L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
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| HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence | |
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and all the devils are here
| Sujet: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence Dim 28 Aoû 2016 - 13:22
| harriet lensie Trente ans • Américaine • Hétérosexuelle • Mariée par intérêt études de médecine • médecin légiste • classe aisée • Feat. keira knightley QUI ES-TU?Stature qui dégouline d'une outrecuidance rassérénée. Dans ses parures teintées de noir et d'un rouge criard, c'est le menton doucettement relevé qui fait s'incliner les insuffisants. On ne daigne lui demander qui elle est, on se tourne vers les semblables qui de leurs lippes qu'ils peinent à desceller, dévoilent les discrétions bien trop longtemps attendues. Répondant à l'identité qu'est Harriet Lensie, ce sont les terres autrichiennes qui l'ont accueilli un quatorze février. La ténacité l'a amené jusqu'à effleurer un rêve, flânerie des pensées et des souhaits devenus réalités dès lors qu'elle a atteint le poste de médecin légiste après s'être acharnée sur de nombreuses années d'études de médecine. Si autrefois elle pensait que ses affaires d'ordre privé n'empiéteraient pas sur le champ professionnel, c'est le contraire qu'on lui démontre encore au jour d'aujourd'hui. Hétérosexuelle, c'est une nouvelle bague qui orne l'une de ses phalanges montrant sa supposée appartenance à un seul et unique homme. Mariée mais une première fois veuve, le concept de fidélité n'est cependant pas une valeur qui lui a été inculquée et il est commun d'entrevoir la carrure féminine, plongée dans la pénombre d'un soir muet, avec à son bras une figure masculine qui n'est pas le portrait de son époux. Ce dernier, l'allure imposante de par son charisme irrécusable et indiscutable, a mené Harriet au sommet d'une société qu'il tient entre ses paumes ivres d'un vermillon qui n'est pas le sien. D'une classe aisée, c'est à ses côtés qu'elle subsiste, qu'elle perdure dans la communauté où il est difficile pour les miséreux et désargentés de s'immiscer. Aux facettes multiples, c'est une personnalité aux troubles borderline qui font d'elle un sujet à la fois complexe et incompris. Se développant à une moindre vitesse que dans la plupart des cas, la maladie ne se manifeste qu'à de rares occasions, ne permettant ainsi à seulement une poignée de personnes de discerner la singularité. A la fois têtue mais compréhensive, Harriet est la forte tête qui peine à courber l'échine sous les directives de supérieurs qui ne l'ont pas dans la poigne. Cela a pu, par le passé, lui porter préjudice mais rien ne vaut les gratifications qui prennent la forme de billets verts afin de se faire pardonner. Impulsive, on se plait à lui rappeler l'adolescence brusque et imprévisible, les poings levés qui l'ont plusieurs fois mené aux postes de police, poignets enchaînés. Harriet se dévoile, Harriet ne laisse pas les suspicions à son égard se développer. Elle agit normalement afin de ne pas attirer le regard, elle fait en sorte de se fondre dans une masse, de s'ancrer dans un moule qui ne veut pas de sa forme souillée, maculée par les noirceurs qui encore aujourd'hui, décorent ses actions et méfaits. Faussement sociable, elle orne ses lippes d'un sourire espiègle, un rire qu'elle aime à faire retentir alors que ses entrailles se tordent sous l'acrimonie de son imposture. PORTRAIT CHINOISMerci d'essayer de te limiter à un ou deux mots par question !
• Première chose à laquelle tu penses au réveil: Aller aux toilettes. • Première chose que tu fais en rentrant le soir: M'allonger sur le canapé. • Une musique qui te fait changer d’humeur en un rien de temps: Aucune spécifiquement. • L'activité qui te remonte toujours le moral: Casser des gueules. • Si ta vie était un film, ce serait: Salt.
• Ce qui te fait le plus facilement pleurer: La poussière. • Ton plus grand complexe: Mon inaptitude à donner un enfant. • Ta plus grande fierté: Ma profession. • Ton mot préféré: Putain. • Le meilleur motif pour raccrocher au nez de quelqu'un au téléphone, à tes yeux: Tous.
• Définis-toi avec une expression: Quand on veut, on peut. • Ta personnalité en un mot: Brutale. • Ta personnalité (au lit) en un mot: Subordination ? • Plutôt sexe ou abstinence ? Sexe. • Tu as le pouvoir de changer le monde. Que fais-tu ? Je le rends bien pire. CASIER JUDICIAIREDes fautes commises, innombrables et parfois même oubliées. Une adolescence agitée, des nuisances que l'on ne comptait plus et que l'on ne prenait même plus la peine de relever. Des sottises, des bêtises de pacotilles jusqu'au jour où, tout a éclaté. Homicide volontaire que l'on a fait passer comme étant un homicide involontaire jusqu'au motif de self defense avant de ne donner suite au dossier que les hauts placés ont scellé alors que vainement, ils tentaient de la faire craquer en la martelant des peines qu'elle pouvait encourir. Où était le corps, où était le cadavre de l'époux ? Des méfaits de moins en moins condamnables en échange de ses services afin de maquiller des crimes inexcusables, une protection assurée dans une union inédite. A ce jour, ce sont d'autres délits pour lesquels elle est surveillée. On parle de falsification de rapports qui sont une entrave aux enquêtes policières dans lesquelles on demande son aide. Des assassinats devenant de simples suicides, elle brouille certaines pistes en rajoutant des entailles post-mortem sur les corps inertes. Une affaire, deux affaires, trois affaires, quatre affaires et ainsi de suite contre un secret gardé, celui de l'ancien mari tué, on la soupçonne, on la surveille, ça se tasse grâce aux pots-de-vin glissés. Mais certains sont impossibles à corrompre, certains creusent, creusent jusqu'à taper sur la boîte cimentée qui contient tous les secrets. Un conseil de discipline qui s'ensuit d'un autre, puis encore d'un autre, on la laisse partir à chaque fois quand bien même l'étau se resserre autour de sa nuque laissée par le despotisme d'un époux et de ses comparses. Elle masque les égarements de ces derniers, leurs fureurs, dépravations et représailles pour son propre intérêt. La corde l'étouffe presque. Prise entre deux feux. D'un côté, on a rouvert l'enquête sur son mari. La famille du défunt ayant trouvé les moyens de se mettre dans la poche un avocat de renom, on se penche sur l'affaire qu'elle pensait derrière elle. De l'autre, l'affaire de corruption et de falsifications. Elle se sait surveiller, elle se sait presque prise la main dans le sac. Et pourtant, elle continue ce quotidien, ces habitudes. Comme si de rien n'était, à jouer les innocentes en espérant s'en sortir à l'image des fois précédentes. PRÉNOM: Helga. PSEUDO: Marauders. ÂGE & ANNIVERSAIRE: Vingt-et-un ans, 4 Mai. PAYS: Douce France. GROUPE(S) SOUHAITÉ(S): Law & Order, Usual Suspect, celui qui conviendrait le mieux selon vous. NIVEAU DE RP: Ah, c'est pas à moi de juger, ça. PRÉSENCE: Aussi souvent que possible. PERSONNAGE: Inventé. AIMERAIS-TU PARTICIPER À L'INTRIGUE DU MOMENT? Oui. OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM? Bazzart. QU'EN PENSES-TU? J'avoue que mon ordinateur est un peu vieux donc je lag des fois mais tranquille, ça vaut le coup d'œil alors j'ai quand même posé mes affaires. ANCIEN MEMBRE DE FRAT/L.A.P.D.? Nop. AUTRES COMPTES: Aucun. SOUHAITES-TU T'INSCRIRE AU MP DE MASSE? Oui [x] Non [] TA PLUS GRANDE PEUR VIS-À-VIS DU FORUM? L'intégration. UN DERNIER MOT? INCLINEZ VOUS DEVANT LA REINE. - Code:
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<span class="bottinpris"> KEIRA KNIGHTLEY</span> • Harriet Lensie AVATARS Marauders, Marauders & Marauders ; ICON Marauders
Dernière édition par Harriet Lensie le Mar 30 Aoû 2016 - 18:20, édité 22 fois |
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| Sujet: Re: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence Dim 28 Aoû 2016 - 13:24
| Mon histoire commence ici ... « ONLY LOVE MAKES YOU THAT CRAZY SWEETHEART. AND THAT DAMN STUPID. » Caféine. Dans les marbrures, il s'inscrit, il s'imprime. Un coup de fouet, un coup de peps factice trahi par les cernes qui décorent le bas des yeux. Paupières qui peinent à s'ouvrir, un soupir, un énième qu'elle lâche en coinçant entre ses lippes, l'arme qui détruit ses poumons. Une cigarette qu'elle allume avec le briquet qu'elle attrape en tendant le bras vers la commode, elle recrache la fumée dans l'atmosphère où plane des pellicules de poussières. Elle renifle, elle vient frotter ses cils et écrase l'embout de la cigarette dans le cendrier apposé sur le meuble. Elle se redresse doucement et tourne le visage vers sa gauche, la place vide de tout corps, de tout mari qui a encore une fois, dû passer la nuit dans un endroit qu'elle ne veut admettre. L'amour n'est rien à leurs yeux, une union qui ne sert que les intérêts égoïstes des deux adultes qu'ils sont, des deux manipulateurs individualistes qui ne pensent qu'à leur propre objectif. Leur ressemblance ne s'inscrit que sur la survie que tous les deux convoitent. A ne pas se faire piétiner, à ne pas se faire écraser par les plus forts, les plus stratégiques, les plus intrépides qu'eux. « Quelle plaie. » Les draps enroulés autour de son buste, le linceul descend jusqu'à ses genoux. Elle se lève, sort du lit et avec un regard inquisiteur, s'approche de l'embrasure donnant une vue sur le quartier dans lequel elle réside. Il n'est que cinq heures du matin et c'est l'âme errante qu'elle remarque au bas de l'immeuble. Cette silhouette familière qui attend, qui erre candidement dans les allées comme si aucun but ne régissait son existence. Elle plisse les paupières, fronce les sourcils dans l'interrogation avant de tourner les talons. A sa droite, un mur presque vierge si ce n'est un cadre accroché au papier peint. Deux figures heureuses, un sourire sur les lèvres et deux paumes levées qui montrent un mariage réussi. Une image, une illusion, un mirage. Un jeu en face des autres qui pensent qu'ils coulent des jours heureux. Harriet ouvre le tiroir de sa commode et en sort un cliché corné sur les quatre bords. Photographie vieillie et malmenée, presque déchirée à certains endroits, elle sourit doucettement et se permet d'échapper un filet d'air entre ses lèvres. L'ancien mari, celui qu'elle a toujours considéré comme tel et qui, à ses yeux, représente plus que l'actuel. Mais qui est-elle pour envier un passé qui n'est plus et qui jamais elle ne pourra de nouveau survoler, pas même dans ses rêveries les plus folles ? Reconnaissante d'être sortie d'un pétrin quand bien même les procédés usés sont de ceux encore préjudiciables et néfastes. Harriet détourne le regard et se passe une paume dans les cheveux qu'elle attache d'un chignon négligé. Une journée, une autre, la routine harassante. Elle se prépare come à son habitude, un bain qu'elle fait couler sans se soucier des conséquences sur l'écologie et l'environnement. Du savon qui laisse une pellicule opaque sur l'eau crachant sa vapeur. Là est le seul instant de détente qu'elle peut se procurer durant la journée. Elle balaie les angoisses d'un esprit tourmenté, détend des épaules qu'elle abaisse et c'est un fin sourire qui se peint sur son visage adouci.
Clac, clac, clac. Les talons aiguilles taquinent les pavés. Aucun sac à main, elle a mis ses papiers à l'intérieur de sa veste en cuir noir. Il n'est que six heures et c'est une sérénité certaine qui parsème les avenues. Pourtant, au loin derrière elle, ce sont des bruits étouffés qui l'interpellent. Le sourcil arqué et la curiosité aiguisée, c'est insouciante qu'elle dévie de sa routine habituelle, s'enfonçant dans une ruelle que l'on se retient de fréquenter. On sait ce qui se déroule quand la lune prend ses aises. Deux hommes à l'allure esquintée. Elle s'arrête, là, immobile et inquisitrice quand à la teneur de leur conversation qui semble s'envenimer. L'un se fait chahuter, poussé contre le mur de briques et ne cherche pas à se défendre, les poings glissés dans les poches de son jeans délavé. « Eh, Alfie. » qu'elle articule alors qu'elle pousse le persécuteur sans considération aucune et qu'elle attrape la victime. « Tu peux pas être ponctuel, hein ? » Un regard mauvais vers l'autre qui baisse les yeux, cet autre connu et reconnu, cet autre qui garde un stigmate de la semaine passé, œil au beurre noir toujours présent sur sa gueule cassée. Ses phalanges s'enroulent sur l'avant-bras de cet inconnu qu'elle a décidé d'elle-même prénommé, elle le tire pour qu'il se décolle de la paroi humidifiée, satanée pluie de la veille et des jours précédents. Arrivée dans l'allée principale qui se remplit lentement, elle le libère de son emprise et se frotte les mains, comme satisfaite de ce qu'elle définit comme une bonne action. « Merci ? Non ? Ça te dit rien ? » Un bruit de bouche agacé est la seule réponse qu'il daigne former alors qu'il s'essuie l'arrière de son jeans ainsi que ses genoux. « Je n'avais pas besoin d'aide. » Harriet grimace et même si l'envie de le remettre à sa place et de lui apprendre la base d'une éducation lui démange la gorge, elle n'a pas le temps d'énoncer quoique ce soit, de répliquer que le jeune homme est déjà quelques mètres plus loin, à s'enfoncer dans les couloirs de bitume. « Connard. »
AVATAR © créateur ; ICONS © créateur & créateur
Dernière édition par Harriet Lensie le Lun 29 Aoû 2016 - 16:32, édité 11 fois |
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| Sujet: Re: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence Dim 28 Aoû 2016 - 13:25
| Bienvenu sur le forum |
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| Sujet: Re: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence Dim 28 Aoû 2016 - 13:25
| Je te remercie Sofya. |
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| Sujet: Re: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence Dim 28 Aoû 2016 - 13:35
| Apparemment tu as trouvé une nouvelle tête, excellent choix
Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence Dim 28 Aoû 2016 - 13:37
| Effectivement Kazan, puis quitte à vieillir Harriet, autant jouer un avatar que j'aime bien comme Keira. D'ailleurs, ton avatar est sublime. Merci pour l'accueil ! |
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| Sujet: Re: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence Dim 28 Aoû 2016 - 13:46
| Bienvenue sur LAPD ! C'est la première fois que je vois Keira ! Si tu as besoin d'aide, n'hésites pas. |
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| Sujet: Re: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence Dim 28 Aoû 2016 - 13:47
| Merci à toi Oliver. Si questions ou autres il y a, je n'hésiterais pas à venir squatter ta boîte mps. |
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| Sujet: Re: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence Dim 28 Aoû 2016 - 13:58
| Ce choix de fou, Keira est sublime Et le prénom est top Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence Dim 28 Aoû 2016 - 13:59
| Le magnifique Colton Haynes, ce mec est une bombe et est juste super sympa. Ravie que les choix plaisent en tout cas Et merci pour l'accueil |
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| Sujet: Re: HARRIET ▶ valse vers le bûcher de la pénitence
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