L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
|
|
| and all the devils are here
| Sujet: thunderhearts w/ greta Dim 28 Aoû 2016 - 13:54
| all i really want is to be wonderful people in this town they, they can be so cruel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C'est avec le coeur lourd que tu te lèves aux aurores. Tu sors rapidement de chez toi, n'ayant aucune envie e rester plus longtemps entre ces quatre murs gris qui te servent d'appartement. C'est trop terne, c'est trop vide, et des fois, à bien y regarder, tu as l'impression que ces murs se referment peu à peu sur toi, comme si malgré tous tes efforts tu étais toujours le prisonnier de quelque chose ou de quelqu'un. Résumé amer d'une vie encore trop courte. Tu prends un café en chemin, comme à ton habitude, et tu marches dans les rues encore vides de Los Angeles. Il y a quelques passants déjà, le contraire serait bien difficile, mais pour le moment tout est encore calme, et c'est le moment que tu préfères dans la journée. Quand tu as l'impression que la ville se réveille doucement, sublimement. Tu savoures ce soleil qui se lève, tu savoures la tranquillité ambiante qui fera bientôt place à une nuée de monde. Ceux qui partent travailler, ceux qui partent étudier. Avec le temps, et ce rituel matinal, tu as pris le temps d'observer les autres. Leurs traits, les façons de marcher, de sourire, de regarder autour d'eux. Tu ne sais pas ce que tu attends de ces petites analyses, tu ne cherches pas à comprendre ces personnes, peut-être juste à te prouver qu'on peut être qui l'on veut et qu'il n'y a pas toujours des murs épais pour bloquer l'avenir. Tu respires, prends une gorgée de ta boisson, et tu te diriges vers Beverly Hills. Ces maisons, ces villas, ces appartements, tous plus luxueux les uns que les autres. Tu as longtemps observé ce genre de quartier quand t'étais plus jeune, admirant chaque beauté et richesse qui se présentait à tes yeux. Aujourd'hui tu ne sais pas quoi en penser, parce que tu as réussi à pénétrer dans cette bulle, même si ton statut ressemble plus à celui de larbin qu'à autre chose, ça te satisfait étrangement. Tu n'as pas besoin de réfléchir à quoi faire, à comment agir, parce que tu reçois des ordres que tu exécutes, ou bien tu repères et répares le problèmes avant qu'on ne puisse le remarquer. Un travail simple qui t'apporte un minimum de stabilité. Tu jettes ton café dans la première poubelle que tu vois, et tu pénètres dans la demeure de ta patronne. Il est encore tôt, et tu dois faire le tour de la maison pour vérifier qu'il n'y a aucun soucis avant son réveil. Tu arrives dans la cuisine, et tu t'effraies un peu en voyant une silhouette. "Mme. Kelly, je ne vous pensais pas déjà levée." Tu lances poliment, le dos droit pour être parfaitement présentable. Tu ne fais pas ce métier depuis bien longtemps, mais tu sais parfaitement comment te comporter devant ceux pour qui tu travailles. Pourtant, avec elle, les choses semblent différentes.
Dernière édition par Thom Gyllenhaal le Ven 2 Sep 2016 - 16:57, édité 1 fois |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: thunderhearts w/ greta Lun 29 Aoû 2016 - 22:32
| all i really want is to be wonderful people in this town they, they can be so cruel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mes prières auront finalement été exaucées. Non, Michael n’a pas décroché la lune, il n’a pas non plus arrêté d’être le roi des cons, il ne s’est pas ENFIN décidé à faire un pas en avant ou en arrière. Il n’a rien changé de tout cela et je passe toujours pour la salope qui se tape le mari d’une pauvre petite femme qui demande le divorce. On ne voit jamais ô combien la femme, celle qui a le mauvais rôle, est humaine et incapable de s’en empêcher. Et puis merde, ils divorcent non ? Parait qu’il l’aime, parait aussi qu’il veut la retrouver et tout arrêter… Son discours était largement différent deux heures plus tard lorsqu’il s’attelait à rechercher l’orgasme bien profondément entre mes cuisses. Inutile de vous faire un dessin, je rentre en effectuant le walk of shame le plus réducteur et humiliant de toute ma vie. A peine arrivée, les cheveux ébouriffés, le maquillage de la veille bien foireux et dégoulinant, à peine le temps d’attraper un verre pour le remplir d’un liquide qui, je l’espère, me sera salvateur que déjà j’entends la serrure s’exciter non loin de moi et laisser apparaitre ce petit jeune que j’ai embauché il y a plusieurs mois de cela pour s’occuper de la maison, de la piscine… Il est mon homme à tout faire, que ferais-je sans lui ? Il m’a aidé à repeindre ma chambre au début de l’été, vous auriez dû voir son torse musclé et transpirant, tacheté ici et là par la peinture lorsqu’il a retiré son t-shirt. Quoi ? On s’inspire de belles choses pour peindre de belles choses non ? Je le regarde, honteuse, et un sourire vient apporter un léger dynamisme à mes lèvres lorsqu’il sursaute en me découvrant dans la cuisine. « Je rentre seulement Tommy… Je m’apprête à faire le chemin inverse, aller dormir ! » Je ne supporte pas qu’il m’appelle Madame Kelly, je prends déjà un coup de vieux quand je suis à côté de lui, rien de plus mémorisant qu’un madame, il le sait, je ne cesse de lui répéter mais il semble ne pas pouvoir s’en empêcher. « Tu as tout ce qu’il te faut ? Tu veux que je te cuisine un petit quelque chose ? Te connaissant tu n’as surement pas petit-déjeuner ! » Je le connais comme si je l’avais fait, parfois j’ai l’impression d’être sa mère… Heureusement que non !
|
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: thunderhearts w/ greta Mer 31 Aoû 2016 - 2:22
| Tu la regardes intensément, le plus discrètement possible en même temps. Tu vois pas qu'elle n'est pas en habit de nuit, et qu'elle n'a pas dû se lever maintenant, mais par politesse c'est ce que tu dis. Tu n'as pas de quoi te mêler de sa vie après tout, tu n'es que son employé. Elle t'avoue pourtant sans hésiter la vérité, qu'elle rentre tout juste et qu'elle allait se coucher. Sans honte, avec un naturel terriblement attirant. Tu hoches la tête sans répondre, en souriant. Tu conviendras facilement que sa vie doit être plus palpitante que la tienne en ce moment, et ça pourrait même te distraire d'entendre ses anecdotes, comme elle a déjà pu t'en raconter. Habituellement, tu ne sympathises pas avec les gens pour qui tu travailles. Tu te contentes de faire ce qu'on te demande, d'être le meilleur possible dans ton travail et de te faire respecter en faisant un travail impeccable. Mais avec elle, tout est différent. Tu aurais presque l'impression de parler à une amie, si il n'y avait pas la barrière du travail. C'est plaisir pourtant, de pouvoir être considéré, d'avoir droit à un surnom chaleureux et à un peu d'attention. Tu n'en n'as jamais vraiment demandé, habitué à ne pas en recevoir et devoir t'en passer, alors tu ne sais pas forcément comment réagir. Tu es touché par ça, mais comme à ton habitude, tu as beaucoup du mal à montrer tes sentiments, tes impressions. Tu ris à sa réflexion. C'est vrai que tu n'as pas petit-déjeuner, tu ne le fais jamais, habitude coriace. "C'est moi qui devrais vous demander ça, mais non, je n'ai pas mangé ce matin." Tu réponds alors, en ayant l'impression de te rapprocher d'une ligne dangereuse. Ton regard plongé dans le sien. Tu te tais un court instant, avant de reprendre. "Je ne voudrais pas vous éloigner plus longtemps de votre sommeil. Mais je peux vous proposer des omelettes avant, vous connaissant, vous n'avez pas dû manger depuis longtemps." Tu reprends ses dires, et tu t'approches un peu plus de la cuisine, et des placards, prêt à sortir une casserole en cas de réponse positive. Evidemment, il serait beaucoup mieux pour ton travail qu'elle refuse et qu'elle aille se coucher, que tu puisses te concentrer sur tes tâches. Mais tu n'es pourtant d'humeur à te concentrer que sur une chose, et ce n'est pas ton travail.
Dernière édition par Thom Gyllenhaal le Ven 2 Sep 2016 - 16:57, édité 1 fois |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: thunderhearts w/ greta Mer 31 Aoû 2016 - 17:22
| all i really want is to be wonderful people in this town they, they can be so cruel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Thom me surprend et pourtant, je n’oublie jamais les jours où ils se présentent pour travailler. Il passe le plus clair de ses semaines ici du matin au soir à être sur tous les fronts. Tantôt en train de s’improviser plombier et à réparer quelques petites fuites dans l’une des trois salles de bain ou dans la cuisine, parfois à monter les meubles que je viens fraichement d’acquérir, d’autres fois à nettoyer la piscine ou à passer la tondeuse à gazon dans le jardin. Je l’ai toujours trouvé très adroit, habile de ses mains, il prend toujours le temps nécessaire lorsqu’il s’occupe de mes arbres, des buissons à tailler. Il a le sens du détail malgré l’épaisseur de ses doigts qui pourrait être assez embarrassante. Il n’est pas rare que je le regarde travailler lorsque je suis également à la maison, il est réservé mais j’ai appris à le connaitre avec le temps. Comme mon amie Elise ne cesse de me le répéter lorsque je parle de lui, c’est-à-dire à chaque fois que l’on prend le café toutes les deux ou que l’on va faire du shopping, je ne peux plus me passer de lui. Je lève toujours les yeux au ciel lorsqu’elle dit cela en prétextant un mensonge des plus scandaleux sauf que… Sauf qu’elle a peut-être raison. Mon quotidien serait bien terne sans cette petite touche de fraicheur, de bonne humeur et de patience qui m’apprend à ne pas donner trop d’importance aux aléas du quotidien. « Je le savais, tu sais que le petit-déjeuner c’est le repas le plus important de la journée Tommy ? » Il doit le savoir, je ne fais que de lui répéter de toute manière. Cette fois avec moins de sérieux et plus de second degré que d’habitude, il est bien assez grand pour savoir ce qui est bon pour lui de toute manière. Il me propose de préparer le petit-dej… J’entends au loin la voix d’Elise qui me répète : tu ne peux pas te passer de lui. Putain ce qu’elle a raison ! « J’accepte si tu commences à me tutoyer, j’ai l’impression d’être une grand-mère quand tu me vouvoie ! » Je termine sur un ton boudeur, je ne suis pas si vieille que ça non ? Peut-être qu’il me prend pour une vieille, vous croyez qu’il me prend pour une vieille ?! « Je vais me rafraichir et me plonger dans une tenue plus confortable que cette robe, je reviens ! » Michael a voulu faire les choses bien, que nous soyons tous les deux sur notre trente-et-un pour aller au restaurant, je l’ai pris au pied de la lettre. Un passage à l’étage pour abandonner mes vêtements, retirer les restes du maquillage de la veille et enfiler un short de jogging avec une robe de chambre légère. Un dernier regard dans le miroir pour vérifier que je ne suis pas trop négligée et je redescends à la cuisine. « Hm, ça sent bon ! » Quitte à petit-déjeuner, autant ne pas faire les choses à moitié, j’attrape trois oranges que je commence à presser histoire d’avoir un bon jus de fruit frais pour accompagner son omelette. « Quels sont tes objectifs du jour ? » Je lui demande, toujours concentrée sur mes oranges sans pour autant parvenir à le quitter des yeux, il a cette présence qui retient l’attention, difficile de ne pas se sentir toute petite à côté de lui.
|
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: thunderhearts w/ greta Ven 2 Sep 2016 - 21:49
| Tu n'es qu'un petit garçon des rues, au final. T'as grandi loin de chez toi, parce que tu trouvais que c'était invivable dans cet appartement abîmé par le temps, par tes parents. Tu y passais pour dormir, quand tu ne trouvais pas un meilleur endroit où logeais. Tu y passais pour t'occuper de ta jeune soeur. Tu t'es éduqué toi-même à la dure, par l'expérience. T'as appris des choses essentielles en grandissant ainsi, mais tu as aussi appris des choses, des habitudes, que tu conserves contre ton gré. Celle de vouvoyer tout le monde en est une. T'as du mal à tutoyer l'autre. Premièrement, parce que c'est une certaine forme d'intimité dont tu n'es pas préparé. Deuxièmement parce que t'as grandi en te mettant en tête que tout le monde valait mieux que toi. Tu vouvoies parce que tu respectes, parce que tu sais pertinemment tu es en bas de la chaîne, et que ceux qui t'entourent sont bien souvent au-dessus. Il n'y a que les petites frappes que tu ne vouvoies pas, pas par manque de respect, mais parce que tu les comprends. Tu n'oublies pas d'où tu viens, jamais. "Habitude tenace, le vouvoiement, mais plus maintenant." Tu réponds pour la rassurer. Tu ne le feras plus. T'es même content de pouvoir la tutoyer. C'est pas la première fois qu'elle te dit de le faire, mais tu pensais simplement que c'était par courtoisie. Tu comprends maintenant qu'elle en a vraiment envie, peut-être même besoin. Tu hoches la tête, en sortant la casserole ainsi que les oeufs. T'as presque l'impression d'être chez toi, à préparer le petit-déjeuner. C'est pas dans ton contrat ça normalement, mais tu le fais par plaisir. Pour elle, pour toi, pour passer un moment unique. Tu n'oublies jamais d'où tu viens, non, et pourtant, quand tu es ici, tout change. T'as l'impression d'être quelqu'un, et d'être utile. Deux qualités que tu n'as jamais vraiment ressenti comme tiennes. Pourtant Greta te faire te sentir comme ça. C'est sûrement pour ça que tu te sens mieux ici que chez toi, ou que n'importe ailleurs. Tu rajoutes quelques épices, et tu la vois redescendre, vêtue plus simplement. Sans nul doute vu sa tenue précédente qu'elle a dû avoir une grande soirée, et qu'elle était resplendissante. Pour autant tu la préfères comme ça. Plus authentique, plus naturelle, plus elle. Elle, toi, un petit-déjeuner, tout en simplicité. "La porte du garage coince, je vais la réparer. Ah et je reçois les nouvelles fleurs, pour le jardin aussi." Tu réponds, comme si c'était intéressant. T'as pas l'impression de l'ennuyer pour autant. "Et les tiens ?" Tu rétorques, sourire aux lèvres pour lui montrer que tu as bien retenu la leçon. Tu sors deux assiettes. Il ne suffit que de quelques minutes pour faire des omelettes, c'est bien pour ça que tu sais les faire. Tu éteins le feu, et dépose délicatement l'omelette sur l'assiette de Greta avant de la déposer devant elle, et d'en faire de même pour toi. Tu t'installes à ses côtés, en oubliant presque les limites que tu veux absolument établir entre toi, et le reste du monde. C'est parce que tu te sens bien ici. Parce que tu te sens mieux quand elle est là. |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: thunderhearts w/ greta Mer 7 Sep 2016 - 18:21
| Je me sens tellement âgée lorsque Thommy utilise le vouvoiement pour s’adresser à moi. Je peux comprendre la raison qui le pousse à agir de la sorte. Dans notre société vouvoyer est une marque évidente de respect, on ne peut pas s’en sortir sans y avoir recours. Un exemple ? Le formel imposé dans le cadre professionnel en permanence, ce besoin de tout hiérarchiser sans arrêt. A l’école j’ai opté pour une méthode radicalement différente, m’investir émotionnellement et offrir un peu plus de chaleur à mes étudiants. Personne ne s’adresse à moi en me vouvoyant, non seulement je demande à ce que l’on utilise le tutoiement pour me parler mais je préfère également que l’on m’appelle par mon prénom. Apprendre avec familiarité n’a jamais tué personne ! J’ai d’autant plus de mal à accepter le vouvoiement lorsqu’il vient de Thom qu’il met en exergue cette différence d’âge qui nous sépare, inutile de me rappeler que quatorze longues années nous séparent. Vieille, j’ai l’impression d’être un dinosaure lorsqu’il s’adresse à moi et c’est quelque chose que je ne pourrais jamais supporter. Il se montre rassurant et assure que le vouvoiement c’est terminé, je compte bien le prendre au pied de la lettre et m’assurer qu’il se tienne à cette exclamation. « Promis ? » Il n’est pas du genre à faire des promesses en l’air, je le prends donc doublement en otage, la prochaine fois qu’il me vouvoie il aura droit à un petit coup de pied aux fesses. Peut-être pas aux fesses, je ne voudrais pas endommager ce fessier bien musclé que je me perds parfois à contempler alors qu’il travaille durement à améliorer mon quotidien. STOP, ne deviens pas cette femme Greta. Je profite d’un moment de flottement pendant lequel Thom s’affaire à nous préparer le petit-déjeuner pour rejoindre la salle de bain et me démaquiller, retirer les restes d’une soirée beaucoup trop appréciée et me trouver une tenue plus légère, plus confortable. Je me sens tout de suite mieux dans ma peau, prête à retrouver ce gamin qui m’apporte une chaleur dont je manque cruellement. Vous n’avez pas idée de ce que sa présence me fait, je me sens bien lorsqu’il est dans les parages, en sécurité, plus femme que jamais. Il n’a pas besoin de parler, pas besoin de me regarder pour que je comprenne lorsque quelque chose le tracasse. Tous les deux on passe énormément de temps à discuter, chose qui n’arrivait pas autant avec mes précédents employés. Exceptionnel, il est cette exception qui te donne l’impression d’avoir pris la meilleure décision de ta vie à un moment ou un autre. Je m’adosse à la chaise face à lui et rapproche nos deux verres de jus d’orange, curieuse d’en apprendre davantage sur ce qui constituera sa journée de travail. « Les nouvelles fleurs ? Celles qui devaient être livrées la semaine dernière ? » La faute à une rupture de stock, me semble-t-il. Je ne me souviens plus des détails, juste du retard dont j’ai été informée directement par la compagnie concernée. Il opte finalement pour le tutoiement et fait naitre un sourire satisfait et enjoué sur mes lèvres. « Dormir une bonne heure, pour commencer, histoire de recharger mes batteries. J’irais faire un tour au studio de danse ensuite, j’ai besoin de me défouler, d’évacuer certaines choses. » Il n’y a que la danse qui me permet de m’exprimer librement, j’oublie ma pudeur et me livre à cent pourcent. Je suis incapable d’en faire autant en utilisant les mots, ça fait bien trop mal. « Si t’as besoin d’un coup de main, j’pourrais venir t’aider si tu veux, ça ne me fera pas de mal de jardiner un petit peu… ça fait tellement longtemps ! » Le jardinage n’est pas ce qui me motive, j’éprouve juste ce besoin étouffant de profiter de sa compagnie, de ne pas trop m’éloigner.
|
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: thunderhearts w/ greta
| |
| | | | Page 1 sur 1 | | |
Sujets similaires | |
|
They call it the city of angels but all the devils are here
| | |
| |
|