Ozalee & Damian Carstairs

I got this crazy feelin', you are my destiny...

« Maître Carstairs voulez vous rentrer au Manoir ? Ou a votre appartement ? » Ce qui est bien quand on est un Fils Carstairs, c’est de pouvoir bénéficier du chauffeur quand Papa est à New York et c’est le pied. Il est discret et ne cause aucun problème, même si je n’arrive pas à me souvenir de son prénom, sûrement parce que j’en ai pas envie je l’appelle Alfred. « Hum, on est loin de Montebello ? » Demandais-je alors que l’idée d’aller voir Ozalee sur son lieu de travail pourrait être drôle. Bien qu’elle soit sous couverture, je vérifie toujours que tout se passe bien, c’est surtout Georges qui me demande d’être là pour elle, car gérer un tel endroit à son âge peut être problématique. « Non Monsieur, nous sommes proche de ce quartier. Voulez vous passer voire Dame Ozalee ? » Je soupire en regardant par la fenêtre, les gens dehors semblent presser ou totalement dépressif. Aucun sourire, ni joie de vivre. On serait dans le Connecticut je pourrais comprendre, mais on est à L.A bordel. « Oui, allez y Alfred. » Le chauffeur semble prendre son travail au sérieux, même plus il ne me corrige… Aurait il vraiment changer son prénom en Alfred ? Je demanderai à père de l’augmenter. Après une vingtaine de minutes coincé dans les embouteillage de Hollywood boulevard, on arrive à Montebello et quelques secondes, la voiture se gare sur un parking. « Vous voila arrivez Monsieur. » Je le remercie et je sors du véhicule, reboutonnant ma veste de costume. Un costume italien importé de Milan, Brittany m’a donné le goût de bien m’habiller et surtout avec Classe ! Je check mes mails ainsi que mes messages. Rien de nouveau tant mieu, je pensais rentré comme ça quand un Gorille de 2m10 me bloque l’entrée : « Monsieur cette soirée est privé ! » Je lève les yeux, comme si j’avais besoin d’une invitation « Pardon ? C’est moi qui donne ton salaire à la fin du mois quand le patron n’est pas là, alors laisse moi voir la patronne. » Un agent de mon père pour protéger l’endroit ? Il est vraiment pas bête ce vieu fou. Je rentre, l’odeur était prenante un mélange d’eau Cologne bon marcher et de parfum féminin. Je m’approche du bar, l’endroit était plutôt tranquille, la musique un peu trop forte et les danseuses un peu trop scabreuse à mon goût. Je commande un scotch sans glace et j’observe la scène. Le spectacle était tout de même renversant, surtout que je remarque la tête rousse de Ozalee qui se dirige vers le Bar : « Salut Soeurette, petite inspection surprise du grand frère. » disais je d’un rictus, cela m’amusait du moins de jouer les patrons avec elle, elle était vraiment de toute beauté ce soir comme tout les jours après tout. Oh voila que je deviens pipou.

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« Virez moi celui à la table 6. Il prend aucune conso et parle mal à une des filles. » D’un hochement de tête, un des hommes engagés pour la sécurité du club s’écarte d’Ozalee pour aller dans la salle, tandis que de son côté, perchée sur ses talons, et pourtant toujours aussi petite, elle se faufile entre les clients pour aller jeter un œil au bar. Ainsi maquillée, coiffée et moulée dans sa robe bleu électrique, elle attire le regard des hommes, et elle le sait. Elle passe aisément pour une simple employée, et pourtant, ils devinent qu’ils ne peuvent la toucher qu’avec les yeux, et Lili, elle se délecte de cette emprise qu’elle a, elle aime voir qu’en deux mois de temps, elle a gagné le contrôle de la situation, malgré la perplexité de ses parents. Au loin derrière, la rouquine entend des cris de protestation, et soupire. Les clients lourds sont les pires, et elle avoue avoir fait un peu de tri dans les habitués du club, qui ne s’en porte que mieux. L’ambiance au sein des danseuses s’améliorant, elles n’en travaillent que mieux, et de nouveaux clients viennent. Papa Carstairs serait fier. Arrivée au bar, elle fait signe au vrai barman, pour lui demander un Amaretto Stinger, qu’il fonce déjà lui concocter. C’est son verre en main après un clin d’œil aguicheur au barman – pas mal du tout – qu’elle pivote, se retrouvant face à … Son frère, un scotch en main, toujours aussi propre sur lui et bien habillé. Automatiquement, elle arrête de respirer, fronce les sourcils, secoue la tête en buvant une gorgée de son cocktail pour se remettre les idées en place. « Salut Soeurette, petite inspection surprise du grand frère. » Qu’il balance fièrement, un rictus en coin sur les lèvres. Ozalee, de son côté, mord sa lèvre inférieure, ne s’attendant pas à une visite de Damian. Finalement, elle se détend, et s’installe à ses côtés. « Eh bien comme tu peux le constater, tout se passe pour le mieux pour moi, frangin. » D’un geste de la main, elle désigne l’ensemble du club. « Pas mal pour une gamine à peine majeure, non ? »

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Le son du club était assourdissant, beaucoup trop de volume pour cacher le crissement des braguete des hommes lubriques installer dans l'ombre, pour cela que je suis bien mieu au bar. J'aime les plaisirs, mais j'ai toujours trouver cela glauque d'être assied la autour d'autre homme a regarder des filles dénudés danser sous le rythme d'une musique electro qui pue le sexe à plein nez. Accompagner de mon scotch, je balaye la salle de mon regard en apercevant ma soeur approcher commandant son cocktail. Je la salue et voir sa surprise sur son visage m'amuse beaucoup, elle se justifie simplement en me disant: « Eh bien comme tu peux le constater, tout se passe pour le mieux pour moi, frangin. » Je bois une gorgée en finissant mon scotch observant la salle. Je dois avouer qu'elle sait bien les gerer, et ce club est en bien meilleure main que celle de celui qui le gerer avant. Rien de mieu qu'une femme pour gerer ce genre d'endroit, ele sait ce qui plait aux hommes et elle sait aussi comment utiliser à bon profit le talent de toute ces danseuses... Je claque des doigts vers le barman pour nous reservir un verre à nous deux. « Pas mal pour une gamine à peine majeure, non ? » Je me mis à rire, elle avait certes vingt ans, mais elle en a les allure d'une femme majeur et prenant ces affaires en main : " Oh ! Je n'ai jamais dit le contraire, tu sais bien que je t'ai soutenue au près de père pour que tu ais cette endroit et je me suis porté garant de tes finances... Eviter de le crier trop fort que tu n'es pas en âge Ozalee... les murs ont des oreilles et je ne veut pas qu'il t'arrive quelque choses... " Pour elle, je me comporte comme un grand frère qui protege sa petite soeur du monde exterieur, bien qu'elle soit elle même en mesure de se proteger. La famille reste la famille et je suis pret à tout pour la proteger même s'il me faut verser le sang de mes propres mains. " D'ailleurs, je ne viens pas en visite de courtoisie, même si te voir m'enchante... On a un soucis avec Père, cela concerne tes finances... Je voulais savoir qui gère la comptabilité de ton établissement? " disais-je d'un ton plus calme, père a trouvé des incohérences dans les budgets du clubs. Il s'inquiète et ma demandé de mener ma petite enquête, car un petit malin profite de la situation pour piquer du poignon à la famille, il faut que je le demasque. Me voila avec une casquette de Sherlock Holmes maintenant !

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Les allures de grand prince de Damian ont toujours amusé Ozalee. Il claque des doigts et aussitôt, le barman vient dans leur direction pour leur resservir un verre, la rouquine finit donc le premier d'une traite, ce qui, en soit, n'est pas forcément une bonne idée vu comme elle tient mal l'alcool. Son second verre en main, elle se vante alors de sa réussite malgré son jeune âge. En effet, elle vient à peine de passer la majorité depuis quelques jours. " Oh ! Je n'ai jamais dit le contraire, tu sais bien que je t'ai soutenue au près de père pour que tu ais cette endroit et je me suis porté garant de tes finances... Évite de le crier trop fort que tu n'es pas en âge Ozalee... les murs ont des oreilles et je ne veut pas qu'il t'arrive quelque choses... " Automatiquement, la jeune femme sourit, attendrie par l'attention constante du brun envers elle. Alors simplement, elle tend une main pour la poser sur celle de son aîné: « Ne t'en fais pas, ils sont tous bien trop concentrés sur les beautés là bas. » Elle détache alors sa main de celle de Damian, pour pointer du doigt vers la scène où sont les filles. Ouep, ils ont tous le regard rivé sur elles. Parfois, des hommes s'attardent sur les courbes d'Ozalee, tentent d'approcher, mais elle sait les remballer. " D'ailleurs, je ne viens pas en visite de courtoisie, même si te voir m'enchante... On a un soucis avec Père, cela concerne tes finances... Je voulais savoir qui gère la comptabilité de ton établissement? " La jeune femme regarde le brun à nouveau, haussant les sourcils, surprise. Elle ne gère pas vraiment ce côté là, c'est vrai, sachant pertinemment que son père la surveille même depuis New York. Elle désigne alors un homme en costume gris, coincé sous le postérieur d'une danseuse. « Il est là ce soir justement.. Harry Wilkes, il s'appelle. Je crois qu'il bosse pour papa depuis quelques mois maintenant. » Elle esquisse une grimace, et se tourne à nouveau vers Damian. Ce mec a des allures de gros dégueulasses, mais il reste clean avec Oza et ça lui suffisait. Mais s'il merde avec les Carstairs, il risque d'avoir des embrouilles.

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Que falait il ne pas faire pour surveiller les affaires de sa soeur sans pour autant que je l'éttoufe. Je la connaissais bien la petite Lily, elle cherche simplement à faire ses preuves et choses qu'on redoute c'est que cette prise de la réalité de notre famille pour la faire sombrer et que je perde la fille dont j'éprouve des sentiments qui perturbe encore maintenant. « Ne t'en fais pas, ils sont tous bien trop concentrés sur les beautés là bas. » Son âge ma toujours inquiété dans ce genre de buisness, j'ai commencé un peu plus tard qu'elle, même si elle vient tout juste d'avoir ces 21 ans, pour moi elle reste encore la jeune fille qui j'ai vu passer la porte de la maison en me la présentant en tant que soeur. " Encore heureux, sinon tu ferais une très mauvaises hotesse ma chérie..." Disais-je suivi d'un rire qui s'accompagner d'une gorgée de scotch alors que le deuxième verres venait d'arriver. Je la vis boire d'une traite son verre, elle avait surement grand soif, mais qu'elle aille pas se rendre malade non plus. Faut avoir toute sa tête pour ce metier.

Je lui parle de mes inquiétudes et ceux de notre père sur sa comptabilité, sachant qu'elle ne gérait pas cela pour eviter qu'elle soit trop impliquer dans l'argent sale de La Famille. Je lui demande alors qui gère ces finances. Elle point un homme bedonnant assis confortablement alors qu'une des empoyés semble joué sur les genoux du client. « Il est là ce soir justement.. Harry Wilkes, il s'appelle. Je crois qu'il bosse pour papa depuis quelques mois maintenant. » Je bois a nouveau une gorgée, observant l'homme... Mon regard se perd facilement, je n'allais pas lui parler mainteant ce serait faire du bruit pour rien. Je vais attendre patiament tapis dans l'ombre comme le croque mitaine, mais en pire bien entendu ! " Wilkes hein? Un nom pitoyable pour un homme pitoyable. Le destin est triste et n'épargne pas les plus misérieux... " Disais-je d'un soupire, l'Homme en générale pouvait me répugnait, je vois ce monde ce détruire et je fais parti de ceux qui la détruit. Je ne peux plus rien y faire, mon âme est en perdition... Observer le gros porc libidineu ne me satisfait pas, je porte mon attention sur Ozalee " Bon sinon la majeurité tu le vis bien? Mère m'a confié qu'elle comptait bien faire une séance shopping avec sa fifille chérie pour qu'elle s'habille mieu" disais-je en imitant la voix un peu snobinard de notre mère avant de finir par un rire.

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Dire qu'à l'origine, elle voulait tout faire pour vivre sa vie en dehors des affaires de son père. Chassez le naturel, il revient au galop, et elle se surprend à aimer gérer les choses, Oza. Comme si elle avait ça dans le sang, digne Carstairs. #oupas. Alors elle explique à son frère que heureusement pour elle, les clients sont tous bien trop accaparés par les femmes aux formes envoutantes, se déhanchant sur scène pour le plaisir de leurs yeux - et de leurs mains s'ils y mettent le prix - chose qui ne manqua pas de faire réagir le brun. " Encore heureux, sinon tu ferais une très mauvaises hôtesse ma chérie..." Second verre en main, elle prend un peu plus son temps pour le boire, sentant déjà les effluves du premier verre lui monter à la tête. Mauvaise idée que le cul sec, mais qu'importe. « Je suis une excellente hôtesse vu les réactions des clients, crois moi.» Sourire espiègle, malin qu'elle lance en coin à Damian, avant qu'il aborde le sujet de leurs finances. Bien vite, elle montre du doigt le comptable du club, et retient un rire en voyant son frère tout aussi écoeuré qu'elle. Chez les Carstairs, tout est dans le bien paraître, et ça se voit quand on les observe." Wilkes hein? Un nom pitoyable pour un homme pitoyable. Le destin est triste et n'épargne pas les plus miséreux... " La rousse, elle, hausse les épaules et se détourne de l'homme. « Son sort m'importe peu, s'il fait du tort à la famille. J'en ai marre qu'on nous prenne pour des pigeons. Tu seras discret, Dam, hm? » Sous entendu fais pas de vagues dans le club. Elle a une réputation à tenir ici.

Le temps que Damian passe encore à regarder sa "cible" à venir, Oz, elle, tourne les yeux vers le brun. Elle l'a toujours préféré mal rasé, les cheveux en bataille, et ses goûts en matière de costume font de lui l'homme le plus séduisant aux alentours. Et c'est à cette pensée précisément qu'il tourne la tête vers elle, la faisant vite attraper son verre pour boire une gorgée. Innocente. " Bon sinon la majorité tu le vis bien? Mère m'a confié qu'elle comptait bien faire une séance shopping avec sa fifille chérie pour qu'elle s'habille mieux" - « Ew.» Qu'elle articule tant bien que mal en grimaçant, reposant son verre à moitié vide. Puis elle se recule, tourne sur elle même. « Mes vêtements sont très bien! Non mais s'il te plait, la dernière fois elle m'a proposé de m'offrir une chirurgie des seins pour ma majorité, elle a une case en moins parfois..» Contrairement à beaucoup de filles, elle n'a jamais été bien proche de sa mère, avouons le. « Tu trouves que je m'habille mal, toi? Sois sincère.» Et elle lui fait une moue de chien battu.

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Je remarque quelque secondes qu'elle boit un peu trop vite, je me dis que je resterai quelques temps là voir si elle encaisse bien le coup. Je serai prêt à intervenir s'il arrive quelque chose. Et puis la voir rembarrer les clients est un plaisir ou je me dis souvent "Dans ta gueule !".  « Je suis une excellente hôtesse vu les réactions des clients, crois moi.» J'en souris facilement, car finalement il semblerait qu'elle n'est pas tord. Le club marche bien sans pour autant usé de l'influence de la famille Carstairs. "Je remarque ça..." déclarais-je en observant la scene alors que je porte une nouvelle fois le verre à mes lèvres, sentant le goût âcre de l'alcool me bruler la gorge et les effets se diluer dans tout mon corps. Quand je lui demande pour celui qui gère ces comptes, je me demandais déjà si qu'est ce que j'allais faire de lui. Allais-je devoir appeller un de mes gorille de mon père ou simplement gerer ça en solo. Je dirais simplement plus on est fou plus ont ri non? Je devrais sans doute passer un coup de fil ou envoyer un sms. Ozalee décide tout de même de me prévenir:
« Son sort m'importe peu, s'il fait du tort à la famille. J'en ai marre qu'on nous prenne pour des pigeons. Tu seras discret, Dam, hm? » Son ton me fait tant penser à notre mère que cela me fait sourire.  " Ne t'en fais pas pour ça, Les ignorants qui ne savent pas qu'ils ne faut pas prendre notre famille pour des pigeons... Enfin bon, je verrais plus tard pour son compte laissons lui au moins le plaisir de tes filles, ce sera comme ces dernières volontés. "

Je finis par lui parler des dernières remarques de notre mère quand nous avions déjeuner pour la dernière fois, elle me parlait de ses inquiétudes concernant Lily, Malgré le lourd passé de la famille Carstairs et les circonstances de l'adoption de Lily... Un secret, qui me pèse jour après jours.. Car vu nos passé, on aurait pu se rencontré différament et j'aurais surement des sentiments pour elle.« Ew.» Sa grimace me fait sourire et elle continue: « Mes vêtements sont très bien! Non mais s'il te plait, la dernière fois elle m'a proposé de m'offrir une chirurgie des seins pour ma majorité, elle a une case en moins parfois..» Elle tourne sur elle même et cela me fit sourire, je la regarde et j'en n'ai pas honte, elle est vraiment belle, des courbes qui se dessine sur ses vêtements... Elle est vraiment magnifique... Je ne calcule pas ce qu'elle dit au bout de quelques secondes. Avant de comprendre, je l'imagine avec des bonnets supplémentaire: "Nan mais elle est pas bien !" disais-je en riant avant de reprendre: "Et puis une séance de shopping, il n'y a rien de mal après tout ! profites en c'est un occasion pour dévaliser les magasins et puis si c'est mère qui offre. ne te prive pas ! " disais je en souriant alors que je porte le verre une énième fois à mes lèvres: « Tu trouves que je m'habille mal, toi? Sois sincère.» Je me mis à réfléchir "Hum..." je me gratte la barbe en la regardant..."Tu t'habilles bien enfin bien mieu que les danseuses... T'es vraiment magnifique ça y a rien à dire."

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Etudiante en langue le jour, directrice d'un club de strip la nuit. Digne d'un film, l'histoire, et ce même si la rouquine a grandi en gardant ses distances avec le monde de son père. A sa demande, elle a appris à se battre, à tenir une arme, à lutter même à mains nues, petit gabarit qu'elle est, au cas où un garçon tenterait de prendre l'avantage sur elle. Heureusement, ce n'est jamais arrivé, sinon, la belle ne donnerait pas cher de sa peau. Bon, tout dépend de la force du gars, aussi. " Je remarque ça..." L'observation de Damian lorsqu'elle aborde la réussite du club lui arrache un sourire fier, parce qu'elle se souvient de l'état du club et des filles avant qu'elle arrive, Ozalee. Et c'était pas fameux. Puis elle lui montre le comptable, la belle, et lui demande de rester discret pour ne pas effrayer sa clientèle. Une bagarre qui dégénère n'aurait rien de bon, surtout impliquant le fils Carstairs. " Ne t'en fais pas pour ça, Les ignorants qui ne savent pas qu'ils ne faut pas prendre notre famille pour des pigeons... Enfin bon, je verrais plus tard pour son compte laissons lui au moins le plaisir de tes filles, ce sera comme ces dernières volontés." Les pauvres filles. Après me direz vous, elles ont choisi ce métier. Lili esquissant une grimace, elle hausse les épaules alors simplement. « Fair enough. Au pire, je te filerais son adresse, j'ai les registres dans mon bureau.» Elle garde tout, Ozalee. Ça, elle le tient de son père, aussi.

Puis quand le sujet de leur mère vient sur la table, la jeune fille ne peut s'empêcher de révéler à son aîné la dernière proposition indécente de leur mère. " Nan mais elle est pas bien ! Et puis une séance de shopping, il n'y a rien de mal après tout ! profites en c'est un occasion pour dévaliser les magasins et puis si c'est mère qui offre. ne te prive pas ! "" Esquissant une moue contrariée, elle soupire en jouant avec son verre. « C'est pas parce qu'elle est gonflée de partout que je dois en faire de même. Mais ouais... Je verrais, ça dépendra de mon humeur.» Elle adore sa mère, mais la trouve parfois bizarre, et trop capricieuse, vraiment, parfois, on les confond avec des copines plus que des mère/fille, au vu du caractère très immature de la mère comparé à celui très posé de la rousse. Puis elle demande un avis objectif à Damian sur sa façon de s'habiller. Lui, au moins, il saura la juger objectivement, hm? "Hum... Tu t'habilles bien enfin bien mieux que les danseuses... T'es vraiment magnifique ça y a rien à dire." Elle plisse les yeux, fronce le nez, et finit par sourire en reprenant son verre. « On va dire que ça me va. T'façons je sais que je plais aux garçons, ça doit bien vouloir dire que je m'en sors.» Sourire en coin, sourire tout sauf innocent. Elle est loin la petite rousse qu'il a vu grandir, même si au fond, elle reste la même. « J'hésite entre rentrer et reprendre un verre et aller danser. Ce soir j'étais même pas censée être là, j'avais aucun rendez vous.» Nope, parfois elle vient juste pour veiller. Elle tourne la tête vers Damian, termine son second verre, et tire sur la cravate de son frangin avec une moue adorable : « Si j'vais danser, tu viens avec moi, dis ?»

Ozalee & Damian Carstairs

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« Fair enough. Au pire, je te filerais son adresse, j'ai les registres dans mon bureau.» Je soupire mon regard perdu dans le vague avant de poser mes yeux sur elles, j'esquisse un sourire. Elle ne devrait pas se meler de ça qu'elle garde encore un peu d'innocence cela lui va si bien au teint: "Ne t'en fais pas, je n'aime pas finir le travail. Je m'occuperai de lui plus tard ..." J'observe le vieu gros tas assis labas... me demandant comment j'allais faire pour lui faire payer sa trahison, je n'irai pas jusqu'au meurtre. Je ne m'abaisse pas à ce genre de chose, mais la souffrance est un bien meilleur moyen, psychologie et physique... Je vais lui faire regretter cette façon de faire... Notre conversation finit par changer du tout au tout, sur une conversation antérieur que j'ai eu avc la matriarche de la famille Carstairs, Brittany Carstairs. Une femme aimante rongé par ses secrets et ceux de son mari. « C'est pas parce qu'elle est gonflée de partout que je dois en faire de même. Mais ouais... Je verrais, ça dépendra de mon humeur.» Je me suis mis a rire, comprenait elle le geste de notre mère véritablement? La culpabilité finit par la rongé et à son grand âge, la jeunesse est un doux souvenir : "C'est une spirale infernale pour elle tu sais, elle arive à un âge où la jeunesse est un prix à payer, Elle veut le mieu pour toi, même si ce n'est pas ton goût d'être une barbie refaite de tout les sens..." Ce serait surtout terriblement dommage n'est ce pas?

Ele cherche les compliment auprès de moi, je pourrais tellement lui dire pleins de trucs qui fairai vomir Meg Ryan, mais j'ai été très maladroit la comparant aux danseuses de son club, gros malin bravo! Elle fronçe les sourcils et tu sens qu'elle la mal prit, finalement elle sourit comme quoi je n'ai pas été trop méchant « On va dire que ça me va. T'façons je sais que je plais aux garçons, ça doit bien vouloir dire que je m'en sors.» Elle sourie, ce sourire ilumine son visage montrant son coté pin up et dragueuse... Elle plait aux hommes et je le sais bien, elle me plait à moi... Damian c'est ta soeur certes fausses, mais pense à ce que te dit tes parents sur tes véritables sentiments sur ta soeur: « J'hésite entre rentrer et reprendre un verre et aller danser. Ce soir j'étais même pas censée être là, j'avais aucun rendez vous.» Je me mis à sourire : "Tu es majeur maintenant ! La ville est a toi pour la nuit si tu le veux" disais-je d'un leger rire alors que je finis mon verre à mon tour... Elle s'approche de moi tirant sur ma cravate, prenant un visage mignonne. Ce regard tendre qui veut tout dire, comme si elle voulait une chose de moi et que bien sur je ne pourrais pas refuser, car c'est ma soeur et que je l'aime et je fairais tout pour la rendre heureuse, car elle le mérite. « Si j'vais danser, tu viens avec moi, dis ?» de drôle d'envie me vienne en tête ce qui me fit déglutir avant de poser ma main sur sa joue d'un geste tendre en lui disant: "C'est demander si gentillement, comment refuser?" disais-je avant de me rendre compte que le comptable se leva:, je n'avais pas beaucoup de temps avant de l'intercepter je pose mes mains ur les épaules de Ozalee: "Ecoute, laisse moi dix minutes le temps que je règle une affaire. Reprend toi un verre, je profite pour appeller Alfred qu'il vienne nous chercher et on va ou tu veux. " Disais-je avant de déposer un baiser sur sa joue et m'écarté d'elle. Je sors mon téléphone appellant le numéro abrégé #8 qui correspondait à Alfred : "Alfred? Oui bon Armand, pouvez vous venir au Club de Miss Carstairs? Nous allons danser et profiter de la soirée... Bien dans quinze minutes? Très bien, appeller le Nettoyeur dites lui de venir au manoir demain j'aurai un travail pour lui. " Tandis que je raccroche je bouscule Mr Wilkes: "Oh Pardon! Oh Quel surprise ! Mr Wilkes ! Justement je voulais vous voir est ce qu'on peut se voir en priver, mon père ma chargé de vous parler de quelques choses... Je glisse mon bras derrière son dos un gros sourire sur les lèvres, j'observe ma soeur au loin et on passer par l'arrière sortant par l'entrée des artistes... Nous marchons quelques pas et je sors une cigarette d'un paquet se trouvant dans ma veste, je l'allume saisissant une barre de Fer. : "Vous savez pourquoi je vous amène là ?" la voie était sans issue car c'était très bien garder par deux gorilles qui protègent les filles du club. Je place la bar sur mon épaule et il m'avoue : " C'est les affaires n'est ce pas?" Je me mis à rire d'un rire nerveux un peu psychopathe, mais je n'aimais pas arboré ma vraie personnalité, car cela ne me ressemble tellement pas. "Effectivement, les affaires sont pas bonne... 300 000 $ c'est un gros chiffre n'est pas ? Appareil dentaire ? Nouveaux seins pour madame? " Il ne comprend pas, mais forcement les temps sont durs Je...ne comprend pas Je jete ma cigarette un terre avant de le prendre par le col: Tu ne comptes pas voler mon père quand même? Nooon ! Ne me prend pas pour un con Wilkes, Ce club est tout pour mon père et maintenan c'est le tresor de ma soeur... Il va falloir que je te fasse mieu comprendre je pense. Je pousse il recula en arrière. Je devais me souvenir des conseils de mon père. Je saisie la barre de fer, donnant un violent coup dans le ventre, l'homme se retrouve a quatre pattes fasse à moi et je donna un second coup dans le dos en evitant de prter le poid du coup sur la colonne. Je veux qu'il souffre par qu'il soit paraplégique. Il se roule de douleur chouinnant comme un enfant. Je saisie son porte feuille tomber à terre trouvant sa carte d'identité et une photo d'un animal, surement un chat, mais il est moche on dirait une chaussette retournée. "Ecoute moi bien ! Tu m'écoutes ou pas là ! Je le gifle j'ai l'impression de le perdre "Tu as une semaine pour rendre l'argent. Mon père reviendra à ce moment et il ne lachera pas l'affaire.. Il tombe dans les pommes, je le lache le laissant tomber à terre, je me redresse remettant mon costume en ordre et me recoiffant. Je fais signe aux gorilles " Jeter moi ça hors du club, mais ne rentrer pas, j'ai promis à Ozalee de ne pas faire de grabuge. Qu'il ne reviens pas au club c'est entendu? On veut pas de ce minable ici." Je file deux billets de 100$ aux gorilles pour acheter leurs silence et je reviens dans le club. Observant ma soeur, un sourire sur les lèvres je glisse mon bras autour de sa taille: "Etes vous prête mademoiselle? Notre carosse nous attend."

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I got this crazy feelin', you are my destiny...

Avoir une mère ex-mannequin, ce n'est pas si facile, parce que tout est dans le paraître, dans le physique. Elle n'est pas rendue au point ou elle ressemble à un monstre aux chirurgies ratées, mais Ozalee ne cesse de l'avertir de faire attention avec le bistouri, ce n'est pas pour faire de même qu'elle à un si jeune âge. "C'est une spirale infernale pour elle tu sais, elle arrive à un âge où la jeunesse est un prix à payer, Elle veut le mieux pour toi, même si ce n'est pas ton goût d'être une barbie refaite de tout les sens..." Damian, toujours grand défenseur de la cause de leur mère. Esquissant une légère moue, la belle hausse les épaules. « Je sais, je sais. Je ferais un effort pour aller avec elle, au moins, elle a des goûts vestimentaires corrects. »

Elle hésite finalement, Ozalee, entre rentrer directement chez eux ou faire une halte pour danser un peu, s'amuser, profiter de cette nouvelle majorité qui lui tend les bras. "Tu es majeure maintenant ! La ville est à toi pour la nuit si tu le veux" Lili sourit. Il n'a pas tort, et du coup, elle lui demande, moue enfantine, tirant sur sa cravate pour le rapprocher d'elle s'il veut bien aller danser avec elle. Après un moment de silence, la main de Damian vient se poser sur la joue de la jeune fille, dont le regard vert vient se planter dans celui, sombre, de son frère. Fut un temps où ce genre de marque d'affection faisait partie du quotidien de la jeune fille, puis allez savoir pourquoi, il avait commencé à se raviser. Et ça lui manquait. "C'est demander si gentiment, comment refuser?" Un sourire illumine son visage, ravie d'avoir une réponse positive. Néanmoins, il semble avoir un dernier truc à régler. "Ecoute, laisse moi dix minutes le temps que je règle une affaire. Reprend toi un verre, je profite pour appeler Alfred qu'il vienne nous chercher et on va ou tu veux. " - « Armand. » Qu'elle le corrige en riant, avant qu'il ne s'éloigne. Son frère se prend pour Batman, en fait. Haussant une épaule, elle le regarde s'éloigner en faisant signe au jeune barman de lui rapporter un verre. Le dernier, sinon elle tiendra pas sur ses deux jambes en repartant, et Oz sait s'arrêter quand il faut, ou du moins, quand elle sait qu'elle va finir malade, parce que techniquement, elle aurait du s'arrêter au second verre. Récupérant le cocktail, elle en boit une grande gorgée en regardant dans la direction que Damian a prise. Elle soupire, se tourne vers une de ses danseuses au repos. Dans son infinie gentillesse, la rouquine autorisait à toutes les filles un verre gratuit pour les rebooster. « Ça t'es déjà arrivé de te surprendre à vouloir un truc que tu devrais pas ? » Qu'elle demande, énigmatique, sans réellement attendre de réponse. "C'est pas justement notre vice à tous, d'être attirés par l'interdit comme un papillon par la lumière ?" Étonnée, la rousse tourne la tête vers la jeune femme, qui se redresse en lui souriant pour repartir, laissant sa patronne songeuse. Y a des comportements de Damian qui la troublent, parfois, des regards en biais pendant leurs vacances, des gestes qu'il semble refréner, comme frustré par quelque chose. Et elle, plutôt que de mettre le sujet sur le tapis avec lui, elle reste innocente. Peut-être parce qu'elle pense qu'en abordant le sujet, il va arrêter. Et elle veut pas que ça s'arrête. Même si elle refuse de se l'admettre. Un bras autour de sa taille la fait sursauter, elle pivote, et s'enivre du parfum de son aîné, qu'elle reconnaîtrait entre mille. "Etes vous prête mademoiselle? Notre carosse nous attend." Aussitôt, elle s'apaise, bien que demeurant troublée par sa brève conversation. Détournant les yeux, elle secoue la tête, termine son verre, et saisit doucement la main de Dam. « Allons y, oui. » Et elle le laisse l'entraîner à l'extérieur, vers la voiture qui les attendait. Une fois à l'intérieur, elle salue chaleureusement le chauffeur. « Al..Armand, comment allez vous? » Qu'elle lui demande dans un français parfait, pays d'origine de l'homme, qui la remercie et note l'adresse que lui donne la jeune femme, une boite de nuit à mi-chemin entre ici et leur villa. « J'ai été invitée à une soirée privée, mais j'avais personne avec qui y aller ce soir, du coup, ça te va la perspective d'être mon +1 ? » La question devrait être innocente, pourtant, elle ne peut pas s'empêcher de se demander si elle devrait dire ça. « Quelques danses et on file de toutes façons, je me connais je reste jamais bien longtemps. » Qu'elle dit en appuyant sa tête contre l'épaule du brun.