L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
|
|
| Maxime Pierrot ▶ Présentation | |
| |
and all the devils are here
| Sujet: Maxime Pierrot ▶ Présentation Sam 8 Juil 2017 - 11:10
| Maxime Pierrot What do you see, when you look at me? Don't cover my scars, let them bleed. Tell me, is this how it's supposed to be? Well then, I'm so, I'm so happy Perfect Disorder Surname Pierrot First name Maxime Louis Bernard birthday 06/02/1990 à Lyon, France age 27 ans origins Français sexual orientation bisexuel relationship status célibataire university Histoire médiévale money maker Plusieurs petits boulots dont gardien dans un musée Social climber classe moyenne Première chose à laquelle tu penses au réveil Manger Première chose que tu fais en rentrant le soir Manger Une musique qui te fait changer d’humeur en un rien de temps Ride - Twenty One Pilots L'activité qui te remonte toujours le moral L'écriture Si ta vie était un film, ce serait: Au pays de Kailloux Ce qui te fait le plus facilement pleurer La mort des animaux Ton plus grand complexe Ma musculation Ta plus grande fierté Mes Tatouages Ton mot préféré Merde. Le meilleur motif pour raccrocher au nez de quelqu'un au téléphone, à tes yeux Sa voix Définis-toi avec une expression l'habit ne fait pas le moins Ta personnalité en un mot Compliquée Ta personnalité (au lit) en un mot Secrète Plutôt sexe ou abstinence ? Joker Tu as le pouvoir de changer le monde. Que fais-tu ? Je fais en sorte que tout le monde bouffe à sa faim Who are you ?you're the judge oh no Tu te fous de moi ?! Tu viens de me le demander plus haut ! 'Fin bref, moi c'est Maxime Louis Bernard Pierrot, j'ai 27 ballets pour faire le ménage c'est pratique. Ouais, je sais, c'était nul mais ça t'évite de te la faire dans ta p'tite tête de lémurien. Je suis né en France à Lyon le 6 Février. Puisque tu tiens tant à le savoir, je suis bi et célibataire. Si ça t'intéresse, poste ton numéro à la suite qu'on voit si y a moyen de s'amuser ensemble... ou pas.
Actuellement, je fais un BTS esthéticienne, dans le but de devenir... esthéticienne ! Non, je dec'. J'ai fait des études en Histoire Médiévale, mais en ce moment je fais pas mal de petits boulots : gardien de musée, livreur de pizza, caissier, etc. Je ne roule pas sur l'or mais au moins ça paie mon loyer.
On dit souvent que je suis compliqué. Disons que je suis quelqu'un d'impulsif, j'agis sur le tas sans réfléchir. Donc forcément, j'ai le sang chaud, je m'énerve facilement mais je sais me montrer aimable, généreux, tendre, envieux parfois, poli et parfois un peu beaucoup hypocrite | Innocent ◈ Parce que je suis aussi doux qu'un agneau à la patte noire. |
Wish we could turn back time to the good old days | Criminal recordyou're the judge, set me free Quand j'étais enfant, ça m'est arrivé pas mal de fois de piquer des trucs à mes potes, genre les cartes pokémon tu vois ? Mais jamais rien de précieux. Fin de mon adolescence j'ai piqué des petits trucs à H&M comme tout le monde je pense. Si non j'ai déjà fait un peu beaucoup de fumette, mais rien qui m'a valu d'être arrêté par les flics. Je suis droit dans mes baskets comme on dit. |
Black mirrorlos angeles perfect disorder Prénom/pseudo Tim | Sadja âge/anniversaire 19 | 06/02 Pays France Présence Régulière Personnage inventé Intrigue Nope Où as-tu trouvé le forum ? Ancien ancien membre Qu'en penses-tu ? Pas changé depuis que je suis parti haha Newsletter oui En cas de suppression non Ta plus grande peur vis à vis du forum Bad Teacher Autre chose ? Natacha's watching you all Bottin - Code:
-
<span class="bottinpris">◼ RICHARD COLSON BAKER</span> • Maxime Pierrot | |
Dernière édition par Maxime Pierrot le Mer 12 Juil 2017 - 17:10, édité 6 fois |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Maxime Pierrot ▶ Présentation Sam 8 Juil 2017 - 11:10
| Lane boy call me back you're the judge, oh no, set me free Je naquis dans une famille tout ce qu’il y avait de plus banale. Ma mère Trisha et mon père Oliver avaient déjà eu deux enfants avant moi : ma sœur, Chloé, et mon frère, Victorien. Ma sœur et moi, malgré nos dix années d’écart, étions très proches contrairement à mon frère avec qui je me chamaillais souvent. Quelques photos de moi bébé montrent que ça n’avait pas toujours été le cas. Je grandissais dans une famille aimante.
Deux ans après ma naissance, mes parents décidèrent enfin de se marier après dix-huit ans de vie dans le péché. Je me rappelle de ce soir-là, pas beaucoup bien sûr, mais un peu quand même j’ai quelques bribes de cette journée. Ma mère, il me semble, nous avait habillés pareil mon frère et moi, en jaune canari, la couleur du mariage avec le noir. Elle m’avait assis dans le garage sur un meuble propre, bien sûr il n’était pas question de se salir avant la cérémonie. Je pleurais car j’avais, et ai toujours, horreur du jeune et je ne voulais pas enfiler mes petites baskets de cette couleur pour cette raison. Ce fût finalement mon frère qui me les enfila, si je me rappelle bien, et qui me prit la main ensuite pour aller, à pied, jusqu’à l’église du petit village de campagne où l’on vivait. Le reste est assez flou, il semblerait que c’était mon frère ou moi qui avait emmené les alliances jusqu’à l’hôtel. Puis le souvenir que je me rappelle le plus est la séance photo. Elle s’est déroulée vers un parc. Je me vois encore tout devant, mais je ne sais pas avec qui, et j’entends toujours la photographe, ou serait-ce le photographe ?, nous dire de nous rapprocher un peu plus. Ce furent mes seuls souvenirs de tout un mariage qui unifiait la famille Backer à la famille Pierrot. J’appris plus tard que ce jour-là, ma mère toute heureuse dans sa robe sortait de la chambre pour aller se présenter à sa belle-mère, donc ma grand-mère paternelle, et que cette dernière lui dit : « C’est bien, habillée comme ça tu fais deux fois Oliver ! ». Ma mère était un peu ronde il est vrai, alors elle fondit en larme faisant couler son magnifique maquillage dans les bras de ma grand-mère maternelle qui essayait tant bien que mal de la consoler.
De mes deux ans à mes quatre ans, aucun souvenir n’est présent dans ma mémoire, signe que rien d’aussi grave qu’à mes quatre ans ne s’était produis. En effet, l’année de mes quatre ans fût très dure, plus pour ma famille que pour moi car j’étais encore trop jeune. Au mois de Janvier, vers le 25, ma grand-mère maternelle entrait à l’hôpital pour se faire opérer du bras. Deux semaines plus tard, elle s’éteignait à l’âge de soixante-trois ans, la veille de mon anniversaire. On m’expliqua plus tard que c’était probablement à cause de cet évènement tragique que je ne me rappelle pas de mes quatre ans fêté avec mes parents, en pleurs bien évidemment comme mon frère et ma sœur, mais celui avec mes amis, dans mon école privée. La perte de ma grand-mère, à l’époque, ne me fit pas plus mal que cela je crois, car pour moi ce n’était juste un bras qui jouait avec moi dans la petite ferme que j’avais et qui faisait le bruit du cochon pour me faire rire. De la semaine après mes quatre ans jusqu’à la fin des temps, elle restera dans ma mémoire en tant que ce bras et désormais que cette tombe en marbre légèrement rosée avec inscrit dessus en or « Bernadette Pierrot née Pascal 1933 - 1996» avec son petit frère « Maurice Pascal » décédé bien avant.
Après cet évènement troublant et perturbant, presque rien d’anormal ne se produisit chez moi. Du jour au lendemain mon père et ma mère arrêtèrent chacun de leur côté de parler à leurs frères et sœurs, et mon père de parler à sa mère. Ce qui me priva de toutes idées de vacances chez mes oncles et tantes ou même mon parrain et ma marraine. Vers l’âge de 6 ans, rien n’allait plus entre mes parents. Tous les soirs ils se disputaient pour des raisons inutiles mais dont je ne peux et veux me remémorer. Des cauchemars venaient de plus en plus fréquemment me hanter la nuit, je me réveillais donc en pleur, appelant en vain ma mère qui ne m’entendais pas. Mon frère, avec qui je partageais ma chambre, ne venait pas me consoler, préférant se rendormir ou alors me disputer. Il n’y avait qu’une seule personne dans ces cas-là : Ma sœur, Chloé. J’allais donc dormir avec elle. Un an plus tard, mes parents se séparaient. Mon père nous avait demandé avec qui nous voulions vivre. Je m’en rappelle comme si c’était hier, on était tous les deux en voiture. Il m’avait dit que désormais je n’aurais plus une mais deux maisons et que j’aurais le choix de choisir celle dans laquelle je voudrais vivre. Il m’a dit aussi que Chloé vivrait avec ma mère, dans notre maison actuelle, et que Victorien et lui vivraient dans la petite ville à côté. Le dilemme que me proposait mon père n’avait pas pour question dans ma tête d’enfant de sept ans « Qui entre ta mère et ton père ? » mais plutôt une variante que je pense propre à moi « Qui entre une sœur aimante et un frère qui ne te respecte pas et avec qui tu t’énerves tout le temps ? » Je répondis dans un premier temps à mon père que je voulais vivre avec mes deux parents mais il me rétorqua que dorénavant ceci n’était plus possible. Je répondis alors, quasiment sans hésitation : "Maman".
A partir de ce moment-là, tout changea pour moi. Un beau-père débarqua quelque mois plus tard et j’en fus plus que content. Mon père de son côté n’avait personne. Un jour on était partis ensemble sur un vide grenier et au moment de partir, il me dit qu’on allait prendre l’apéritif chez quelqu’un. On entra dans un tout petit immeuble qui avait une cours et un coin de verdure caché de tous. On monta les escaliers un à un pour se retrouver devant la porte numéro 3 en face de la numéro 4, qui deviendra la porte de l’Enfer un an plus tard, ce que j’ignorais bien évidemment. Mon père frappa à la porte et une femme ouvrit. Elle était à peine plus grande que moi, 1m65 environs, la chevelure fine et rousse relevée en un chignon parfait, des lunettes et un grand sourire. On aurait pu lui donner 46 ans environs, soit à peu près l’âge de mon père à l’époque, mais en avait en réalité 56, s’appelait Valentine et avait un léger accent du sud. Mon père me disputa car je mangeais trop de biscuits apéritifs mais elle me défendit en souriant, un sourire que je cru sincère à l’époque.
Un an plus tard, à 9 ans, mon père et elle étaient ensemble depuis déjà un an. On était au mois de juillet, le 19, le soleil rayonnait dans toute la ville et ses alentours. Mon père, travaillant en tant que maçon, ne pouvait pas me garder et me confia donc à Valentine qui ne vivait toujours pas avec nous. En raison du beau temps, Valentine proposa à son voisin Daniel, un homme d’une cinquantaine d’année voire plus, peintre, que j’avais déjà croisé une ou deux fois de nous accompagner avec son fils de 6 ans, Jonathan, il me semble, faire une promenade en forêt. Nous partîmes donc faire cette balade de toute une journée. Nous prenions bien évidemment de quoi pique-niquer pour le midi. La matinée s’était à peu près bien passée même si je m’étais pris la tête avec Valentine, et mangeai donc à midi un peu en retrait du groupe. Là, Daniel vînt me voir, il s’assit près de moi et commença un petit discours sur le fait que j’étais gentil, qu’il m’appréciait beaucoup, même plus que son fils en réalité. Ceci me choqua sur le moment mais je laissai couler. On reprit la route et rentra à la maison. Valentine, ayant quelques affaires à préparer avant de m’emmener chez mon père me demanda si ça me dérangeait si j’allais jouer en bas avec Daniel à un jeu de société. Je lui répondis que non et sortis de l’appartement et me ruai vers la petite cours ou Daniel avait mis en place une table de jardin et deux chaises afin que nous puissions jouer. Je mis le jeu de société sur la table et pris place sur l’une des chaises. On commença le jeu mais vers le milieu de la partie, Daniel ne semblait plus très intéressé par le jeu et ne cessait de me fixer. Etant timide je rougis immédiatement, ce qui le fit rire. Tout à coup, je sentis son pied venir toucher ma jambe et descendre de bas en haut sur celle-ci. Je ne savais pas ce qu’il se passait. Tout à coup, il me dit qu’il voulait me montrer quelque chose sur le coin d’herbe. Nous y allions donc et, arrivés, Daniel fit mine de me montrer le paysage, dans lequel se trouvait un grand arbre qui nous cachait de la route et dont les branches au-dessus de nous nous dissimulaient du petit immeuble, puis d’un coup il recommença le même discours que précédemment dans l’après-midi :
« Je ne sais pas pourquoi mais j’aime bien être avec toi. Tu es très gentil, amusant. Je t’aime sincèrement, beaucoup plus que mon fils »
Il se colla à moi et m’embrassa. Je sentis sa langue pénétrer ma bouche, cette langue chaude et étrangère qui cherchait la mienne. Un bruit de volet qui claque le surprit, ma belle-mère nous appela mais j’étais trop tétanisé pour répondre. Elle referma sa fenêtre apparemment et Daniel me dit qu’il valait mieux que l’on remonte la voir avant qu’elle s’inquiète. Je rangeai le jeu de société puis me dirigeai vers les escaliers, où Daniel me rattrapa et m’embrassa pour la seconde fois. Ne sachant quoi faire je continuai mon chemin jusqu’à la porte numéro 3 et lui rentra dans la numéro 4. Je pensais rêver, que tout ceci ne s’était pas produis mais ce fût le cas. Valentine me dit d’aller voir Daniel pour lui passer un message, je ressortis donc un moment pour aller lui dire.
« Ah c’est toi Maxime. - Valentine voulait savoir si tu pouvais me garder demain deux heures avant de m’emmener à mon bus pour le centre aéré s’il te plait car elle a un rendez-vous. - Oui pas de soucis, dit-il avec un grand sourire, tu veux entrer un moment ? - Non désolé, Valentine m’attend. Au revoir. - A demain Maxime. »
Je comprenais enfin ce qu’il venait de se passer, le baiser, le discours, le pied, tout. Et la garde du lendemain me fit terriblement peur et sur le chemin qui menait à la voiture de Valentine, je fondis en larmes. Elle me demanda ce qu’il y avait alors je lui dis simplement :
« Daniel m’a embrassé sur la bouche. »
Mais elle ne me crut pas. Arrivés chez mon père, elle lui en parla et mon père vînt me voir dans ma chambre et me demanda tout ce qu’il s’était passé exactement. Suite à ma déclaration, mon père n’alla pas travailler le lendemain, ma belle-mère annula son rendez-vous et tous les deux me conduisirent à la gendarmerie où je dû réexpliquer encore et encore cette histoire d’un enfant trop ignorant du monde des adultes. Pour ne pas avoir l’air d’avoir demandé à ce qu’il m’embrasse, car je me sentais coupable de ce qu’il m’arrivait, je mentis en disant que j’ai toujours essayé de le repousser mais c’était faux car la peur me paralysait trop pour espérer faire le moindre mouvement.
Après cet évènement, je quittai Lyon avec ma mère et mon beau-père pour m’installer à Orléans, lorsque j’avais 10 ans. Là-bas je réussi à me créer une nouvelle vie, un nouveau départ même si je ne fus pas accueilli à bras ouvert. Ma dernière année de primaire, je la passai donc seul. Puis viens le collège, j’y ai passé quatre années barbantes mais de nouveaux amis fidèles ont fait leur apparition.
Après il y eut l’entrée au lycée. Ce monde changeait complètement du collège, chacun était libre de faire ce qu’il lui semblait, avec plus de mille élèves, si tout le monde devait faire attention à ce que les autres font, on y serait resté quinze ans. Je me retrouvai dans la même classe que ce qui était une bonne chose. Cette première année fût géniale, nous avions une classe très soudée pour moi. En même temps, je parlais à tout le monde. La deuxième année, j’ai fait la connaissance d’Anne Ander. La première fois que je l’ai vu, elle ne m’inspira pas confiance à parler anglais, à nous prendre de haut avec son look qui faisait très « wesh-wesh » mais avec le temps je découvris que c’était une fille en or, avec un lourd passé qui me rendait encore plus admiratif de son parcours. La terminale se passa bien, j’eus mon bac avec mention assez bien ce qui pour moi n’était pas si mal. Je partis donc pour la capitale bretonne pour mes études d'histoire. C'est en économisant sur mes bourses d'études que j'ai commencé à me dessiner sur la peau, jusqu'à en arriver au résultat que vous pouvez constater maintenant.
Mes études finies, comme nous nous l’étions promis avec Anne, nous partîmes en colocation à Los Angeles. Là-bas, nous lancions chacun notre propre chaîne Youtube qui n'étaient pas très visionnées dans l’ensemble. Avec l’argent du procès qui était bloqué sur un compte jusqu’à mes dix-huit ans, à 23 ans, j'ai pu éviter de me retrouver à la rue. C'est à ce moent-là que je me suis bougé pour trouver un travail qui paie. J'ai été caissier quelques temps, livreur de pizza également, j'ai fait du ménage pour des personnages âgées ou fortunées. Désormais, à 27 ans, je suis gardien de nuit dans un musée.
Dernière édition par Maxime Pierrot le Mer 12 Juil 2017 - 17:42, édité 4 fois |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Maxime Pierrot ▶ Présentation Sam 8 Juil 2017 - 12:56
| Bienvenue à toiiiii, jeune homme ! :3 J'espère que tu te plairas sur LAPD ! Au plaisir de rps, je l'espère ! |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Maxime Pierrot ▶ Présentation Sam 8 Juil 2017 - 13:13
| Mais non !!!!! IL A RECRAQUÉ T'es revenu à la maison mon chou ! Rebienvenu chez toi |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Maxime Pierrot ▶ Présentation Dim 9 Juil 2017 - 12:51
| Bienvenue ou re-bienvenue parmi nous ! Bon courage pour ta fiche |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Maxime Pierrot ▶ Présentation Dim 9 Juil 2017 - 13:43
| Bon retour parmi nous, Tim ! ;) |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Maxime Pierrot ▶ Présentation Dim 9 Juil 2017 - 19:47
| Merci |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Maxime Pierrot ▶ Présentation Dim 9 Juil 2017 - 19:49
| Oh ce retour !!!! Re bienvenue chez toi mec |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Maxime Pierrot ▶ Présentation Dim 9 Juil 2017 - 23:52
| MGK OMG OMG OMG JE T'AIME TELLEMENT D'AMOUR. Bienvenue parmi nous, grand fou te réserve une place bien au chaud. |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Maxime Pierrot ▶ Présentation Lun 10 Juil 2017 - 14:16
| Bon retour, bon courage pour ta fiche! |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Maxime Pierrot ▶ Présentation
| |
| | | | Maxime Pierrot ▶ Présentation | |
| Page 1 sur 2 | Aller à la page : 1, 2 | | |
Sujets similaires | |
|
They call it the city of angels but all the devils are here
| | |
| |
|