vu que nous n'avions pas l'âge de boire. Je n'ai jamais été pris en flagrant délit. Je faisais aussi quelques petits larcins, je brûlais des voitures juste pour le plaisir de faire mon rebelle : ça devait changer mon image de fils modèle. PRÉNOM: Ronald. PSEUDO: Lackey_G. ÂGE & ANNIVERSAIRE: 24 ans & 06 janvier 1992. PAYS: FRANCE. GROUPE(S) SOUHAITÉ(S): ORDER. NIVEAU DE RP: entre 300 et x mots. PRÉSENCE: ça peut varier. PERSONNAGE: Inventé. AIMERAIS-TU PARTICIPER À L'INTRIGUE DU MOMENT? Oui. OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM? J'avais demandé à être prévenu et c'est grâce à Hayley. QU'EN PENSES-TU? Je le trouve super et j'ai hâte de jouer parmi vous. ANCIEN MEMBRE DE FRAT/L.A.P.D.? Non malheureusement. AUTRES COMPTES: Pas encore de DC. SOUHAITES-TU T'INSCRIRE AU MP DE MASSE? (Obligatoire s'il ne s'agit pas d'un double compte) Oui [X] Non [ ] TA PLUS GRANDE PEUR VIS-À-VIS DU FORUM? Aucune ^^. UN DERNIER MOT? J'ai faim . - Code:
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<span class="bottinpris"> IAN SOMERHALDER</span> • Giovanni Di Castelli AVATARS Jude & Infernal ; ICON Tumblr pour le gif
Dernière édition par Giovanni Di Castelli le Mer 31 Aoû 2016 - 3:47, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men Dim 28 Aoû 2016 - 23:12
| Mon histoire commence ici ... « La dignité de l'homme requiert l'obéissance à une loi supérieure, à la puissance de l'esprit » INTRODUCTION
Toute naissance représente un merveilleux événement pour toute famille, que ce soit une famille de la classe moyenne ou de la haute société et qu’importe qu’ils soient anglais, gallois, écossais ou encore italiens, les naissances sont fortement et fièrement attendues par les parents. La naissance des jumeaux Di Castelli n’échappait donc pas à la règle et surtout qu’ils étaient des enfants tant espérés donc considérés comme des dons du Ciel par leurs parents. Voici donc leur histoire surtout celle de Giovanni Di Castelli, je suis sûr que vous la trouverez distrayante, fascinante et pleine de rebondissement. Mais trêve de bavardages inutiles ! L’heure du conte a sonné !
I. NAISSANCE D'UN DESTIN HORS NORME
Naples, Italie, le 21 juin de l’année 1984
Les époux Di Castelli avaient demandé que les meilleurs gynécologues du monde viennent les aider à mettre au monde leur enfant. Ils étaient mariés depuis près de dix ans mais ils n’avaient pas encore réussi à donner naissance à une vie et ils commençaient à désespérer jusqu’au jour où la Signora s’était retrouvée enceinte. Ils avaient tout fait pour que la grossesse se passe remarquablement bien, ils avaient peur qu’une autre fausse couche ne vienne troubler leur bonheur mais la nature avait fait son office. En effet, en ce jour de solstice d’été 1984, au terme d’une grossesse extrêmement compliquée, Silvia Di Castelli rejoignait le service de maternité de l’hôpital général de la ville de Naples. La naissance des enfants Di Castelli était un événement grandement attendu par l'ensemble des branches familiales italiennes entourant l'immense cocon douillet. El Duce Alessandro Di Castelli, maire de Naples, se trouvait en compagnie du premier ministre Italien de l’époque et ils étaient en train de discuter de l’avenir financier de la ville. Cependant la réunion fut de très courte durée puisqu’aux alentours de treize heures trente, on lui faisait savoir que son épouse avait gagné la maternité de la ville parce qu’elle était en plein travail… El Duce s’était aussi levé afin de prendre congé du Premier ministre puis il avait filé jusqu’à l’hôpital où se trouvait son épouse. Entre temps, il avait appelé le futur parrain qui n’était autre que l’illustre Silvio Berlusconi. Sandro avait finalement rejoint son épouse qui venait de commencer à pousser, les contractions devenant de plus en plus insoutenables et plus rapprochées dans le temps, signe qu’elle allait accoucher d’une minute à l’autre. Afin que la douleur soit un peu atténuée, elle avait réclamé une péridurale et maintenant l’équipe de sages-femmes qui s’occupait d’elle, lui conseillaient de pousser bien fort.
Quelques longues minutes plus tard, un cri d’enfant se faisait entendre : il s’agissait d’une petite fille. Sandro ne semblait guère enchanté de voir qu’il n’aurait pas un héritier de sexe masculin, néanmoins il dit d’une voix calme mais légèrement tranchante à l’adresse de son épouse qui le regardait d’un air apeuré : « Notre fille s’appellera Gina. Elle est très jolie. Félicitations ma chère épouse » sauf qu’à peine avait-il terminé sa phrase qu’une nouvelle contraction assaillait Silvia, alors elle s’était mise à pousser de nouveau. Cette fois, l’héritier tant attendu venait de faire son apparition, en effet quinze minutes après la petite Gina, un beau petit garçon venait de naître. Le maire le regardait avec une grande fierté avant de prendre le bébé dans ses bras, une fois le cordon coupé et il s’exclama en italien : « Giovanni, mon fils ! Tu seras la Lumière qui redorera la Lignée des Di Castelli. Notre fierté ! Notre Espoir ! ». L'annonce faite à la presse ravit toute la population de la Napoli parce que la famille du Maire était très respectée et adulée à ce moment. Les Jumeaux furent rapidement adoptés par toute la classe politique italienne mais aussi européenne, américaine et autre.
II. LE DIKTAT MATERNEL
Baigné dans les richesses et le luxe, le petit Giovanni et sa sœur jumelle Gina ne semblaient jamais manquer de rien, toujours extrêmement bercés d'attentions, et notamment par la prise en charge de sa gouvernante et du personnel habitant jour pour jour au Manoir de la famille. Pour autant, le jeune garçon eut, très tôt, à faire face à l'absence de son père, député-maire de Naples donc il était très souvent pris par ses obligations. Ne retrouvant ce dernier qu'en de rares temps de partage, le petit garçon qu'il était tentait bel et bien de profiter au mieux que possible de cette figure paternelle, mais il s'avéra bien vite que sa terrible et tyrannique mère héritait du rôle. En effet cette dernière était particulièrement froide et autoritaire baignant alors son éducation d'un climat vrillant entre la terreur et la soumission, une silencieuse admiration naissant au creux de l'âme de ce jeune homme encore bien trop petit pour faire la part des choses. Rapidement, Silvia devint alors sa Mère, mais également son Père, elle qui ne lui laissait aucune liberté, quelles qu'elles soient. Alors qu'il jouait, sans arrêt passait-elle dans son dos pour le remettre droit. Alors qu'il parlait, sans arrêt s'interposait-elle pour corriger son vocabulaire. Alors qu'à l'âge de trois ans il osait tutoyer son Parrain si fascinant, aussitôt le giflait-elle pour lui donner, selon elle, les « Bonnes habitudes » du grand monde. Courbant l'échine face à cette figure d'effroi qu'incarnait sa marâtre, c'est pourtant d'un même temps qu'en grandissant, le petit garçon développa pour sa génitrice une fascination sans égale, prêt à la suivre partout où elle le traînait, passant de longues heures sans broncher sur les moquettes de l'Orchestre de l'Opéra pour l'entendre chanter à ses interminables répétitions. Rapidement porté sur le modèle de cette dernière, le jeune homme s'axa sur un amour inconditionnel pour le luxe et la bonne image, cherchant par-dessus tout à satisfaire ses parents et les rendre fier de lui malgré l'ambiance terriblement oppressante des moindres relations avec sa mère… Celle-ci reproduisait l’éducation qu’elle-même avait reçue de ses parents… Le petit garçon aurait pu sombrer mais il avait la chance d’avoir une sœur jumelle sur laquelle il pouvait reposer. La faible présence de leur père, l’éducation très méritocratique et stricte de leur mère avaient considérablement rapproché les jumeaux à un point que parfois on pourrait se demander si l’amour qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre ne dépasserait pas le stade du fraternel… Non ils étaient juste les cinq doigts de la main tous les deux et personne n’arriverait à les séparer ! Que ce soit à la maison comme à l’école, les jumeaux étaient toujours autant inséparables : ils suivaient les mêmes cours et ils veillaient l’un sur l’autre avec une telle intensité.
Malgré cette éducation très stricte de leur mère, cela n’avait guère empêché au petit garçon d’avoir des amis très proches, que ses parents acceptaient bien entendu – il était difficile de se lier d’amitié avec le fils d’un Maire aussi renommé, à moins de faire partie de ce cercle très fermé des amis de la famille Di Castelli – et parmi lesquels se trouvait sa meilleure amie, Guilietta Linetti… Il la connaissait depuis son plus jeune âge étant donné l’amitié qui unissait leurs parents… Ils étaient dans la même école depuis qu’ils étaient en âge de fréquenter les bancs de l’école, même s’ils étaient rarement dans la même classe : ils se retrouvaient toujours pendant les pauses déjeuners, entre les cours etc… Elle était la rare fille que la Signora Di Castelli acceptait à la maison, mais nul ne pouvait accéder à la chambre qu’occupait le petit garçon. Rapidement, elle avait décidé que leur amitié devrait se terminer parce qu’ensemble les deux enfants de six ans faisaient tant de bêtises alors afin de punir son fils, Silvia Di Castelli avait pris la décision en accord avec son époux, d’envoyer le petit garçon dans un pensionnat anglais. Le petit garçon modèle qu’il était censé être, venait de laisser place à un rebelle de six ans et comment dire c'était pire dans le pensionnat où il venait d’être envoyé. En effet dès son arrivée, on lui décréta un quotient intellectuel supérieur à la normale, ce qui voulait dire qu’il était sûrement un surdoué et cela rendait les cours bien moins intéressants. Il les écoutait d’une oreille distraite tout en bavardant avec ses camarades. Très vite, il s’était mis à collectionner les heures de colle parce qu’il était un élève très perturbateur ; cela avait le don d’exaspérer ses parents mais ils fermaient souvent les yeux sur les bêtises de leur fils qui en profitait tellement. En deux années dans ce Pensionnat, il avait égalé le record de retenues de l’un de ses aïeuls et il en était fier, en plus il avait commencé un petit trafic avec d’autres élèves. Ce pensionnat était donc devenu son antre où il pouvait faire le maximum de bêtises.
Malheureusement l’année de son treizième anniversaire, sa belle vie rangée actuelle fut bouleversée. En effet, un article de presse afficha ce jour-là un rapport sur un gros détournement d’argent de la part de l’ancien maire de Naples et nouveau ministre des Finances italien, Alessandro Di Castelli. Le petit garçon ne pouvait pas croire que son paternel était un être aussi mauvais mais du haut de ses treize ans, il devait se rendre à l’évidence même : la politique était un monde de pourris. Il s’attendait tellement à tout perdre, son univers, son argent, ses parents… Et surtout sa sœur jumelle dont il était séparé depuis qu’il avait rejoint les rangs de son pensionnat. Mais le soir de leur fête d’anniversaire, Alessandro s’était approché de ses enfants afin de leur parler : « Mes chers enfants, à compter de demain, nous quitterons l’Italie afin de faire notre vie ailleurs. Vous êtes encore trop jeunes pour comprendre tout ce qui se passe actuellement mais sachez que votre mère et moi-même, nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour que vous puissiez vivre comme tout enfant normal. Sur ce bon anniversaire à vous deux ». Giovanni était bien trop sidéré pour parler, les paroles de son père l’avaient choqué à un tel point qu’il ne savait plus désormais s’il devait continuer à le considérer comme son héros sauf qu’en croisant le regard de sa terrible marâtre, il avait compris qu’il ne pourrait pas avoir son mot à dire dans cette histoire, par conséquent, il ne pouvait qu’accepter sa nouvelle destinée. Dès le lendemain, la famille Di Castelli obtint le droit d’asile aux Etats-Unis. Ils avaient pris leur jet privé pour se rendre jusqu’à la terre des Libertés laissant derrière eux, leur ancienne vie. Dès lors qu’ils poseraient le pied sur le sol américain, ils seraient considérés comme des citoyens américains. En voyant cela, Giovanni venait de comprendre que cet exil aux USA était prévu depuis longtemps et que son paternel n’attendait que le bon moment pour mettre son plan à exécution.
III. RATTRAPES PAR UN PASSE TUMULTUEUX
Ayant un grand réseau de connaissances aux Etats-Unis, Alessandro Di Castelli avait pleinement réussi à s’établir sur le sol américain en échange de quelques pots-de-vins bien huilés et il avait également obtenu pour toute sa famille, l’immunité diplomatique. Cela voudrait dire que dorénavant, quoique sa famille ferait, ils n’étaient guère punissables par la Loi Américaine. Fier de ce qu’il avait engendré, l’ancien maire de Naples avait commencé à s’installer à Los Angeles où il racheta une entreprise spécialisée dans les énergies renouvelables. En moins de six mois, il avait changé l’image de cette entreprise qui deviendrait l’une des pionnières dans ce secteur en voie de développement. Il renomma ladite entreprise sous le nom de « TECHWAVE ». Comme lorsqu’il était en Italie, Sandro n’était guère présent pour sa famille alors il laissait soin à sa formidable épouse de parachever l’éducation de leurs enfants. En particulier celle de son fils prodige, Giovanni… Depuis quelques temps, le jeune garçon ne se comportait plus de la même façon comme s’il ressentait le mal du pays mais en vérité, grâce aux années qu’il avait passé dans son pensionnat britannique et à une maîtrise parfaite de l’anglais, il s’était rapidement intégré à la culture américaine. Afin d’être un peu éloigné de ses parents qui résidaient dans les quartiers huppés de Los Angeles, le pré-adolescent avait réclamé de pouvoir étudier dans le prestigieux lycée de San Francisco, le George Washignton High School.
Dès son arrivée, son dossier avait légèrement été modifié - vive la pression familiale - pour que ses frasques des années pensionnat n'apparaissent guère dessus. Du moins ses parents l'avaient prévenu que s'il continuait à se comporter de la sorte, ils ne l'aideraient plus et qu'il finirait sa vie en prison, totalement déshérité ! Le jeune homme s'était plié aux exigences de ses parents et il avait tout fait pour essayer d'être un élève modèle mais c'était assez difficile pour lui, parce que comme toujours il ne tenait pas en place. Heureusement qu'il faisait du sport à côté quoi ! En effet, il s'était engagé dans l'équipe de basketball mais c'était au baseball qu'il avait très rapidement montré son talent: il était assurément l'un des meilleurs joueurs de son équipe et très rapidement il en était devenu capitaine. Avec cette nouvelle notoriété, il retomba rapidement dans ses frasques d'antan ! De toute façon, il était facilement le meilleur du bahut quoi ! Il séchait les cours, il commençait à faire des bêtises digne d’un cancre. Il fumait, il volait dans des magasins, il vendait de l’herbe parfois… Lui la Star de son lycée, il en était arrivé là ? Incroyable non ? Non du tout ! Il s’ennuyait à mourir ! Il découvrait rapidement qu'il avait une voire deux années d'avance sur tout le monde donc il avait demandé à ses parents s'il ne pouvait pas sauter une classe mais ceux-ci avaient refusé en lui donnant comme justification que c'était de sa faute parce qu'il n'avait pas cessé d'être un mauvais garçon. Heureusement qu’il n’avait jamais été pris en flagrant délit. Il n'avait rien dit et se contentait désormais de faire ses trucs. Il avait hâte de finir le lycée quoi ! Sa dernière année s'était très rapidement passée et il avait obtenu son diplôme de secondaire sans problème, et ses SAT furent un perfect ! Son dossier d’inscription pour l’université de Berkeley était déjà prêt à être envoyé… Sauf que le jeune homme ne voulait pas se rendre à la faculté à l’heure actuelle, il comptait s’engager chez les Marines. Ce qui n’était pas trop du goût de son paternel mais comme le jeune homme venait d’avoir 17 ans, il ne pouvait rien dire.
« Père, je sais bien que je vous déçois totalement. Cependant je ne puis m’empêcher de penser à cette extrémité. Je souhaite découvrir ma voie et celle-ci en fait partie. Je m’engagerais chez les Marines… Peut-être que la Guerre m’aiderait à mieux comprendre ma propre destinée. S’il vous plaît ! Père, octroyez-moi ce droit je vous prie » implorait le jeune homme tout en s’inclinant devant son paternel, sans se douter que ce seraient les derniers mots qu’il échangerait avec lui. Ce soir-là, il régnait une grosse tension dans l’enceinte de la demeure des Castelli (Di). Entre le père et le fils, quelque chose s’était brisée lorsque Giovanni avait annoncé qu’il allait s’engager dans l’Armée américaine. Le fils prodige, celui qui devait redorer le blason maudit de la famille venait de s’évaporer pour se transformer en un jeune homme pourri gâté qui n’en faisait qu’à sa tête finalement. Donc il va s’en dire que très peu de mots furent échangés durant le diner qu’ils partageaient en famille ; les deux hommes étant face à face ne s’échangeaient même pas un seul regard. Les domestiques servaient le repas dans un silence pesant jusqu’à ce qu’un bruit sourd se fit entendre.
« Tout le monde à terre » s’écriait soudainement le patriarche tout en se jetant à plat ventre à même le sol, imité par son épouse et sa fille. De son côté, Giovanni ne semblait guère enclin à les imiter avant qu’il n’entende des bruits tenus ressemblant fortement à des coups de feu. Un des domestiques déboulait comme une furie dans la grande salle à manger de la villa Castelli avant de hurler : « Des hommes armés sont.. ». Le pauvre homme n’avait pu terminer sa phrase parce qu’il venait de s’écrouler au sol… Mort ! Gio fut totalement choqué par cette scène d’horreur. Il se précipita hors de sa place pour se mettre à l’abri derrière le bar tandis que les assaillants pénétraient dans la salle sauf qu’il semblerait que leur progression était ralentie. En effet, les gardes du corps de la famille venaient d’entrer en action et un véritable échange de coups de feux nourris se produisait dans l’enceinte de la villa. Une vraie scène de chaos régnait ! Le jeune homme s’était précipité vers sa sœur jumelle qui tremblait littéralement et semblait ne plus pouvoir bouger. « Sœurette je suis là, je te protègerais ! » murmura-t-il à l’oreille de Gina sauf qu’au moment où il levait la tête pour voir alentours, il découvrait le corps de sa mère gisant dans une flaque de sang.
« MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN ! » hurla-t-il tout en sortant de sa cachette, prêt à en découdre avec le salaud ou les salauds qui avaient osé tuer sa mère, sauf que son père se jeta sur lui pour le protéger et se prit la balle qui était destiné au jeune homme… « Noooon père ! Ne mourrez pas ! ». Giovanni était en larmes alors que son père s’effondrait littéralement sur lui, laissant tomber par la même occasion le Glock qu’il avait dans la main. Le jeune homme prit l’arme et la pointa vers le gorille qui s’approchait lentement de lui, sauf qu’avant même qu’il ne puisse appuyer sur la détente, l’homme s’effondra. Une balle dans la tête… Celui qui venait de le tuer n’était autre que le chef de la garde privée des Castelli… « Mon… Fils… Pardonnes-moi… Soin… de… ta sœur » murmurait son père avant de rendre son dernier souffle. Son père venait de mourir dans ses bras et cette scène, il n’arriverait jamais à l’oublier. Il n’oublierait jamais cette nuit de malheur où il avait presque tout perdu. Désormais il ne lui restait que sa sœur jumelle et l’entreprise de son père dont il ne voulait pas prendre la direction. Après de longues minutes à pleurer avant de dire adieu à leurs parents, Giovanni dit à sa sœur jumelle qu’il était temps pour eux de recommencer une nouvelle vie puis il ordonna à Guido, le chef de la garde et dernier survivant de cette tuerie, de raser la villa. Dans une limousine blanche, le jeune homme avait tourné la tête une dernière fois vers la « villa Di Castelli » qui prenait feu, puis il reportait son attention sur la route devant lui… Il s’en allait vers sa nouvelle vie.
IV. L’EFFICACITÉ C'EST LE SILENCE
Quelques semaines après l’assassinat de ses parents, Giovanni avait décidé de mettre en exécution son plan qui consistait à se renforcer au maximum et cela passerait bien évidemment par un engagement total dans les rangs de l’armée américaine. Aujourd’hui il vivait en compagnie de sa sœur jumelle à San Francisco parce qu’elle ne voulait pas revenir à Los Angeles pour le moment. Ce qui était compréhensible, la scène d’horreur qu’ils avaient vécu ce soir-là était bien trop compliquée à chasser et tout pouvait facilement le leur rappeler de très mauvais souvenirs. Qu’importe, cette même année là, un terrible événement frappa les Etats-Unis d’Amérique : les attentats du 11 Septembre 2001. A cause de cette catastrophe ayant causé plus de 3000 victimes civiles et militaires – le Pentagone ayant été touché aussi par l’un des quatre avions détournés – le jeune homme avait cessé de penser à ce qui était arrivé à ses parents puisqu’il avait une autre motivation pour devenir un bon Marine. Il avait commencé sa formation en août 2001 mais au lendemain des attentats du 11 septembre, le Président des USA, G.W Bush avait déclaré la guerre aux Talibans en Afghanistan. Ce n’était qu’au mois de janvier 2002 que le jeune Caporal Di Castelli était projeté sur le théâtre afghan pour l’Opération Enduring Freedom. Pendant sa formation militaire au Camp Lejeune en Caroline du Nord, le jeune homme s’était spécialisé dans le tir à longue distance devenant par la même occasion un tireur d’élite. Il s’était déjà forgé une petite réputation pendant la formation puisqu’il avait réussi à liquider un petit groupe de trois lapins se trouvant à 300 mètres de distance. Donc lors de sa première opération, il devait se mettre en soutien d’un groupe de combat qui devait prendre d’assaut un dépôt de munitions ennemi… Avec un calme olympien et une précision chirurgicale, il avait contribué au succès de l’opération. En liquidant une petite cinquantaine d’ennemis, il avait permis au groupe qu’il soutenait, de pouvoir donner l’assaut. Cet exploit du jeune caporal n’était pas resté inaperçu puisque dès le lendemain, on le nommait sergent. Pendant deux ou trois mois encore, il enchainait les excellents résultats, lui valant de ce fait la sympathie de la hiérarchie militaire… Il n’avait que très peu de permissions mais les rares qu’il prenait, il les passait en compagnie de sa sœur jumelle. Ce fut au retour d’une de ces permissions au mois de février 2003 qu’il fut désigné par son Etat-major pour faire partie des candidats au concours d’entrée chez les Navy Seals.
Au terme d’une longue et éprouvante semaine de tests, il était retourné à son bataillon de combat et s’apprêtait à repartir en Afghanistan pour continuer l’opération Enduring freedom lancé officiellement en novembre 2001. Sauf que le Colonel commandant son bataillon l’avait convoqué dans son bureau et alors qu’il pensait qu’il allait essuyer une soufflante, il lui annonçait d’un ton empli de fierté débordante qu’il était pris dans les Rangs des Navy Seals ! On lui avait accordé une petite semaine de permission afin qu’il puisse se préparer mentalement pour rejoindre les Forces spéciales. Chose qu’il fit au lendemain de ses permissions ! Aussitôt arrivé sur la base des Seals, il avait commencé une formation spécifique parce qu’on ne peut pas être membre des Forces spéciales comme ça du jour au lendemain. Pendant quelques mois, il était en formation donc il ne pouvait pas encore prétendre à intégrer l’une des sections opérationnelles des Navy Seals puis enfin, il fut incorporé dans la section C. Sa première opération avait pour objectif d’exfiltrer un journaliste américain qui était retenu en otages par des talibans en Afghanistan et quand bien même, il avait tué des hommes en tant que tireur d’élite chez les Marines, il fut sous le choc après cette mission. Malencontreusement, afin de secourir le journaliste, ils avaient été dans l’obligation de faire des victimes civiles et le jeune homme aurait la mort d’une dizaine des gamins sur la conscience. A partir de cela, il avait pris la ferme décision de ne pas penser aux conséquences de ses actes. Il devait servir la Nation coûte que coûte afin de protéger les intérêts et les valeurs des Etats-Unis d’Amérique. Après « SEMPER FI », un nouveau crédo l’accompagnait dans tout ce qu’il entreprenait hors de sa carrière militaire : « L’efficacité c’est le Silence ». Parallèlement, il avait entamé des démarches afin de prendre des cours à distance pour suivre un cursus de criminologie parce qu’il avait la ferme intention de devenir policier lorsqu’il arrêterait sa carrière militaire. En réalité, ce n’était pas tant son envie d’être flic qui interpellait mais plutôt son désir enfoui de retrouver le commanditaire du meurtre de ses parents… C’était en juin 2010 qu’il avait obtenu fièrement son diplôme de criminologie alors il s’était dit qu’il ferait les tests de sélection pour rejoindre la Police. Sauf qu’il ne se doutait pas que deux événements allaient encore plus chambouler sa vie.
V. UNE RECONVERSION PREMATUREE
Abbottabad, Pakistan. Dans la nuit du 1-2 mai 2011
Alors que depuis le mois de septembre 2010, il était en pleine préparation de la reconversion vers la Police, le sergent Di Castelli et sa section des Navy Seals furent désignés par l’Etat-major afin d’exécuter l’opération Neptune’s Spear dont l’objectif était simple : Eliminer le leader d’Al Qaïda, Ben Laden. Cette opération clandestine commandée par la CIA serait certainement la dernière de Giovanni donc il était à peu près content de pouvoir y participer mais il ne s’attendait vraiment pas à vivre un tel enfer. Le commando des Seals qui fut parachuté dans la vallée d’Abbottabad, avait lancé le raid qui avait duré près de quarante minutes sous des feux nourris. Les ennemis étaient tenaces, cependant au terme de ces quarante minutes d’affrontement, la résistance ennemie avait flanché et le résultat fut sans appel : le leader charismatique des terroristes était mort. Sauf que Giovanni n’en tirait aucune joie au final… Il avait encore tué des enfants et il n’arrivait pas à le digérer cette fois. Selon lui, ils avaient fait trop d’erreurs dans cette opération menée par la CIA mais il n’avait rien dit, il s’était tout bonnement contenté de passer les entretiens afin de pouvoir intégrer la Police. Tout s’était fait en interne mais il gardait encore un souvenir amer de sa dernière mission.
San Francisco, Etats-Unis d’Amérique. Le 6 juin 2011
Sachant qu’il n’intégrerait qu’au mois de septembre, le jeune homme avait décidé de retourner auprès de sa sœur jumelle parce qu’elle lui avait énormément manqué. Cela faisait presque deux années qu’ils ne s’étaient pas trop vus à cause des missions mais aussi parce que sa sœur faisait beaucoup de déplacements. En effet la personne qui se trouvait à la tête de leur entreprise familiale, n’était autre que la jeune femme. Le fait qu’il soit le Président de Techwave lui octroyait la possibilité de mettre sa sœur jumelle à la Direction générale de la société et ce au grand dam du conseil d’administration de la société pionnière dans les énergies renouvelables. D’ailleurs, celle-ci s’était désormais établie à la Silicon Valley donc Gina s’était installée là-bas aussi ce qui voulait dire qu’elle séjournait beaucoup moins à Los Angeles. C’était donc la raison pour laquelle la première chose qu’il ferait pendant ses repos avant de rejoindre les rangs de la police. Sauf qu’en arrivant dans la propriété de sa sœur jumelle, il comprit tout de suite que quelque chose ne tournait pas rond alors il se précipita à l’intérieur de la villa dont la porte était grande ouverte. Il resta figé en voyant le capharnaüm qui régnait à l’intérieur de celle-ci… « GIIIIIIIIIIINAAAAA ! » appela-t-il mais pas de réponse alors il se mit à chercher sa sœur partout. Il la retrouva finalement dans la piscine qui n’était même plus bleue… « NOOOOOOOOOOOOOON ». Son hurlement de mort avait dû se faire entendre du voisinage mais il s’en foutait. Sa sœur s’était faite assassinée en plein ébats sexuels avec son petit ami vu que les deux jeunes gens étaient tous deux nus dans la piscine rouge de sang maintenant. Il récupéra le corps de sa sœur avant de la serrer contre lui tout en fondant en larmes… Quelques minutes plus tard, il se leva avant de faire une promesse en levant le poing au ciel. Il allait venger les meurtres abjects des membres de sa famille, surtout celui de sa sœur. Jamais il ne pardonnerait à ceux qui lui ont tout enlevé ! La police était arrivée sur place et après l’avoir interrogé longuement, ils le laissèrent s’en aller pour qu’il puisse préparer sa vengeance, sa reconversion en tant que policier.
C’est ainsi qu’au premier septembre de l’année 2011, il intégra l’école de formation des futurs officiers de la Police américaine. Très rapidement, il s’était démarqué des autres parce qu’il avait des conditions physiques, une intelligence hors du commun et sa persévérance le classait facilement à la première place de sa promotion. Beaucoup de ses camarades avaient tenté de le faire déjouer mais nul n’y était parvenu, si bien qu’à l’issue de cette fameuse formation, il termina major de promotion et il put choisir son unité. Préférant rester à Los Angeles, Giovanni décida de rejoindre la LAPD, plus précisément l’unité des opérations spéciales de la Police de Los Angeles : les Special Weapons And Tactics (SWAT). Jeune officier dans la Police, le fils prodige des Castelli avait désormais toutes les cartes en main pour parfaire sa destinée. Après avoir connu tant de malheurs dans sa vie, pourquoi ne connaîtrait-il pas lui aussi le bonheur ?
VI. LA RENCONTRE ET LE FRUIT D'UNE LIAISON PASSIONNEE
Le jour de l’anniversaire de la mort de sa sœur, Giovanni s’était rendu sur la tombe de celle-ci afin de lui apporter des fleurs comme tous les 6 du mois sauf pendant sa formation, mais aujourd’hui c’était une journée bien plus spéciale puisque cela faisait une année jour pour jour qu’il avait perdu la femme de sa vie. Dès lors, il s’était mis à travailler d’arrache-pied pour devenir un flic irréprochable tout en noyant son chagrin en couchant avec des nanas. Et dire qu’avant il s’était promis de ne jamais faire de coucheries sans lendemain, sauf que maintenant c’était clairement son quotidien. Il n’avait pas réellement le temps de se trouver une femme puisqu’entre son travail et les sorties quotidiennes avec ses collègues et amis, il ne pouvait guère prêter attention à une femme hormis si elle se trouvait dans son lit. Sauf que le lendemain, il s’éclipsait avant qu’elle n’ait le temps de s’en rendre compte… C’était son quotidien jusqu’à ce fameux jour ! Il devait se rendre à une soirée mais il ne semblait guère en bon état, ce qui était un peu normal vu le temps qu’il avait passé auprès de la tombe de sa défunte sœur jumelle. Cependant pour faire plaisir à ses camarades, il s’était mis dans l’ambiance, buvant plus que de raison jusqu’à ce qu’il la voit… Cette jolie brunette ! Sa future proie pour ce soir ! En effet quelques instants plus tard, il s’était approché d’elle afin d’engager la conversation. La suite était bien facile à deviner : ils couchèrent ensemble jusqu’au petit matin ! Comme à son habitude, Gio s’était éclipsé avant qu’elle ne se réveille sauf qu’à ce moment-là, il ne se doutait vraiment pas qu’il reverrait cette jeune femme un jour. Comment elle s’appelle déjà ? Ah oui voilà : Hayley Whoodson !
Multipliant les opérations spéciales avec son unité du SWAT de la LAPD, le Lieutenant Giovanni Castelli ne se préoccupait que d’une chose à l’heure actuelle : son prestige. D’ailleurs, il savait qu’il était encore considéré comme le président de Techwave même s’il ne l’était que symboliquement maintenant vu qu’il avait mis à la baguette un CEO digne de confiance, qui faisait prospérer la société. Le bel officier de la LAPD ne se contentait que de mettre sa signature sur les dossiers les plus sensibles ou bien de présider les grandes séances de réunion du Conseil d’administration. Qu’importe, sept mois après cette fameuse soirée arrosée où il avait couché avec cette délicieuse inconnue, ladite jeune femme faisait irruption dans son bureau au siège de la LAPD… « Je suis enceinte ! » annonçait la jeune femme sans préambule, ce qui sidéra Gio l’obligeant à lever les yeux de ses dossiers pour regarder son amante d’un air incrédule. Il ne pouvait y croire mais il avait tout de même préféré appeler un gynécologue, puis ils y allèrent ensemble pour faire une échographie. Celle-ci confirma la grossesse d’Hayley ! Ainsi donc elle avait fait un déni de grossesse pendant tout ce temps ! Leur enfant naquit le 5 février 2013, il s’agissait d’une petite fille toute mignonne aux cheveux bruns comme ses deux parents. Ils l’appelèrent Valentina Whoodson-Di Castelli. Afin de pouvoir accueillir sa fille dans un univers sain, il avait déménagé dans le quartier italien de Montebello…
Plus de trois années plus tard, sa petite princesse avait bien grandi et elle allait déjà à l’école parce qu’elle est en avance par rapport aux autres enfants de son âge. Le plus compliqué dans l’histoire, c’était que la garde de la petite était devenue le sujet de discorde par excellence entre Hayley et lui-même si par la même occasion, ils étaient redevenus amants… En soit c’était une relation bien compliquée et qui mérite plus ample précision que les protagonistes eux-mêmes devront donner. Quant à son travail, il faisait toujours partie du SWAT de la LAPD et récemment, il avait reçu une promotion : il était nommé à la tête du SWAT et promu au même titre au grade de Capitaine. Les criminels de la ville de Los Angeles n’avaient qu’à bien se tenir parce que le Capitaine Di Castelli n’allait pas leur faire de cadeaux !
ICONS © luvmyBiebur
Dernière édition par Giovanni Di Castelli le Mer 31 Aoû 2016 - 3:43, édité 13 fois |
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| Sujet: Re: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men Dim 28 Aoû 2016 - 23:13
| Bienvenue sur LAPD ! Bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men Dim 28 Aoû 2016 - 23:20
| Merci |
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| Sujet: Re: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men Dim 28 Aoû 2016 - 23:34
| Bienvenue ! IAN - Spoiler:
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| Sujet: Re: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men Dim 28 Aoû 2016 - 23:35
| J'aime bien ces petits gifs ! Il nous faudra un lien ça veut dire ^^ |
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| Sujet: Re: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men Dim 28 Aoû 2016 - 23:40
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| Sujet: Re: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men Dim 28 Aoû 2016 - 23:41
| Bienvenue sur LAPD. |
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| Sujet: Re: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men Dim 28 Aoû 2016 - 23:50
| Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men Lun 29 Aoû 2016 - 0:39
| Bienvenue chez toi beau mâle |
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| Sujet: Re: GIOVANNI ▶ Strength of thousand men
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| | | | GIOVANNI ▶ Strength of thousand men | |
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They call it the city of angels but all the devils are here
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