L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
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| LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. | |
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and all the devils are here
| Sujet: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. Mar 30 Aoû 2016 - 22:55
| LOUIS SIMEON ARCHER 45 ans • Anglo-américain • Homosexuel • Veuf depuis Novembre 2015, Célibataire Etudes de médecine à la à la Keck School of Medicine, s'intéresse également aux médecines alternatives • Chirurgien au Good Samaritan Hospital • Aisée • Feat. Adrien Brody QUI ES-TU? « Il faut que je vous dise... Dans ma longue vie d'errant, j'ai été confronté à de nombreux type d'humains, plus ou moins respectables. Alors lorsque j'ai rencontré par hasard Louis Simeon Archer et le reste de sa famille, je ne m'attendais pas à grand-chose. Et croyez-moi, bien mal m'en a pris de penser cela ! Je le fréquente depuis des années, et je sais désormais tout de lui. De ses horaires à l'hôpital qu'il répète sans cesse (car monsieur est chiu... cha... chirurgien, voilà ! Chez les humains, il paraît que c'est une bonne chose. Que ça aide les gens et que ça rend riche. Moi, je m'en fiche un peu.) jusqu'à ses origines diverses, partagées entre notre Californie locale et l'Angleterre. Je ne connais pas vraiment cet endroit, mais quand il en parle ça a l'air d'être un territoire terriblement pluvieux... et je déteste la pluie... Je me souviens d'ailleurs que Warren disait que leur voyage de noces là-bas était formidable ! Même s'ils ne m'avaient pas emmené, les ingrats... Comment ça ? Qui est Warren ? Louis l'appelle son mari. J'ai déjà entendu dire leur fille que ça faisaient d'eux des « homos » mais honnêtement je n'y comprend rien à tout ça... Le plus important, c'est que Warren me grattouillait entre les oreilles comme personne ! D'ailleurs, depuis qu'il est parti il y a un an, ça me manque beaucoup... Et je me souviens que Louis a beaucoup pleuré, pendant des jours et des jours, il ne quittait plus le lit ce grand bougre ! Bon, d'accord, j'imagine que ce n'est jamais simple de perdre la personne qu'on aime... depuis, il se dit « veuf », mais ça non plus je ne sais pas ce que c'est... Comme c'est compliqué, les humains ! Pour moi la vie se résume à sieste, câlins et grignotage !... Mais bon. Allez, entre nous, je dois vous avouer une petit quelque chose : je vois tout, j'observe en silence les moindres faits et gestes de ce trublion fébrile. Et cette grande asperge de 45 ans n'est peut-être pas le plus parfait des maîtres... Il lui arrive d'être terriblement maladroit, c'en est presque gênant. Mais il a le cœur sur la main, si bien qu'il voudrait prendre le monde dans ses bras et le serrer très fort. Son altruisme, son optimisme et son aspect pragmatique font de lui quelqu'un d'assez unique de nos jours. Enfin, tout ça, c'est juste mon avis... Hm ? Vous vous demandez qui je suis ? Je m'appelle Candle, et je suis un sublime Maine Coon de sept ans. Pour vous servir ! » PORTRAIT CHINOIS Merci d'essayer de te limiter à un ou deux mots par question !
• Première chose à laquelle tu penses au réveil: Les miaulements ennuyants du pa-chat. • Première chose que tu fais en rentrant le soir: Balancer les chaussures. • Une musique qui te fait changer d’humeur en un rien de temps: With or Without You - U2 • L'activité qui te remonte toujours le moral: Le badminton. • Si ta vie était un film, ce serait: plutôt une série, The Knick.
• Ce qui te fait le plus facilement pleurer: Parler de Warren. • Ton plus grand complexe: Mon nez... • Ta plus grande fierté: Ma fille de coeur. • Ton mot préféré: Coupe. • Le meilleur motif pour raccrocher au nez de quelqu'un au téléphone, à tes yeux: "J'ai un truc au four qui sonne à la porte !"
• Définis-toi avec une expression: "Si on abandonne en cours de route, on est sûrs de ne jamais arriver au bout." • Ta personnalité en un mot: Altruisme. • Ta personnalité (au lit) en un mot: ... Vide ? • Plutôt sexe ou abstinence ? Abstinence forcée pour cause de décès. • Tu as le pouvoir de changer le monde. Que fais-tu ? Je suis un peu trop pragmatique pour ça... mais je crois que je ferais en sorte que la différence ne fasse plus peur. CASIER JUDICIAIRE Louis n'a jamais eu envie de se faire remarquer. Ni par ses camarades, ni par ses parents, et encore moins par la police. Alors quand à 23 ans il se retrouva mêlé à une sévère bagarre de rue l'impliquant lui, un autre jeune homme et quelques voyous du coin, il n'en fallut pas plus pour entacher d'une goutte d'encre son casier et rompre sa virginité. La réalité était pourtant évidente vu le caractère timide du jeune étudiant : il était une victime dans cette affaire, l'autre garçon étant son petit ami de l'époque qui, au-détour d'un baiser, se fit ravager le portrait par la bande imbécile. C'est en voulant le défendre que les choses prirent des proportions terribles. Honteux, Louis n'évoqua plus cette histoire et prétexta un mensonge auprès de ses parents. Il décida de quitter ce collègue d'université dans les jours qui suivirent, manquant de courage pour s'affirmer et avouer la vérité. PRÉNOM: Aurore/Milo PSEUDO: fume en bulle (ou Syato) ÂGE & ANNIVERSAIRE: 22 ans & le 9 mars. PAYS: France. GROUPE(S) SOUHAITÉ(S): Development (& Usual Suspects ?) NIVEAU DE RP: Ca varie vraiment, je peux faire entre 500 et 1000 mots selon l'inspi. PRÉSENCE: Le plus souvent possible ! ** PERSONNAGE: Inventé par mes soins. AIMERAIS-TU PARTICIPER À L'INTRIGUE DU MOMENT? Oui. OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM? Feu Ardent m'en a parlé il y a un moment via skype et me voilà donc ! QU'EN PENSES-TU? Il est vraiment super, très complet et les codages/graph sont DANTESQUES. ANCIEN MEMBRE DE FRAT/L.A.P.D.? Non. AUTRES COMPTES: Non plus. SOUHAITES-TU T'INSCRIRE AU MP DE MASSE? (Obligatoire s'il ne s'agit pas d'un double compte) Oui [X] Non [ ] TA PLUS GRANDE PEUR VIS-À-VIS DU FORUM? Absolument aucune ! UN DERNIER MOT? Vous êtes vraiment super accueillants, c'est rare de nos jours et ça fait super plaisir. - Code:
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<span class="bottinpris"> ADRIEN BRODY</span> • Louis Archer AVATARS Schizophrenic & Alas ; ICON tumblr
Dernière édition par Louis Archer le Dim 4 Sep 2016 - 15:15, édité 11 fois |
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| Sujet: Re: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. Mar 30 Aoû 2016 - 22:55
| Mon histoire commence ici ... « HEUREUX LES DEUX AMIS QUI S'AIMENT ASSEZ POUR SE TAIRE ENSEMBLE » Eté 1989 - 18 ans
« A l'aube de mon indépendance, je pensais avec une naïveté certaine que le monde serait comme un vaste champs de tournesols. Que chaque plante représenterait les espoirs de ma génération, et qu'instinctivement, nous serions tous tournés vers la lumière. Ce n'est qu'après être rentré dans le monde des études appliquées que je me suis rendu compte à quel point les fleurs pouvaient vite se flétrir. Et à quel point une goutte d'eau, rien qu'une seule, avait le pouvoir de rendre la vie.
Quand j'annonçai à mes parents la décision de devenir médecin, je pense que le cri de bonheur de ma mère vrilla les tympans de tout le petit quartier pavillonnaire dans lequel nous vivions depuis mes dix ans. Tout le monde là-bas connaissaient Martha Archer, née Goldstone, avec son extravagance so british et sa loufoquerie communicative. Elle était résolument ancrée dans la décennie précédente, bariolée de rouge sur les lèvres et de pois sur les robes. Alors personne ne s'était étonné de me retrouver couvert de fierté par cette dernière. Mon père, lui, était d'un naturel plus réservé. Dans la traditionnelle figure patriarcale que son statut imposait, il était le pilier silencieux, en parfaite opposition avec son épouse. Il me gratifia pourtant d'un « c'est ton grand-père qui sera fier de l'apprendre. » et d'un sourire sincère sous son épaisse moustache. Je crois, sans vouloir trop m'avancer, que j'étais le roi de leur petit monde à cet instant. Nous n'étions pas bien riche, mais nous n'avions jamais, ni ma sœur, ni moi, souffert de la pauvreté. Une parfaite famille de classe moyenne dont l'héritier mâle se promettait à un brillant avenir médical.
Je pense que si je n'avais pas été ruiné par ma timidité à cette époque, j'aurais pu, moi aussi, ressembler à ma mère et hurler mes sentiments contre les murs du quartier. Tout ce que je ressentais, tout ce qui était enfoui. Combien je détestais la vieille d'en face. Combien notre chien me manquait. Combien ma grande sœur Margereth pouvait être énervante parfois. Et combien le fils de nos voisins, les Miller, était d'une beauté sculpturale. »
Automne 1994 - 23 ans
« A l'université, je n'avais pas beaucoup de passions. Ou tout du moins, pas celles qu'on attend d'un étudiant dans la fleur de l'âge et prêt à conquérir le monde sauvage et impétueux. Non, moi et mes camarades de chambres étions catalogués comme une sorte d'espèce hybride entre l'ermite et l'homme des cavernes moderne affublé de fils électriques. Nous profitions simplement du progrès technologique et comme tout à chacun, il nous le rendait extrêmement bien. J'étais de ceux qui, caché derrière l'écran, s'inventait ce don particulier des lettres frappées. Les ordinateurs étaient les instruments de demain. Si bien que nous avions tenté de nous acclimater à cette musique électronique et devenir de véritables chef d'orchestre à notre manière. En soi... pour les non-initiés, c'est vrai que nous avions l'air d'étrangetés, mais qu'est-ce que j'ai pu m'amuser !
Mes études étaient difficiles sur beaucoup de points. Elles n'étaient pas réputées pour rien, et même si mon cursus n'égalait pas celui d'Harvard, il faisait parti d'un des plus réputés de la région. Je me devais, pour mes parents et surtout pour moi-même, de ne jamais flancher. Je rêvais de ces bancs, ces cours, cette finalité depuis mon enfance. Sans même le savoir, la vocation s'offrait à moi et je me jurais de toujours œuvré pour le meilleur. Ce credo m'accompagna tout au long du parcours, de saisons en saisons, le regard rivé vers l'avenir. J'étais si obsédé par l'idée de réussir que tout le reste n'avait, au final, qu'une importance mineur. Après mon départ, j'ai perdu de vue la splendeur du fils des Miller. Et j'ai préféré celle des courbes des demoiselles d'amphi, avec leur rire et leur délicatesse particulière. Il y avait, chez toutes mes collègues féminines, cette force et cette volonté de réussir dans ce milieu qui me fascinaient éperdument. Avec le temps, je me rend compte que je voulais partager leur vie plutôt que leur lit. Je voulais leur ressembler, elles qui parvenaient à cette détermination sans failles qui me faisait, malgré moi, parfois défaut.
Je me demande encore comment j'ai pu me mentir à ce point. C'est certainement lorsque je finis rué de coups pour avoir embrassé un garçon de ma promo que l'art du mensonge m'est devenu tout d'un coup plus simple. C'est fou ce dont l'Homme est capable pour échapper à la douleur. Mais avec le recul, je souffrais certainement plus en me cachant ainsi. 23 ans n'a rien d'un âge de raison... 30, par contre, semble tout indiqué pour profiter de l'existence. »
Printemps 2001 - 30 ans
« « Vous venez souvent ? » Au début, je n'avais pas l'intention de venir dans ce bar tout seul. Ma prudence naturelle l'emportait parfois sur la moindre initiative qui m'animait. Mais mes amis d'autrefois, bardés d'octets et de puces électroniques, avaient préféré passer la soirée à se coltiner des bugs plutôt que d'être à mes côtés. Il faut dire que pour moi, la fin de l'internat sonnait comme la libération que j'attendais, me sauvant d'un poids lourd de douze années de dur labeur. Quant à eux, ils avaient choisi une sorte de carrière un peu plus manichéenne que la mienne, à pourfendre d'odieux empêcheurs de surfer en rond. Internet était là comme un Graal dés plus délicieux pour tout bon chevalier. Le fait est que, seul, j'errais dans la rue. Et ce sont les néons pailletés et les lumières diffuses d'un nouveau bar du centre qui m'ont inexorablement attirés.
« Non. », avais-je balbutié. « Non je... c'est la première fois. »
Ce n'est pas sa robe qui me frappa. Ni son air mutin, ni ses talons aiguilles d'au-moins vingt centimètres. C'est plutôt l'aspect grand-guignolesque de l'absence de perruque sur un crâne luisant sous les spots, accentuant sa silhouette de clown moderne, fardé de rouge, de blanc, de bleu. Son air restait résolument masculin à travers ces vêtements et ces froufrous.
« Alors vous êtes tombés sur la bonne soirée. Ce soir, c'est moi qui offre. Hey Lenny, balance-moi un whisky-coca mon chaton. Et pour lui, hm... quelque chose d'un peu plus fort ! - C'est gentil mais... je ne comptais pas boire d'alcool... - Vous ne tenez pas la cadence ? - Je... ne sors pas beaucoup. - Vous savez où vous êtes, au moins ? »
Sa question me désarçonna. Je mis quelques secondes à comprendre et à réfléchir à pourquoi mes pas m'avaient conduis là. Ça ne ressemblait pas aux autres bar. La faune se faisait bien plus intime, évasive entre les lumières. Au final je me demandais pourquoi diable j'étais venu dans un tel endroit et c'est en examinant la population que je compris. Il n'y avait que des hommes. Moi, et le reste d'un monde inconnu, drapé de tutus, de rire, de maquillage, enseveli sous des tas de faux-semblants. Un monde dont je n'avais aucune envie, mais qui m'appela sans que je le vis venir.
« Merci pour le verre... - De rien ! C'est toujours un plaisir de boire un coup avec un beau garçon comme vous. - C'est gentil... Comment vous appelez-vous ? - Pour ce soir... C'est Liqueur. »
Ce nom roula sur sa langue comme un bonbon acidulé. C'était comme ça qu'il s'exprimait à l'époque. C'était comme ça que toute son indépendance et toute sa vergogne explosaient. Il se foutait de tout, sauf de l'ivresse et du plaisir. Sauf du show et du chant dans les lieux insolites.
« Et sinon... la journée, on vous appelle comment ? »
C'était ma première rencontre avec Warren. Je ne l'ai jamais trouvé aussi beau que sous ces néons. »
Eté 2008 – 37 ans
« Pour notre mariage, il avait opté le thème de la mer. Je trouvais ça un peu étrange, jusqu'à ce que je comprenne qu'il voulait clairement réserver un morceau de plage rien que pour ce jour spécial. La côte, le temps d'une journée, était à nous. Il n'y avait que cet homme pour faire preuve de tant de miracle. Et même si au final ce n'était pas grand-chose, il s'efforçait de me conforter dans ce conte de fées particulier. Rose, notre fille, la sienne par le sang et la mienne par procuration, resplendissait dans sa jolie robe de princesse. L'enfant m'avait adopté naturellement, privée d'une mère folle, qui poussa Warren à s'enfuir avec la petite. Leur histoire m'avait touché. Son cœur de papa gâteau aussi. Si bien que les choses se firent évidentes entre nous trois et que j'avais fondé une famille plus vite que ce que je ne l'aurais cru. Mais elle était belle, ma famille. Tout autant que celle qui se déplaça pour la cérémonie. Ma sœur était présente, ma mère aussi. Mon père, lui, était resté bloqué dans ses idéaux d'un autre temps, grand mal lui fasse...
Mais je me fichais de tout ça. La haine n'avait pas lieu d'être. Une seule personne comptait réellement.
Warren Cordell, celui à qui j'allais m'unir pour le restant de nos jours. Les siens vinrent bien trop vite. »
3 Novembre 2015 – 44 ans
« J'ai arrêté de respirer lorsque ton souffle m'a quitté. J'ai cessé de vivre comme tu me l'avais demandé. Ta perte m'a tué.
J'ai souhaité mille fois revoir ton regard Au détour d'une chambre ou d'un couloir. Mais j'ai oublié tes mots, nos promesses sur le lit de mort. Tout ça, ça n'a plus d'importance si je suis seul.
Elle grandira sans toi, mais je lui parlerai, chaque jour, de nos souvenirs. Rose aura bientôt 17 ans. Deux pères, un sur terre et l'autre au ciel.
Mon amour fera de même.
Il s’épanouira dans notre passé. Chaque seconde restera gravée.
Et même si tu pars, même si la maladie t'a pris à moi... sache que je continuerai de t'appeler, jusqu'au jour où nous nous retrouverons.
Je suis chirurgien. Je fréquente la Mort tout les jours. Et pourtant, jamais elle ne me parut plus douloureuse. »
1er Septembre 2016 – 45 ans depuis quelques heures
« Caroline, une nouvelle infirmière, est venue me voir. C'est une jeune femme pétillante aux yeux noisettes, une bouille d'écureuil à la conquête de la bonté humaine. Elle est venue me remonter les bretelles, il paraît que je fume trop pendant le service. A me gronder comme ça, elle ressemble à Rose. Mais ça ne m'a pas empêché de faire la moue, comme le pire des enfants, avant d'écraser mon mégot. La vie a repris ses droits dans les couloirs de l'hôpital, tout autant que dans ceux de ma demeure. J'ai changé de chambre, repeint des murs, changé la décoration. Les phases de deuil s'atténuent avec le temps. Ma petite est là pour m'épauler, de toutes manières. Ensemble, je sais que nous pouvons vaincre n'importe quel obstacle. Le temps passe, irrémédiablement. Bientôt les feuilles se barderont de rouge, comme les silhouettes d'antan des arbres d'autrefois. Il n'y a rien de constant. Et quelque part cette idée me terrifie. J'ai perdu pied face à d'anciens principes. Certaines convictions se sont envolées en poussière. C'est peut-être ça, grandir. La voix de Caroline, finalement, me tire de ma lassitude.
« Au fait, docteur Archer... Bon anniversaire ! »
L'espoir, et l'étincelle. Les tournesols se tourneront vers le Soleil.
S'il y a bien une chose que j'ai appris ici-bas, C'est qu'il faut vivre pleinement pour cueillir le Lendemain. »
AVATAR © / ; ICONS © /
Dernière édition par Louis Archer le Dim 4 Sep 2016 - 22:10, édité 17 fois |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. Mar 30 Aoû 2016 - 23:42
| Il est là Hâte d'en lire plus, tu sais déjà ce que je pense du personnage. Je te recontacte bientôt pour qu'on discute de ce lien Et bienvenue parmi nous |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. Mar 30 Aoû 2016 - 23:48
| Bienvenue sur le forum. |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. Mer 31 Aoû 2016 - 0:00
| Bienvenue sur LAPD ! Super choix d'avatar, je l'ai jamais vu mais il dégage quelque chose Courage pour ta fiche et surtout n'hésite pas à contacter l'un des membres du staff en cas de besoin ! |
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| Sujet: Re: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. Mer 31 Aoû 2016 - 0:07
| Bienvenue |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. Mer 31 Aoû 2016 - 2:35
| omg omg omg Même pas tu me dis que tu es là zyva Heureusement que j'ai repéré Adrien Je suis tellement content de te voir ici Bienvenue parmi nous, du coup, et bonne chance pour rédiger ta fiche Si tu as besoin de quoi que ce soit, surtout, n'hésite pas |
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| Sujet: Re: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. Mer 31 Aoû 2016 - 7:29
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| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. Mer 31 Aoû 2016 - 7:41
| Ce titre, ce pseudo, cet avatar ... N'en écris pas plus je suis déjà fan ...
Bienvenue parmi nous ! |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. Mer 31 Aoû 2016 - 9:37
| Promis, je vais rapidement répondre à ta recherche de liens. En tout cas, je te souhaite officiellement la bienvenue sur le forum et j'ai hâte de te lire |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel.
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| | | | LOUIS ▶ Les grands Hommes au chevet du ciel. | |
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