L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
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| C'est une vaste place de bitume, peuplée de voitures en tout genre. Divisé en deux, le parking de l'hôpital accueille d'un côté les véhicules des patients, de leur famille, mais aussi des professionnels. De l'autre, un large espace est réservé à l'arrivée des camions de pompier et des ambulances avec une entrée menant directement aux urgences. Le parking est souvent arpenté par les jeunes internes et les infirmières qui s'y rendent le temps de fumer une cigarette et de discuter avec leurs collègues avant de retourner au bloc.
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Le hall d'entrée de l'hôpital renvoie une image sophistiquée et professionnelle de l'établissement. Les murs d'un blanc immaculé entourent les ascenseurs et le bureau de l'accueil principal. Des panneaux vous indiquent le chemin à suivre pour rejoindre le service désiré. Toutefois, si vous vous sentez perdu, n'hésitez pas à demander votre chemin au personnel d'accueil qui vous redirigera avec le sourire vers l'endroit que vous souhaitez atteindre. C'est aussi dans ce hall d'entrée que se situe la salle d'attente des urgences.
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La cafétéria n'est pas reconnue pour sa grande gastronomie. Pour autant, c'est un des centres névralgiques de l'hôpital. C'est là que se retrouvent les médecins et les infirmières pendant leurs courtes pauses. On y trouve aussi les proches des patients qui attendent impatiemment d'avoir de leurs nouvelles. Les personnes qui se trouvent ici sont souvent de passage et ne s'attardent pas trop. En plus du self service, on y trouve des machines à café et des distributeurs, pour ceux qui auraient une petite faim.
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Au rez de chaussée de l'hôpital se trouve une petite chapelle. Cette salle est souvent vide. La décoration y est minimaliste. Les murs sont blancs, une croix orne l'un d'entre eux et quelques bouquets de fleurs y sont entreposés. Des bancs occupent l'espace principal afin que chacun puisse y trouver sa place. Parfois, on y aperçoit des patients, en quête de sens. Mais, bien souvent, c'est là que se rendent leurs proches pour prier et réclamer une dernière chance. Même les personnes les moins religieuses finissent par s'y rendre, sans trop savoir qui voudra bien entendre leurs prières.
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Il y règne souvent une ambiance chaotique. Alors que certains tentent de rassurer leurs patients, d'autres courent dans tous les sens pour sauver les leurs. Une chose est sûre : ici, les médecins ne s'ennuient jamais et n'ont pas une minute à eux. Pour garantir l'intimité de chacun, chaque salle est réservée à un patient qui est examiné avec attention par un corps médical expérimenté. C'est ici que sont dispensés les premiers soins et, bien souvent, les patients devront ensuite être déplacés dans d'autres services. Attention : il faudra dépenser des points pour pouvoir poster dans cette catégorie.
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L'hôpital de Santa monica est l'un des plus sûr de la ville. Cette réputation, on la doit aux efforts déployés par la direction pour assurer un service de sécurité performant. Au rez de chaussée de l'hôpital se trouve donc une salle, dont l'accès est protégé par un code, où les agents de sécurité surveillent en permanence les écrans vidéo. Toutefois, leur vigilance est plus ou moins accrue selon les heures de la journée, d'autant plus que ce ne sont que des hommes, des hommes qui ne résisteraient pas longtemps à une importante somme d'argent...
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A tous les étages, on trouve la même disposition. Un long couloir, et une suite de chambres qui se ressemblent tous. Décor aseptisé, mais accueil chaleureux assuré par des infirmières qui se veulent souriantes et rassurantes. Si les plus riches des patients peuvent se payer une chambre individuelle, voire une chambre de luxe qui s'apparenterait presque à une suite d'hôtel, le plus grand nombre d'entre eux devra partager sa chambre avec une autre personne, l'intimité de chacun étant garantie par un rideau tiré entre deux lits.
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Située au sous-sol de l'hôpital, la morgue n'est pas un endroit très animé. Les quelques médecins qui y travaillent se sentent souvent seuls et désemparés face aux corps qu'ils doivent examiner. L'endroit est froid et désagréable. Les néons ont tendance à grésiller. On y trouve plus souvent la police, en quête de réponses, que la famille des victimes, souvent peu enclines à venir voir le cadavre d'un être cher.
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 ►ce sujet a été posté par L.A.P.D.
[ Aller à la page: 1, 2]Lun 3 Juil 2017 - 22:40 Arizona Harper-Duval | ►ce sujet a été posté par L.A.P.D.
[ Aller à la page: 1, 2]Lun 6 Mar 2017 - 16:03 Invité | ►ce sujet a été posté par L.A.P.D.
Lun 23 Jan 2017 - 12:38 L.A.P.D. | |
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