« Fair enough. Au pire, je te filerais son adresse, j'ai les registres dans mon bureau.» Je soupire mon regard perdu dans le vague avant de poser mes yeux sur elles, j'esquisse un sourire. Elle ne devrait pas se meler de ça qu'elle garde encore un peu d'innocence cela lui va si bien au teint: "
Ne t'en fais pas, je n'aime pas finir le travail. Je m'occuperai de lui plus tard ..." J'observe le vieu gros tas assis labas... me demandant comment j'allais faire pour lui faire payer sa trahison, je n'irai pas jusqu'au meurtre. Je ne m'abaisse pas à ce genre de chose, mais la souffrance est un bien meilleur moyen, psychologie et physique... Je vais lui faire regretter cette façon de faire... Notre conversation finit par changer du tout au tout, sur une conversation antérieur que j'ai eu avc la matriarche de la famille Carstairs, Brittany Carstairs. Une femme aimante rongé par ses secrets et ceux de son mari.
« C'est pas parce qu'elle est gonflée de partout que je dois en faire de même. Mais ouais... Je verrais, ça dépendra de mon humeur.» Je me suis mis a rire, comprenait elle le geste de notre mère véritablement? La culpabilité finit par la rongé et à son grand âge, la jeunesse est un doux souvenir : "
C'est une spirale infernale pour elle tu sais, elle arive à un âge où la jeunesse est un prix à payer, Elle veut le mieu pour toi, même si ce n'est pas ton goût d'être une barbie refaite de tout les sens..." Ce serait surtout terriblement dommage n'est ce pas?
Ele cherche les compliment auprès de moi, je pourrais tellement lui dire pleins de trucs qui fairai vomir Meg Ryan, mais j'ai été très maladroit la comparant aux danseuses de son club, gros malin bravo! Elle fronçe les sourcils et tu sens qu'elle la mal prit, finalement elle sourit comme quoi je n'ai pas été trop méchant «
On va dire que ça me va. T'façons je sais que je plais aux garçons, ça doit bien vouloir dire que je m'en sors.» Elle sourie, ce sourire ilumine son visage montrant son coté pin up et dragueuse... Elle plait aux hommes et je le sais bien, elle me plait à moi... Damian c'est ta soeur certes fausses, mais pense à ce que te dit tes parents sur tes véritables sentiments sur ta soeur: «
J'hésite entre rentrer et reprendre un verre et aller danser. Ce soir j'étais même pas censée être là, j'avais aucun rendez vous.» Je me mis à sourire : "
Tu es majeur maintenant ! La ville est a toi pour la nuit si tu le veux" disais-je d'un leger rire alors que je finis mon verre à mon tour... Elle s'approche de moi tirant sur ma cravate, prenant un visage mignonne. Ce regard tendre qui veut tout dire, comme si elle voulait une chose de moi et que bien sur je ne pourrais pas refuser, car c'est ma soeur et que je l'aime et je fairais tout pour la rendre heureuse, car elle le mérite. «
Si j'vais danser, tu viens avec moi, dis ?» de drôle d'envie me vienne en tête ce qui me fit déglutir avant de poser ma main sur sa joue d'un geste tendre en lui disant: "
C'est demander si gentillement, comment refuser?" disais-je avant de me rendre compte que le comptable se leva:, je n'avais pas beaucoup de temps avant de l'intercepter je pose mes mains ur les épaules de Ozalee: "
Ecoute, laisse moi dix minutes le temps que je règle une affaire. Reprend toi un verre, je profite pour appeller Alfred qu'il vienne nous chercher et on va ou tu veux. " Disais-je avant de déposer un baiser sur sa joue et m'écarté d'elle. Je sors mon téléphone appellant le numéro abrégé {#}
8{/#} qui correspondait à Alfred : "
Alfred? Oui bon Armand, pouvez vous venir au Club de Miss Carstairs? Nous allons danser et profiter de la soirée... Bien dans quinze minutes? Très bien, appeller le Nettoyeur dites lui de venir au manoir demain j'aurai un travail pour lui. " Tandis que je raccroche je bouscule Mr Wilkes: "
Oh Pardon! Oh Quel surprise ! Mr Wilkes ! Justement je voulais vous voir est ce qu'on peut se voir en priver, mon père ma chargé de vous parler de quelques choses... Je glisse mon bras derrière son dos un gros sourire sur les lèvres, j'observe ma soeur au loin et on passer par l'arrière sortant par l'entrée des artistes... Nous marchons quelques pas et je sors une cigarette d'un paquet se trouvant dans ma veste, je l'allume saisissant une barre de Fer. : "
Vous savez pourquoi je vous amène là ?" la voie était sans issue car c'était très bien garder par deux gorilles qui protègent les filles du club. Je place la bar sur mon épaule et il m'avoue : "
C'est les affaires n'est ce pas?" Je me mis à rire d'un rire nerveux un peu psychopathe, mais je n'aimais pas arboré ma vraie personnalité, car cela ne me ressemble tellement pas. "
Effectivement, les affaires sont pas bonne... 300 000 $ c'est un gros chiffre n'est pas ? Appareil dentaire ? Nouveaux seins pour madame? " Il ne comprend pas, mais forcement les temps sont durs
Je...ne comprend pas Je jete ma cigarette un terre avant de le prendre par le col:
Tu ne comptes pas voler mon père quand même? Nooon ! Ne me prend pas pour un con Wilkes, Ce club est tout pour mon père et maintenan c'est le tresor de ma soeur... Il va falloir que je te fasse mieu comprendre je pense. Je pousse il recula en arrière. Je devais me souvenir des conseils de mon père. Je saisie la barre de fer, donnant un violent coup dans le ventre, l'homme se retrouve a quatre pattes fasse à moi et je donna un second coup dans le dos en evitant de prter le poid du coup sur la colonne. Je veux qu'il souffre par qu'il soit paraplégique. Il se roule de douleur chouinnant comme un enfant. Je saisie son porte feuille tomber à terre trouvant sa carte d'identité et une photo d'un animal, surement un chat, mais il est moche on dirait une chaussette retournée. "
Ecoute moi bien ! Tu m'écoutes ou pas là ! Je le gifle j'ai l'impression de le perdre "
Tu as une semaine pour rendre l'argent. Mon père reviendra à ce moment et il ne lachera pas l'affaire.. Il tombe dans les pommes, je le lache le laissant tomber à terre, je me redresse remettant mon costume en ordre et me recoiffant. Je fais signe aux gorilles " Jeter moi ça hors du club, mais ne rentrer pas, j'ai promis à Ozalee de ne pas faire de grabuge. Qu'il ne reviens pas au club c'est entendu? On veut pas de ce minable ici." Je file deux billets de 100$ aux gorilles pour acheter leurs silence et je reviens dans le club. Observant ma soeur, un sourire sur les lèvres je glisse mon bras autour de sa taille: "
Etes vous prête mademoiselle? Notre carosse nous attend."