Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco.
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Sujet: Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco. Dim 5 Mar 2017 - 12:19
Retrouvailles à San Francisco.
MARIE & NICHOLAS
Marie ferma les yeux en vidant son verre d'une traite, puis le reposa sur la table avec juste un peu trop de brusquerie en faisant signe au barman de lui resservir la même chose.
Ce n'était pas sa première bière. En fait, elle était là depuis pas mal de temps maintenant, attablée avec son ami Nicholas dans ce bar de San Francisco, elle était partie loins de Los Angeles pour ce changer les idées. Ils ne se connaissaient pas depuis très longtemps. Et pour cause : pendant une grande majorité de leur vie, tous deux avaient vécu dans deux univers complètement différents, séparés, indépendants. Normalement, ils n'auraient jamais du se croiser du tout. Et pourtant ils étaient là, à présent, à San Francisco. Ils s'étaient rencontrés peu de temps après leurs arrivées. C'était le genre de chose qui créait des liens. Ils se voyaient régulièrement depuis. Aucune ambiguïté : elle le voyait simplement comme un ami, quelqu'un sur qui compter dans cet endroit peu familier. Au début, elle lui avait posé de nombreuses questions sur le mode de vie à Los Angeles, qui devait beaucoup ressembler au mode de vie espagnol, car il semblait y être tout à fait à l'aise. Elle même s'y habituait doucement, et avait de moins en moins besoin de son aide...
La jeune femme était pour l'instant affalée sur son siège, tentant d'éclaircir ses pensées à travers sa tête qui tournait, ralentie par l'alcool. Elle leva les yeux vers Nicholas. Leur conversation précédente avait pris fin dans un silence imbibé et songeur mutuel - elle avait déjà du mal à se souvenir de quoi au juste ils avaient parlé, et de la conclusion qu'ils avaient atteinte.
« Tu sais.. »
Elle réfléchit à une façon de terminer sa phrase. Et retomba naturellement sur le sujet qui l’obnubilait le plus depuis qu'elle était arrivée ici. Un brin de mauvaise humeur dans la voix. « Tu sais, je trouve que cette réalité est vraiment nulle. Je veux dire... L.A est sensée être la ville de tout les désirs et pourtant, rien, je n'arrive à rien.. »
C'était de la mauvaise foi. Depuis qu'elle le connaissait, elle avait peu parlé de ses origines, principalement parce qu'à chaque fois qu'elle abordait le sujet, il la regardait comme si elle lui expliquait quelque chose de complètement absurde. Elle pouvait comprendre, elle supposait que c'était trop dépaysant, que ça semblait faux - mais ça la frustrait, alors elle en parlait peu. Du moins, sobre. A présent, elle ne voyait aucune raison d'éluder le sujet.
Elle fixa son verre, miraculeusement rempli sans qu'elle se rappelle avoir vu passer le serveur, et fronça les sourcils. Pas raisonnable de boire autant ? Bah ! Que pouvait-il lui arriver dans cette ville ? Ici, tout était d'un ennui mortel... Elle soupira et attendit la réponse de son ami.
Dernière édition par Marie S. Lane le Dim 5 Mar 2017 - 19:20, édité 2 fois
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Sujet: Re: Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco. Dim 5 Mar 2017 - 19:03
Retrouvailles à San Francisco.
MARIE & NICHOLAS
La bière avait vite été remplacée par l'alcool. Nicholas faisait tourner son verre, rempli d'un liquide ambré odorant, entre ses doigts. Les effets de la boisson commençait à se faire ressentir dans son esprit et encore plus dans son corps. La chaleur augmentait, le forçant à ouvrir un bouton de sa chemise blanche pour dégager son cou. Le décor ne tournait pas encore, ou peut-être un tout petit peu seulement ... Mike pencha la tête en arrière, se passant les doigts dans le cou en fermant les paupières. De quoi étaient-ils en train de parler avec Marie ? De quelque chose qui l'avait plongé dans ses pensées durant plusieurs minutes mais désormais, il aurait été incapable de dire sur quoi portait leur discussion.
Marie. Son amie la plus étrange parmi tout son répertoire. Non pas qu'elle agisse de façon irrationnelle, la jeune femme n'était pas du genre conspirationniste à croire aux extraterrestres ou a des complots gouvernementaux. Non, rien de tout ça. Marie, elle était juste différente. Quand Nicholas l'avait croisée pour la première fois, on aurait dit une héroïne de bande dessinée tout droit sortie des pages de papier glacé. Sa façon de s'exprimer en utilisant des termes que Nicholas n'avait jamais entendu auparavant mais aussi sa vision du monde. Tout était innovant avec elle. Marie maîtrisait mal la technologie moderne au début, le jeune homme lui avait montré comment se servir d'un smartphone et lui avait même créé son compte sur les réseaux sociaux à l'époque. C'est sur que quand on sort d'un pays pommer comme l’Écosse on ne peux pas connaître les réseaux sociaux.
Aujourd'hui, la demoiselle s'était plutôt bien intégrée. Cela faisait deux ans, elle avait eu largement le temps de comprendre.. Nicholas n'avait plus à lui expliquer tout ça, pourtant ils continuaient à se voir de temps en temps pour boire un verre et discuter. Marie était une compagnie agréable et Nicholas appréciait l'écouter lui raconter des histoires. C'était assez ahurissant sa façon de conter des exploits mythiques. Parfois, le jeune homme se laissait emporter dans le rythme du récit et se mettait à douter. Fut un temps où Nicholas aurait éclaté de rire et l'aurait traitée de folle sans ménagement, mais après c'est recherches sur l’Écosse il la croyait. Alors, Nicholas donnait raison à ça petite Marie. Il ne croyait pas sur parole chacun de ses mots mais ne la considérait pas comme une folle non plus. Il mettait tout en perspective.
« Laisse-toi le temps de connaître L.A. Les gens reconnaissent déjà ton talent d'actrice. »
Il haussa vaguement les épaules et vida son verre de whisky, savourant le goût amer qui lui glissa dans la gorge. Marie lui avait déjà parlé l'une ou l'autre fois de ses expériences passées. Elle n'était pas rentrée dans les détails mais elle avait un vécu chargé, elle s'était souvent battue et avait du fuir plusieurs dangers. Cela leur faisait des points communs. Lui aussi avait du fuir et ce battre. Nicholas finit par redresser la tête et observer la brunette à ses côtés.
« Quand on t'écoute, on a l'impression que ça te manque de ne plus voire l’Écosse. »
Nicholas ne partageait pas son avis, en tous cas. Sa vie actuelle lui paraissait mille fois mieux que celle passée en Espagne. Retourner à cette période de sa vie ? Replonger volontairement dans les pires instants de son existence ? Non, sans façon. Nicholas devait cependant avouer qu'ils appréhendaient les choses de manière opposée. Marie semblait avoir connu plusieurs expériences différentes contrairement à Nicholas.
Il fallait aussi avouer que la vie de Nicholas était, en ce moment, en pleine reconstruction. Ayant quitté récemment son job, l'homme cherchait un nouveau domaine complètement différent c'est études de droit commence a le souler. Quant à sa vie amoureuse, Nicholas enchaînait les conquêtes mais n'avait aucune envie de se poser. Même au niveau de ses amis, les choses bougeaient pas mal. S'éloignant peu à peu de son ancien groupe d'amis, Nicholas commençait à plutôt se rapprocher de ceux qu'il avait croisé et côtoyé depuis son arrivée à Los Angeles. C'était sans doute plus saint.
« Allez vas-y, raconte moi encore une de tes histoires ! Je sais que t'en meure d'envie ! »
Nicholas pouffa de rire et croisa les bras sur la table, venant poser la tête sur les bras comme un enfant. Il ferma les paupières quelques secondes, continuant cependant à écouter Marie et attendant qu'elle se mette à lui conter une nouvelle aventure ...
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Sujet: Re: Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco. Lun 6 Mar 2017 - 16:18
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MARIE & NICHOLAS
Tu laisses tes bras trainer sur lui tandis qu’un large sourire nait sur tes lèvres. Sa réponse te plait et te fait sourire. Ce petit jeu innocent entre vous te plait, vos relation un peu particulière aussi. C’est un peu un tout en réalité. Ca présence t’est devenue importante et tu regrettes de ne pas l’avoir vu depuis tant de temps. Tu ta rapproche de lui changeant de sujet tout en rigolent quelques secondes.« Je suis toujours aussi magnifique n'est-ce-pas. » Léger sourire en coin. Ton regard reste porté sur lui alors que tu prends place face à lui à son regard tu voie qu'il le pense toujours. Discrètement tu mords ta lèvre devant l’ironie de la situation. Ca te fait du bien de te détendre et de plaisanter avec Nicholas ce soir. Le serveur se pointe et tu passes ta commande. Tu aurais simplement pu prendre un cocktail sans alcool, quelque chose de léger cette fois-ci. Depuis quelques années déjà, le sans alcool n’est plus dans ton vocabulaire. Tu sais quand même te modérer. Après que le serveur ai déposé ton verre devant toi, tu ne peux t’empêcher une remarque pour Nicholas. Tu notes le ridicule et surtout le cliché de la situation. Mais c’est quelque chose que tu apprécies de plus en plus. Ce côté sans prise de tête, au jour le jour ça compte plus que tu ne voudrais l’admettre à quiconque. « Je suis certaine que ça rendrait certain film beaucoup plus intéressant qu’ils ne le sont ! Tu m'avais manquer. »
Tu le regardes sourire et te fixer. Tu sais pas vraiment pourquoi mais ce regard te met quelque peu mal à l’aise. Tu baisses légèrement la tête, ton sourire ne te quittant pas et tu replaces une mèche de tes cheveux derrière ton oreille. Tu n’aimes pas les avoir dans les yeux, mais tu n’aimes pas non plus devoir les attacher, un peu compliqué parfois, mais tu fais avec. C’est toi qui engage la conversation,ne voulant pas rester sans rien dire sinon tu t’enflammerais sans doutes face à ce regard qu’il te lance. Tu ne sais pas vraiment dire s’il le fait exprès ou au contraire si c’est naturel mais ça te gêne. Tu aimes, oui, mais ça te gêne et il en faut beaucoup pour ça. Tu lui demandes alors comment il va, ce qu’il a de beau à raconter et c’est simplement que tu pose ton coude sur la table pour glisser ta tête sur ta main et l’écouter. Tu hoches positivement la tête quand il te demande depuis quand vous ne vous êtes pas vu et qu’il émet une réponse. Après son accident le soir d’Halloween, tu as eu peur de le déranger en allant le voir, c’est par sms que vous avez communiqué et c’était très bien comme ça. Un petit sourire en coin prend place sur mes lèvres quand il parle d'histoire. Tu le laisses pourtant continuer. Sa modestie te fait rire, mais tu ne peux pas nier ses propos. Ton regard se balade sur lui. Depuis que vous vous connaissez il ne cesse de ce venter des ces abdos, pourtant tu es curieuse et tu voudrais savoir ce que peut bien cacher son t-shirt qui ne te laisse voir que ses bras et son cou. Bien trop peu à ton goût. Distraitement tu mords ta lèvre et reporte ton regard dans le sien. Tu prends une gorgée de ton cocktail et lui souris de nouveau.
« Imagine si tu étais devenue aveugle, tu n’aurais plus jamais pu me voir, ça aurait dommage quand même ? » Te lancer des fleurs ? Oui, ça fait beaucoup de bien parfois et ce soir ne fait pas exception. Tu réfléchis maintenant à comment changer de sujet, tu ne voulais pas lui raconter d'histoire alors tu parle de couleurs. Tu fais mine de réfléchir avant d’apporter ton doigt à son bras. « J’aime beaucoup le rouge, mais je pense que tu le sais déjà. » Tu pars de son épaule, sur son t-shirt. Pour finir contre sa peau jusqu’à son avant bras. Un simple effleurement alors que ton sourire en coin ne te quitte pas, tu aimes trop ce jeu dangereux auquel tu joues. Tu te penches un peu en avant par dessus la table pour que tes lèvres rejoignent son oreille, naturellement. « Je préférerais te voir dans une tenues qui me laisserais voir tes "abdos" que tu t’évertues à me cacher. » Tu lui adresses un léger clin d’oeil et tu t’éloignes pour retrouver le dossier de ta chaise, ton sourire bien présent et ton verre à la main. t’as rien à perdre ce soir, tu continues juste cette relation qui s’est installée entre vous.
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Sujet: Re: Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco. Mar 7 Mar 2017 - 19:16
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« Tu es magnifique »J’aimais la complimenter de la sorte, pas seulement parce que je pensais ce que je disais, mais surtout parce que j’aimais beaucoup le sourire qui venait s’afficher sur son visage lorsque je le faisais. Je voyais aussi très bien la gène qui venait avec, mais ça aussi, c’était quelque chose que j’appréciais, parce que c’était un signe que j’arrivais à la toucher, et c’était un pur kiffe pour moi. La plupart des filles, je cherchais à les charmer pour les mettre dans mon lit, c’était plus ou moins facile suivant la personne en face de moi, mais avec Marie, il y avait quelque chose de différent, comme si je sentais quelque chose de fragile chez elle que je ne voulais pas briser. Au cours de nos différentes rencontres, et discussion, j’avais appris à l’apprécier réellement, et même si l’envie de la déshabiller ne disparaissait absolument pas de mon esprit, j’avais envie et besoin de la connaitre, c’était surement pour ça que pour le moment j’allais encore contre ma nature.
En attendant, j’essayais de lui relater ce qui s’était passé dans ma vie, ou du moins les conséquences qu’avait entrainé certain événements qu’elle connaissait déjà. Je n’avais évoqué que la perte de vue parce que c’était la seule chose qui me gênait encore. Aujourd’hui tout ça était rentré dans l’ordre, et je pouvais bouger comme je l’entendais. J’avais tout de même bien galéré à la salle de sport pour me remettre en forme, mais je l’avais fais pour moi, pour me sentir mieux. Une sale période que j’avais réussi à passer sans retomber dans mes vieux démons, et rien que pour ça, j’étais super fier. Elle me fit alors savoir qu’elle aimer le rouges ce qui me fit hausser les épaules, puis après on à décider de parler de Daredevil, discussion de gamin mais pas grave, parce que vraiment je n’aimais pas du tout mais la discussion concernant le super héro me plaisait déjà bien plus, d’autant plus lorsque Marie commença à se montrer un peu plus tactile, montrant un peu plus ce qu’elle avait derrière la tête. Nous étions clairement sur la même longueur d’onde et ça me plaisait énormément. Voila pourquoi c’était un beau sourire charmeur qui s’affichait désormais sur mon visage alors que je l’écoutais sans un mot… Si je m’écoutais, je lui sauterai tout simplement dessus pour savoir très clairement l’effet que pouvait me faire ses lèvres sur les miennes, mais j’avais tout autant envie de faire durer les choses, de nous pousser au maximum de la frustration. Elle en avait autant envie que moi je le sentais, et c’était sans doute pour ça que je jouais ainsi. Et puis, je n’étais pas en reste, elle s’amusait avec mes nerfs elle aussi, la preuve avec cette façon qu’elle avait de faire glisser ses doigts sur ma peau. Elle évoqua alors mon corps mes abdos. C’était voulu, je savais très bien que plus on faisait savoir au personne autour de nous qu’on avait un dream body sans qu’ils puissent les voir éveillait leur curiosité, et chez une femme, cela éveillait surtout son envie. J’adorais ça. Mon sourire ne me quittait plus alors que le bleu persant de mon regard ne quittait plus le sien.
« Mon corps, mes abdos comme tu dit, raconte mon changement. Je ne suis pas sûr que tu sois prête pour ça beauté. » Je parlais en ne la lâchant pas du regard, et d’autant plus pour la suite. « Et en ce qui concerne le fait que je ne pourrai plus te voir… En un sens… Ca pourrait être sympa… Je serai obligé de poser mes mains sur toi pour laisser mon imagination se faire une idée de la personne que j’ai devant moi… Tu sais laisser mes mains se poser sur ton visage… Glisser le long de tes bras… De ton corps… » Ma voix se faisait de plus en plus sensuel au fur et à mesure que je lui expliquais la situation impatient de voir la réaction que mes mots pouvait éveiller chez elle, me retenant d’allier mes gestes à mes paroles…
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Sujet: Re: Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco. Mer 8 Mar 2017 - 16:16
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T’es pas certaine qu’il ait conscience de l’effet qu’il te fait. Ou alors il le sait très bien et en joue et ça te plait encore plus. T’es face à lui, tu joues avec lui comme tu ne l’as jamais fait avec personne, même pas ton meilleur ami. Il t’a expliqué comment il va et tu es plutôt rassurée de savoir que pour lui tout s’arrange. Le perdre et la dernière chose que tu souhaites. Entre vous c’est fusionnel, tu ne saurais pas décrire votre relation autrement. Ambiguë aussi, et ce depuis votre rencontre et ces regards et sourire en coin ne sont pas fait pour te déplaire, bien au contraire. Tu lui parles finalement de ses "abdos". Du fait que tu refuses la tenue en cuir pour privilégier quelque chose de plus léger qui te permettrait enfin de découvrir ce qu’il cache. Il en joue. Tu aimes. Tu détestes aussi. Tu aimes cette part de mystère. Mais tu détestes ne pas savoir. Ça te bouffe, ça te ronge et tu voudrais le déshabiller même au milieu de ce bar plein de monde. Tu te montres tactile, tout en lui expliquant ce que tu voudrais, tu vois bien que ton comportement lui plait, tu en es certaine maintenant à ce sourire que tu vois naître sur ses lèvres. Tes doigts glissent sur lui avant que tu ne reprennent ta position initiale, ton verre à la main. T’attends, t’attends simplement qu’il se décide à te répondre, ta lueur provocatrice ne quittant en aucun cas son regard. Il te brûle, t’embrase littéralement et tu souffles longuement pour garder ton calme et ne pas céder à tes pulsions sur le champs. Tu hausses un sourcil interrogateur. A ce geste se mêle un sourire. Pas prête. C’est donc ce qu’il pense de toi. Tu l’écoutes parler. Tu comprends très bien ses paroles et instinctivement tu te mords la lèvre. Tu as du mal à résister à cette envie de le faire taire. A lui demander de mettre en pratique tout ce qu’il est en train de te dire. Tu es déjà capable d’imaginer l’effet que pourrait avoir ses doigts sur ta peau et à cette idée, un frisson te parcours. « Qui te dit que ça me dérangerait que tes doigts découvrent mon corps ?. »
Sa voix s’était montrée sensuel, tu faisais de même. Votre jeu prenait une tournure que tu espérais depuis longtemps. « Qui te dis... » Tu prends une gorgée de ton cocktail, ta langue passant de nouveau sur ta lèvre avant de reprendre. «… que je n’aimerais pas sentir tes caresses sur moi ? » Tu pousses peut-être un peu trop loin mais ça n’a plus aucune importance à ce moment là. Tu laisses le raisonnable de côté pour parler. Un dernier regard et tu te lèves, ton sourire ne te quittant. Sans un mot tu t’éloignes, tu rejoins Aileen au bar et tu n’hésites pas à passer dernière. Tu t’approches d’elle et tes lèvres à son oreille tu souris. « Je peux avoir les clés.. » Elle sait de quoi tu parles. C’est pas souvent que tu demandes ça mais tu sais que tu peux. T’es un peu privilégié ici et tu n’hésites pas à t’en servir comme ce soir. Son sourire te montre qu’elle a bien compris. Elle est pas stupide. Tu te saisis de l’objet et déposes rapidement un baiser sur sa joue avant de regagner ta place, face à cet homme qui te rend complètement folle. Doucement, tu te saisis de sa main et tu y déposes la petite clé que tu viens de récupérer. « Salle de jeux. » Tu souris légèrement et lui fait comprendre ce de quoi tu parles d’un signe de tête. « Que dirais-tu d’une partie de ce que tu veux ? Je gagne, tu me montres ce que je veux voir. » Si tu gagnes, tu sais que tu veux voir son torse , tu veux découvrir ce qu’il te cache depuis si longtemps. Mais tu sais aussi qu’il doit y avoir la condition du s’il gagne. « Si c’est toi qui gagne, tu peux me demander ce que tu veux. Et c’est toi qui choisis le jeu. » Tu ne bouges pas, tu restes face à lui et tu attends, la clé est entre ses doigts. Vous ne seriez que tous les deux et c’est à lui de décider si oui ou non il cède à ta demande.
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Sujet: Re: Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco. Ven 17 Mar 2017 - 21:21
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Lui faire savoir ce que le fait d’être aveugle pourrait entrainer entre nous deux semblait faire son effet sur elle, et j’en étais plus que ravie. Je voyais qu’elle n’était vraiment pas insensible à mes paroles, ni même à moi tout court, et j’adorais voir ce genre de lueur dans le regard d’une fille, d’autant plus lorsque la fille en question est une personne comme Marie… Pas seulement sexy, pas seulement la nana que je voulais mettre dans mon lit… Non je savais qu’il y avait bien plus que ça au fond, même si j’étais bien incapable de mettre un nom sur cette sensation. Il n’était pas nécessaire que je comprenne ce qu’il se passait entre nous, je ne voulais pas me poser ce genre de question parce que je savais très bien que si je venais à le faire, j’allais finir par fuir cette relation avant même d’avoir vécu quoi que ce soit. Tout ce que je prenais en compte était le fait que je me sentais vraiment bien avec elle, et que j’avais envie que cela continue encore et encore…
Qui me disait que ça la dérangerait de sentir mes mains sur elle ? Absolument personne, mais j’aimais qu’elle me fasse savoir que c’était même plutôt quelque chose qu’elle apprécierait. Cela me donnait d’autant plus envie d’agir, encore plus en entendant qu’elle calait le ton de sa voix sur la mienne. Il n’y avait absolument plus aucun doute quant à ce qu’on attendait de cette soirée l’un comme l’autre, et n’importe qui passant près de nous en cet instant en aurait totalement conscience aussi tellement l’oxygène qui nous entourait devenait lourde en électricité sensuelle… J’étais fasciné par ses lèvres qu’elle s’amusait à torturé après chaque gorgée, alors qu’elle continuait de m’aguicher… Mais alors que j’étais perdu dans l’envie intense que j’avais d’elle, je la vis disparaitre de mon champ de vision… Rapidement, j’étais donc revenu à moi-même, et j’avais donc cherché à savoir où elle était, la retrouvant derrière le bar, à parler avec la serveuse du soir, très jolie soit dit en passant, vraiment très jolie…
Je ne comprenais pas ce qu’elle faisait et mes sourcils froncés devait en être la preuve. Mais en même temps je ne voyais pas ce que je pouvais faire de plus en cet instant, rien d’autre que de la fixer et essayer d’assimiler ce qui était entrain de se dérouler. Nous nous étions lancé dans un jeu fort sympathique, mais en cet instant, je devais avouer que je ne savais pas quoi penser, avait-elle simplement joué pour me laisser en plan ? Non je ne pouvais pas croire à cela. Et visiblement j’avais eut raison, puisqu’elle revint enfin vers moi, reprenant sa place initiale tout en glissant quelque chose dans ma main. « Salle de jeux » Mon regard devait être toujours aussi perdu, c’était sans doute pour ça qu’elle m’offrit son magnifique sourire avant de me montrer la direction de la pièce où se cachait toute une panoplie de jeux tel que le billard, le baby foot, ou quelque cible de fléchette…
Mon cerveau avait enfin fait tilt alors que j’ouvris ma main pour y découvrir cette clé qui me fit lui offrir un sourire aussi enjôleur que celui qu’elle avait sur son beau visage. Elle voulait me mette au défi, et ça me fit rire, doucement, comme un souffle. Sa proposition était très tentante, mais j’avais envie de la torturer un peu, alors je fis tourner la clé entre mes doigts, faisant mine de peser le pour et le contre. Je fis durer le suspens quelques secondes, mais ayant cette envie brûlante en moi, ça me paru une éternité, alors sans un mot de plus je m’étais levé, attrapant ma veste sur le dossier de ma chaise, attrapant quelques billets dans mon porte feuille pour les déposer sur notre table, laissant d’ailleurs un pourboire pour l’amie de Marie, la jolie serveuse. Tout était fait pour laisser croire que j’allais partir, et la laisser là, mais pourtant je fis le tour de la table pour me pencher au dessus d’elle, et lui parler à l’oreille…
« Prépare toi chérie… Cette soirée risque de changer ta vie… » Vantard ? Oui sans aucun doute ! Mais j’assumais pleinement ce côté de moi, et puis il fallait bien l’avouer, Marie avait besoin d’un mec sûr de lui, sinon elle ne serait pas là à me proposer ce genre de plan en privé, n’est ce pas ? Alors après avoir laissé mon souffle chaud glisser sur sa joue jusqu’à ses lèvres que les miennes frôlèrent sans jamais vraiment les toucher, mon regard perdu dans le sien, avant de me mettre a sourire de fierté face à l’envie que je pouvais lire dans ses yeux, pour enfin me relever en lui tendant la main pour l’amener avec moi dans cette fameuse pièce dont j’avais visiblement la clé. Tel un gentleman, j’avais permis à Marie d’entrer alors que je lui tenais la porte sans jamais lui lâcher la main, et ainsi je pus refermer derrière nous sans problème, mais surtout sans perdre le contact.
D’un geste un peu brusque, mais surtout très franc, je l’avais alors ramené à moi de sorte à ce qu’elle soit coincé entre cette porte que je venais de fermer, et mon corps. Coincée entre mes bras que j’avais posé à plat de chaque côté de son visage afin qu’il n’y ait plus rien qui puisse se glisser entre nous, même pas un brun d’air tellement nos corps étaient collés l’un à l’autre. « T’es sur que tu veux jouer à ça ? Parce que sache que je suis imbattable au billard… » Je me donnais chaud à rester aussi proche de son corps, mais en même temps s’était le but, et surtout je voulais lui faire comprendre que même si je n’avais aucunement envie qu’elle s’éloigne de moi je lui laissait une dernière porte de sortie. J’étais vraiment très doué au billard, c’était un jeu qui m’avait toujours plu, mais après tout elle pouvait être meilleure que moi… De toute façon, nous savions très bien tous les deux que si elle décidait de jouer, elle finirait par voir ce qu'elle voulais qu’elle gagne ou pas…
Plus question de faire marche arrière désormais… Du moins, je l’espérais…
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Sujet: Re: Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco. Sam 18 Mar 2017 - 22:05
Retrouvailles à San Francisco.
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T’es réceptive. Il ne peut pas en être autrement après tout. A ses mots, tes lèvres se retrouvent une nouvelle fois torturée et son regard te laisse penser que ça lui plait. Tu imagines ses mains posées sur toi, ses doigts qui jouent contre sa peau et un frisson d’envie te parcourt. S’il n’y avait pas tout ce monde, tu sais que tu aurais déjà craqué et réduis cette trop grande distance qui vous sépare pour goûter à ses lèvres. Tentation… mais tu ne peux pas craquer, pas la première en tout cas. Ton regard se fixe sur ses lèvres et tu prends sur toi pour ne pas céder. Au contraire, tu te lèves. Tu rejoins Nicholas au bar pour récupérer la clé de la salle de jeux. Une clé qui te permettra de te retrouver seule avec lui, pour le meilleur comme pour le pire. Surtout le meilleur, tu en es convaincue. Tu regagnes ta place et déposes la clé entre ses doigts. C’est à lui de décider si oui ou non il est prêt à jouer le jeu. Tu le regardes, tu ne perds pas une miette de sa réflexion bien trop longue à ton goût. Quand tu le vois se lever, tu prends peur. Peur que tout ça soit terminé et qu’il décide de partir. Sa veste en main, les billets sur la table, tout laisse à croire qu’il va partir mais non. Il fait le tour de la table pour se pencher sur toi. Tu sens son souffle contre ta peau et ses mots ont un effet des plus électrique. Changer ma vie ? Il peut faire ce qu’il veut en fait, tu as bien trop envie de savoir ce qu’il te réserve pour répondre. Son souffle se déplace, gagne ta joue, puis bientôt tes lèvres qu’il effleure. Ton regard se perd, tu te noies si facilement en lui que s’en est déroutant. Tu le veux. Tu sais que tu as juste à te rapprocher légèrement pour goûter enfin ses lèvres mais tu n’es plus sûre d’être capable de t’arrêter si tu cèdes dès maintenant. Tu veux jouer. Tu veux savoir combien de temps il est capable de tenir sous tes provocations car tu sais déjà que toi, tu peux craquer à tout moment. Tu te saisis de sa main tendue et serres sans hésitation ses doigts entre les tiens. Un sourire s’affiche sur tes lèvres. Tu aimes ce nouveau contact entre lui et toi. Pour quiconque se trouvant un peu loin, vous passeriez facilement pour un couple et cette idée te fait rire car de près c’est une tentation tout autre qui se ressent. Tu le laisses t’entrainer dans cette pièce qui serait pour ce soir votre terrain de jeu. Il garde ta main dans la sienne tout en refermant la porte et le bruit significatif de la clé qui tourne dans la serrure te certifie que vous resterez bien seule. T’es loin d’être le genre de fille qui partage. Tu le sens t’attirer à lui et tu lâches un petit cri de surprise. Tu ne t’attendais pas à un geste si possessif à peine dans la pièce mais c’est loin de te déplaire. Ton dos est collée à la porte, son corps est collé au tien et tu sens progressivement la chaleur t’envahir. Tes mains sont plaquées contre son torse et tu sourit. Tu es prisonnière. Tu es sa prisonnière et tu aimes ça. Tes doigts glissent doucement par dessus son t-shirt jusqu’à se retrouver sur ses hanches. Tu soulèves légèrement son t-shirt pour glisser tes doigts dessous pour les faire entrer au contact de sa peau. Tu gardes le contact de son regard, t’es pas prête à le perdre. Chacun de ses mots te parviennent et ne font que grandir ton sourire. Tu profites de la chaleur de son corps, tu savoures ce contact entre tes doigts et sa peau. Tu te plais à les déplacer légèrement, le sentant contracter son vente à ton passage. Lentement, tu approches ton visage du sien et c’est à ton tour de jouer avec lui. Ton souffle percute ses lèvres. Les tiennes sont entrouvertes et tout laisse croire que tu vas l’embrasser mais au lieu de ça, ta langue vient se mêler à la partie et glisse le long de ses lèvres. Sa réaction ne se fait pas attendre et tu jubiles intérieurement de cet effet que tu as sur lui. Tu prends ton temps pour le torturer bien que la chaleur t’envahisse de plus en plus. Tu prends sur toi et tu conclus ton geste en mordant légèrement sa lèvre avant de te reculer. Un sourire victorieux sur ton visage. Oui tu es fière. Fière de le provoquer et de lui montrer que tu sais ce que tu veux ce soir. La réponse est simple : lui. Ta tête trouve sa place dans son cou et tu profites un instant de son odeur avant de te décider à lui répondre, tes mains se plaçant naturellement sur la ceinture de son pantalon.
« Ca promet d’être intéressant alors, je manie très bien les queues. » Tu viens goûter sa peau en y déposant un léger baiser et tu retires tes mains, t’échappant au passage. « … de billard » Tu laisses échapper un rire avant de lui tourner le dos pour faire le tour de la table. Honneur au dame n’est-ce pas ? Il ne va pas être déçu. Dans l’armoire, tu te saisis d’une queue (oui c'est bizarre de dire ça dans ce genre de contexte) de billard ainsi que d’une craie que tu appliques avant de rejoindre la table. Les boules sont en place, tu n’as plus qu’à casser. Tu prends la position la plus adéquate, cul en arrière, poitrine en avant lui offrant une magnifique vue sur ton décolleté. Et tu tapes, laissant les boules rouler sur le tapis sans que tu y fasses plus attention. Tu te recules jusqu’à te retrouver contre le mur,, ton pied contre celui faisant remonter la tunique que tu portes par dessus ton short. Il n’y a presque plus de place à l’imagination. « Your turn… » Si tu gagnes, il te montre ce que tu veux voir , s’il gagne, tu ne sais toujours pas ce que lui gagne mais tu n’es plus sûre que ça t’importe car qu’il gagne ou qu’il perde, tu ne résisteras pas à ton envie de le déshabiller.
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Sujet: Re: Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco. Mer 22 Mar 2017 - 19:20
Retrouvailles à San Francisco.
MARIE & NICHOLAS
Je l’avais coincé contre la porte de cette pièce qui allait être le témoin d’un nouveau tournant dans notre relation, cherchant à lui montrer que je pourrais la faire craquer à tout moment si je le souhaitais, alors qu’elle laissait ses doigts glisser sur ma peau. Cette sensation était assez prenante, m’amenant à contracter mes muscles sous les frissons que cela entrainait sur ma peau. Mes yeux ne cessaient de jongler entre les seins et ses lèvres qui s’approchaient de plus en plus des miennes. Elle semblait vouloir m’offrir un baiser, mais cela me semblait trop facile. J’en avais envie, bien trop même, mais je me doutais qu’elle ne le ferait pas, elle n’allait pas me laisser gagner aussi facilement, j’en étais certain. Mais ce dont je ne m’attendais pas, c’était de sentir sa langue glisser sur mes lèvres. Je ne pus m’empêcher de fermer mes lèvres sur sa langue pour lui aspirer doucement, refusant de céder à la tentation du réel baiser, rouvrant alors la bouche légèrement pour la laisser faire ce qu’elle voulait de moi, comme mordiller ma lèvre apparemment, ce qui me fit sourire d’envie.
J’avais très clairement quelqu’un qui aimait autant joué que moi en face de moi, et j’appréciais bien trop ça. C’était sans doute pour ça que j’avais ouvert la bouche pour lui parler du billard. Je voulais nous détourner de notre envie, de ce besoin de se toucher même si de ce côté-là, j’évitais soigneusement de poser mes mains sur elle. Mais elle semblait être déterminé à ce que nous oublions la billard au vu de ses mains qu’elle avait posé sur ma ceinture. J’étais partagé entre deux sentiment. Cette excitation et ce besoin d’aller plus loin avec elle, mais aussi cette détermination à faire durer les choses. Les battements de mon cœur s’étaient accélérés attendant de savoir ce qu’elle comptait faire, m’obligeant même à fermer les yeux en entendant ce qu’elle avait à dire, mais surtout sous la sensation que m’imposait ses lèvres sur la peau de mon cou. Je n’avais jamais été quelqu’un d’adeptes du contact humain, ou du moins je n’ai jamais cherché la douceur dans ce genre de situation, mais j’avais remarqué que depuis que je marquais ma peau d’encre, chaque zone qui avait été torturé par de multiple coup de piqure était devenu beaucoup plus sensible aux caresses… Mon cou étant recouvert d’encre, son baiser en ce lieu m’avait lancé une décharge tout le long de la colonne qui me paralysa quelque seconde, lui permettant de m’échapper sans que je ne puisse rien faire.
Elle était douée, je ne pouvais pas le nier, et ça, ça me plaisait énormément. J’avais un sourire joueur désormais fixé sur mon visage, joueur, et charmeur à souhait. Le son de son rire vint bercer mes oreilles avant que je ne repose le regard sur elle. Je l’observais lancer la partie tout en attrapant une queue de billard à mon tour pour me préparer à jouer. Je n’avais bien sûr pas manqué son décolleté qui s’était offert sous mes yeux, mes yeux devaient passer par toutes les couleurs tellement je me battais contre moi-même, contre mes pulsions. J’avais beau ne rien montrer de ce que je pouvais ressentir en règle général, je savais très bien que mes yeux me trahissaient quoi que je fasse. Enervement, excitation, toute les sensations forte rendait le bleu de mes yeux beaucoup plus sombre. Et cette situation dans laquelle elle me mettait faisait partie de ce genre de traitrise de la part de mon regard bien trop expressif pour jouer les indifférents.
Elle avait cassé le triangle des boules de billard afin de débuter la partie, et si habituellement j’observe toujours le mouvement de chacune d’entres elles, là je ne la quittait pas des yeux elles… Elle était belle, ça je le savais, mais là, avec ce regard envieux qu’elle posait sur moi, cette façon d’être caler contre le mur, je ne pouvais faire autrement que de laisser mon regard parcourir son corps à distance, remarquant qu’elle était très peu vêtu, pour mon plus grand bonheur. Mon tour oui… Je le savais, mais pourtant je ne bougeais pas. Au contraire, je restais stoïque, les yeux sur son corps, mes dents torturant ma lèvre inférieur, ne pensant sincèrement qu’à la mettre à nu, et pas seulement au sens stricte du terme, j’avais envie d’en savoir encore plus sur elle, même si en cet instant je tenais surtout à découvrir son corps dans les moindre détails. J’avais tout de même finis par lui offrir un sourire en coin pour me rapprocher de la table que je regardais pour la première fois depuis qu’elle avait lancé le jeu. J’observais le placement de chacune des boules en fonction de la blanche, puis j’ai joué rentrant la première, puis la deuxième. Pour ce qui était de la troisième, il y avait une petite complication, rien dans le jeu en lui-même, mais dans le fait ou lorsque je prenais position pour ajuster mon tir, j’avais une vu imprenable sur la magnifique demoiselle qui partageait ma soirée. Ce dernier geste de ma part fut un loupé, sans surprise, mais il faut avouer que j’avais joué sans un regard sur le jeu, rien que pour elle. C’était à elle de jouer, alors je lui fis signe de prendre place, sans un mot. Je la laissais faire ce qu’elle voulait, me reculant un peu pour lui laisser toute la place qu’elle voulait, ou pas… En effet, le placement de la blanche faisait qu’elle allait forcement se positionner devant moi, je l’avais vu, et j’avais bien évidemment fait exprès de rester de côté là. Après m’avoir exposé son décolleté, elle allait désormais m’exposer son fessier, et mon regard n’avait plus qu’à se délecter du spectacle. Mais je ne m’étais pas contenté de ça, non bien au contraire. J’avais attendu qu’elle joue pour être sûr qu’elle ne me frappe pas avec la queue de billard, et je m’étais rapproché d’elle, me collant littéralement à son dos. Elle m’avait chauffé quelque minutes plus tôt, et chaque regard que je posais sur elle me rappelait ce moment là, ce qui voulait dire qu’en restant aussi proche d’elle, elle ne pouvait plus manquer l’effet que je pouvais lui faire.
Elle s’était redressée, et je ne m’étais pas décollé, au contraire, mes mains s’étaient posé de chaque côté de son corps alors que je plongeais mon visage dans son cou en douceur, pour la sentir, la respirer, et lui faire subir ce qu’elle m’avait fait subir un peu plus tôt, à savoir poser mes lèvres dans son cou pour la torturer, la gouter, laissant ma langue glisser sur sa peau, mes lèvres récupérer le sucre de sa peau, avant de remonter vers son oreille.« J’ai une autre idée pour ce petit jeu… » Mes mains étaient venu se saisir du bas de sa tunique pour la remonter au ralenti jusqu’à ce que ma peau rencontre la sienne. Je pensais pouvoir m’arrêter à ça, mais pourtant, ma main s’était plaqué réellement à plat sur son ventre pour la coller encore plus à moi, mon souffle chaud dans le creux de son cou. « A partir de maintenant, chaque boule que l’on rentre, fait tomber un vêtement sur l’adversaire » Je parlais d’une voix roque, rempli d’envie, laissant mes lèvres caressais sa peau à chaque nouveau mot prononcer. « Qu’est ce que tu en dis ? »
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Sujet: Re: Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco. Jeu 23 Mar 2017 - 18:45
Retrouvailles à San Francisco.
MARIE & NICHOLAS
Tu es piégée contre cette porte mais tu finis par tourner tout ceci à ton avantage. Tes doigts contre sa peau font doucement monter la température, ta langue contre ses lèvres votre envie. Quand tu sens qu’il emprisonne ta langue entre ses lèvres, tu souris. Tu profites aussi et tu le laisses jouer un instant jusqu’à ce qu’il la libère et que tu mordes sa lèvre. Tu veux juste qu’il craque pour toi. Qu’il te soit tout entier pour cette soirée. Tu déposes un doux baiser dans son coup et tu profites de son trouble pour t’échapper et gagner la table de billard en un rire sonore. Tes doigts ont pu découvrir sa peau, ta langue ses lèvres et c’est un supplice de te tenir éloigner de lui. Tu voudrais qu’il te touche, qu’il te goûte, juste profiter de cette soirée. Tu te saisis d’une queue de billard et après y avoir apposé un peu de craie, tu te places de l’autre côté de la table et lui fait face. Tu te penches en avant et lui offres la vue de ton décolleté. Tu n’as pas une poitrine des plus présente, non mais tu es certaine qu’il pourra se rincer l’oeil. Tu casses finalement le triangle et passe ta main dans tes cheveux puis regagnes le mur pour t’y appuyer. Ta jambe contre le mur lui dévoile tes cuisses et tu plonges ton regard dans le sien. Tu aimes ce que tu y vois. Ce que tu peux lire dans son simple regard. De l’envie. Du désir à ton égard. Tu le regardes de la même façon. Tu voudrais lui crier de te prendre là maintenant sur cette table de billard mais tu veux te montrer raisonnable et laisser le jeu se faire. Tu regardes son sourire et le regardes s’approcher pour jouer. Ton regard glisse sur lui. Ton imagination travaille et essaye de deviner ce qui se cache sous ses vêtements. Tu ne suis plus le jeu, plus du tout. Tu mords doucement ta lèvre en te rappelant du contact de ta langue sur les siennes. Ce qu’il peut faire chaud dans cette pièce. Une puis deux, c’est ce que tu constates au bruit que tu as entendu. C’est encore à lui et pourtant son regard ne te quitte pas et il joue. Raté. Tu souris en coin en te disant qu’il l’a fait exprès, mais pourquoi. Tu prends de nouveau place. Devant lui. Cette idée te plait et tu te penches de nouveau pour cette fois-ci lui laisser profiter de la vue de tes fesses. Tu joues et fait entrer une boule. Tu souris à l’idée que cette partie pourrait se terminer rapidement et que les choses un peu plus sérieuse pourront commencer. Tu t’apprêtes à te redresser mais tu le sens se coller contre toi. Tu lâches un léger hoquet de surprise avant de te surprise avant de mordre ta lèvre. Tu le sens contre toi et tu ne doutes pas une seconde que c’est le résultat de tout ce qu’il s’est passé contre la porte. Lentement tu te redresses et tu sens ses mains se poser sur ton corps. Tu souffles longuement. Tu essayes de te contenir mais c’est bien plus compliqué que tu ne l’aurais cru. Il plonge enfin sa tête dans ton cou et tu ne retiens pas ton gémissement. Tes doigts se glissent dans sa nuque pour le rapprocher encore plus de toi et l’encourager à continuer ses baiser et ses jeux de langue. Il te rend la monnaie de ta pièce et tu ne peux pas faire autrement que profiter. Un nouveau sourire s’affiche sur tes lèvres alors que tu gardes les yeux clos. Une idée… ça te plait. Encore plus quand tu le sens relever ta tunique pour glisser ses doigts contre ta peau. Il prend son temps, te fait languir, c’est insupportable mais tu prends sur toi du mieux possible en mordant ta lèvre fortement. Sa main est à plat contre ton ventre et il te plaque un peu plus contre lui. C’est un véritable supplice que de lui résister. Une merveilleuse idée qu’il a là. Et tu es prête à commencer tout de suite. le son de sa voix te laisse clairement deviner ses intentions et tu sais que si tu dois répondre, tu ne cacheras rien de ton désir actuel. Ses mots sont entrecoupés par des baisers dans ton cou et tu penches un peu plus ta tête pour le laisser faire ce qu’il veut. Mais il s’arrête. Ce que tu en dis vraiment ?
« Tu en as rentré deux… j’en ai rentré une… je dis que j’ai le droit de te retirer ton t-shirt et toi... » Tu ne termines pas ta phrase. La sensualité de ta voix parle pour toi. Tes mains se joignent aux siennes et tu le laisses prendre le bas de ta tunique pour la remonter lentement sur ton corps jusqu’à te la retirer. Tu as peut-être un vêtement de moins mais tu as toujours aussi chaud. Même encore plus. Tes mains gagnent ses avant bras alors qu’il est occupé à défaire ton short pour le faire tomber sur le sol. Te voilà en sous-vêtement devant lui et rien ne peut te faire plus plaisir que ça. rapidement, tu fais volte face pour te retrouver face à lui et tu plantes ton regard dans le sien. Un regard joueur, envieux, désireux. Tu prends à ton tour le bas de son t-shirt pour le lui retirer, laissant volontairement tes doigts traîner sur sa peau. Tu laisses son t-shirt quelque part mais ça ne t’intéresse pas. Seul ce que tu as devant toi attire ton attention et tu ne regrettes pas d’avoir attendu. Tes doigts parcourent sa peau, longent ses abdos bien visible. Tes caresses sont rejoints par tes lèvres. Tu embrasses son torse puis descend lentement pour lécher son ventre doucement. Tu apportes tes mains à la ceinture de son pantalon et le regarde avant de lentement te relever. Il peut lui aussi découvrir les quelques tatouages que tu as. Rien de bien exceptionnel en soi mai peut-être suffisant pour lui faire plaisir. Tout le long de ta remontée, tu ne cesse d’embrasser sa peau avant de gagner son cou. Ton souffle chaud s’y échoue et tu prends sur toi pour ne pas te saisir de ses lèvres immédiatement. « Tu es certain que tu veux continuer cette partie ? » Toi tu sais déjà que non. Tu ne veux plus jouer. Ses mains sont posés sur tes hanches, les tiennes toujours sur la ceinture de son pantalon. Tu en glisses doucement une contre lui, par dessus cette bosse significative que tu as sentis contre toi tout à l’heure. Tu veux juste le faire céder à cette envie que vous avez tous les deux. Cette envie de l’autre.
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Sujet: Re: Marie S. Lane & Nicholas Alvarez ▶ Retrouvailles à San Francisco.
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