L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
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| Nev ▶ Birds are born to fly | |
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and all the devils are here
| Sujet: Nev ▶ Birds are born to fly Dim 5 Mar 2017 - 0:39
| Nevio Di Pietro It's raining in the city My head is hot the sky is grey My shoes are so dirty And I don't give a fuck today Perfect Disorder Surname Di Pietro, l’Italie vertigineuse et ses arts qui plissent sous la langue. First name Nevio, mais son entourage l'appelle Nev. birthday le 31 novembre 1991, à Bari en Italie age 25 ans origins Italienne sexual orientation Hétérosexuel relationship status Célibataire university Master en histoire de l'art money maker Receleur d'oeuvre d'art Social climber Très aisé Première chose à laquelle tu penses au réveil Reagan Première chose que tu fais en rentrant le soir Changer de tenue pour débuter ma seconde activité Une musique qui te fait changer d’humeur en un rien de temps Skip the Use / Birds are born to fly L'activité qui te remonte toujours le moral Me perdre dans une galerie d'art Si ta vie était un film, ce serait: The Fall Ce qui te fait le plus facilement pleurer L'absence Ton plus grand complexe Ma taille Ta plus grande fierté Ma soeur Ton mot préféré Nevermind Le meilleur motif pour raccrocher au nez de quelqu'un au téléphone, à tes yeux Ne pas répondre c'est plus efficace. Définis-toi avec une expression Ordinaire Ta personnalité en un mot Blasé Ta personnalité (au lit) en un mot virtuose ? Plutôt sexe ou abstinence ? L'abstience d'un corps qui déraille Tu as le pouvoir de changer le monde. Que fais-tu ? L'art pour tous. Who are you ?you're the judge oh no Il se regarde à peine dans le miroir, il l’évite, il l’ignore autant qu’il s’ignore. Nevio Di Pietro. Elle est là, la seule certitude qui le garde debout. L’empreinte de sa famille, celle qui lui a donné les mœurs noires et l’amour généreux. Mélange déconcertant imprégné de l’Italie. Ils l’appellent tous Nev car quand il était môme il n’arrivait pas à prononcer les syllabes, il bégayait à faire bourgeonner les rires. Des rires de toutes les tailles, de toutes les formes. Y en a qui ont cru qu’il était trop différent pour réussir à s’exprimer correctement un jour. Et puis il a trouvé l’art et sa vérité, l’art et ses mots tangibles. L’allégorie qui se se donne à lui. Certains aiment se représenter la réalité par les lettres, lui est un homme du visuel, du matériel, du sensoriel. L'art joue ce lien entre le monde des morts dans lequel il voyage depuis que Reagan est sortie de sa vie, et le monde des vivants qui est tapissé dans son esprit. Sous ses cheveux ébènes, il y a le plus secret des endroits sur terre. Célibataire par défaut parce qu'aucune fille n’est à la hauteur de ses souvenirs. L’art il en a fait sa vie quand il a compris que les jours de deuils, il n’y aurait qu’elle a ses côtés, le papier et les prunelles, les prunelles et le papier. Ses yeux, ses foutus yeux qui sont son bien le plus précieux. L’argent il coule par ses poches trouées, par ses guenilles qui lui donne l’allure d’un vagabond. Elles complètement ses sourires en haillons, la moitié d’âme qu’il a perdu. Il a l’air de venir de nul part Nev, alors que sa famille est à la tête d’un puissant trafic d’armes et de drogue. Nev il a assez d’argent pour mourir tranquille, mais quand tu le regardes, quand tu t’intéresses à l’homme endormi qui gît sous les lambeaux, tu le vois tel qu’il est. Pauvre jusqu’à la moelle, les os carencés, le cœur brisé. | groupe ◈ Usual suspects, Nev c'est le coupable idéal, le silence constant et ses mystères. Nev tout le monde sait qu'il baigne dans des eaux noirs, qu'elles sont si troubles qu'il ne voit même plus ses propres pieds. Mais Nev personne ne sait réellement ce qu'il fait, Nev c'est un murmure légendaire, ce sont les peut-être échappés du bout des lèvres. |
Wish we could turn back time to the good old days | Criminal recordyou're the judge, set me free Nev il n’arrive pas à voir le mal qu’il fait autour de lui, il arrive pas à appréhender les émotions des autres. Lui il joue à échanger des toiles contre des billets verts. Il jongle avec l’inanimé, il ne blesse personne. Il fait des hommages dans le secret de la nuit. Il offre une nouvelle vie à des œuvres qui moisissent dans de grandes pièces vides. Il ne fait que glisser sa silhouette dans les ombres pour ses plus belles effractions. Nev il pille les maisons mais il ne pillera jamais ton corps. Nev il voit pas le mal dans ses actions, les trente ans de prisons il n’y pense jamais. Parce il est rarement en bande, Nev il officie seul, c’est comme ça qu’il est le plus efficace. Parce que c'est jamais lui qui a le doigt sur la gâchette. Nev son seul crime c'est d'avoir des yeux et un coeur qui bat trop fort. Même au cœur du délit, Nev il fonce, il fait tomber les murs. |
Black mirrorlos angeles perfect disorder Prénom/pseudo Faust/Coco/Coline âge/anniversaire 24 ans, née en Juillet. Pays Entre Belgique et France Présence Quand j'ai le temps. Personnage inventé Intrigue non Où as-tu trouvé le forum ? Celle qu'il ne faut pas nommer. Qu'en penses-tu ? Je le trouve magnifique et les couleurs me rendent heureuse. Newsletter oui En cas de suppression oui Ta plus grande peur vis à vis du forum Beylin et sa cave. Autre chose ? Avada Kevarda. Bottin - Code:
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<span class="bottinpris"> Matthew Daddario</span> • Nev Di Pietro | |
Dernière édition par Nev Di Pietro le Dim 5 Mar 2017 - 17:48, édité 18 fois |
| | | and all the devils are here
| Sujet: Re: Nev ▶ Birds are born to fly Dim 5 Mar 2017 - 0:42
| I got guns in my head Spirits in my head and they won't go Est-ce que tu te souviens encore ? Quand t'm'as transpercé le cœur le soir où tes yeux étaient inondés de larmes. La nuit de l'ouragan qui a démantelé le peu de raison qu'il nous restait. Et puis l’vide. D'un extrême à l'autre. J'sais pas si je l’aime cette solitude mais elle me tient compagnie. Elle est fidèle, constante, parfois je l'ai en horreur, d'autres fois elle est mon seul réconfort. Elle est comme toi. Avant que mon mépris pour tes beaux yeux ne prennent le dessus. T’as rien compris Reagan. T’as toujours été trop stupide pour comprendre. ▶ ▶ ▶ ▶ ▶ Le loquet bouge jusqu'à ce qu'un tintement métallique se fasse entendre, signifiant que l’intrus vient de faire tomber une forteresse. Un simple regard vers l'arrière et son périple délictuel démarre, pénétrant dans une demeure ostentatoire, le bas de son visage est masqué par un un haut col, son ouïe aux aguets. D'après les ordres qu'il a reçu au matin, la maison devrait être déserte, les domestiques rentrés depuis une bonne heure. Une dizaine de minutes plus tard, les lieux formellement identifiés comme vides il se met en chemin vers sa quête. De mémoire, il se souvient qu'il doit tourner à droite une fois dans le vestibule, puis à gauche pour prendre la dernière porte au fond d'un couloir démesurément long. La décoration lui arrache un sourire moqueur, ces riches et leur goût pour le minimalisme, ces objets qui ne payent pas de mine mais qui coûtent un bras. Cette hypocrisie de l'art contemporain qui montre sans montrer, qui semble sans être. Le plus compliqué dans sa tâche est de pénétrer dans les propriétés, dans un musé le plus compliqué est d'atteindre l'oeuvre. Une fois dans la maison il n'y plus qu'à aller récupérer son butin et repartir comme on est venu. La vraie difficulté s'impose avant le vol, lorsque du repérage. Ce travail en amont demande une énergie et une organisation dont il n'a heureusement pas la charge. Il n'est qu'un exécutant de têtes pensantes qui se font des millions sur son dos. Accroché sur le mur du fond d'un grand bureau, le naufrage du Minotaur l'attendant dans son écrin boisé prêt à être cueilli. Descendant le tissu qui cache sa bouche en signe de respect Nev étudie la peinture. Toujours ému en découvrant comme à son premier braquage, ses pensées vagabondes. Qui est-il ici bas, à part ce longiligne jeune homme aux épaules affaissées par le poid de ses responsabilités ? Un affame scélérat amoureux de l'art qui trahit sa maîtresse en la souillant quand il commet ses délits ? Musée, maison, marché noir. Au fond qu'importe, l'art n'appartient à personne. Lui il fait circuler l'art, lui il la fait vivre. La toile rangée dans une grande house il revient sur ses pas. L'adrénaline fait palpiter les ventricules de son organe vital. Ce que c'est bon, cette sensation de se ravitailler d'un sang neuf, d'un sang propre procréé dans le sale. Le déferlement d'émotions nouvelles qui lui barbouille l'échine, Nev est déjà sur le chemin du retour. Devenu un autre, l'enfant gentil, chéri de sa mère laisse sortir le démon lorsqu'il termine ses missions. En ces instants il oublie son foyer lapidé, sa vie sentimentale inexistence, la béance qui lui bousille le ventre de vivre une vie qu'il subit. En pillant les fortunées il a pris la mesure de l'injustice, de ces êtres dont les richesses sont à vomir quand les malheureux comme lui sont réduits à l'état de hors la loi pour garder les finances à flot. La culpabilité n'a pas sa place, coupable tout le monde l'est, ses victimes sont les bourreaux d'autres. Ainsi va la vie.Comme le fleuve qui suit son lit sans jamais en dévier, Nev fait ce qu'on lui demande de faire sans remettre en cause les ordres. Il se fiche de connaitre les véritables intentions du réseau pour lequel il office. Si sa paye tombe alors tergiverser n'est qu'une perte de temps. La répétition des nuits qui se ressemblent sans être similaires lui firent développer une certaine assiduité, un protocole : Rester le moins de temps possible, photographier toutes les œuvres qu'il dérobe, ne jamais voler autre chose que ce qu'on lui a demandé de prendre, et surtout ne pas fouiller dans l'intimité des malchanceux qui croisent sa route. Son histoire est a jamais maculé par ses mauvaises actions, mais il n'en a pas la notion. Lui, l'homme ennemi de la dichotomie entre le bien et le mal, empêtré dans cette perpétuelle zone grise. Cela fait plusieurs heures que Nev est synonyme d’errance. Il se traîne dans les couloirs de l’université, la musique de Radiohead produisant des explosions musicales à son passage, signifiant qu’il ne souhaite pas être approché aujourd’hui. Il baille plusieurs fois de suite, des cernes interminables sous les yeux, ses habits de la veille qu’il porte encore, froissés. La nuit a été compliqué. Il passa près de 6 heures à espérer que le domicile qu’il devait dépouiller d’art finisse par se vider. Mais les occupants n’ont jamais dénié quitter le nid laissant le jeune homme tapis dans le noir à faire le pied de grue. 90 malheureuses livres c’est tout ce que son invasion lui a rapporté. ‘Pour le déplacement’ son supérieur lui avait-il expliqué en lui donnant sa paye. Exténué, il fait glisser les bouts cornés des billets avec son pouce, les comptant pour vérifier que la somme miséreuse n’était pas plus affamée que lui. Il n’avait pas pris le temps de manger au matin, réveillé trop tard, il n’eut le temps que de préparer le petit déjeuner pour sa mère. Sa sœur, filée dans les bras de la nuit, n’avait pas donné de nouvelles depuis la veille. Le compte étant là, il range la maigre liasse dans le fond de la poche de son jean. Il traverse en quelques grandes enjambées lentes la cour de l’université pour rejoindre l'autre rive d'herbe. Il ne voit personne sur son chemin, et il va attendre au pied d’un arbre sans savoir si sa patience sera récompensée. Nev a cette force de pouvoir ignorer son environnement extérieur, il maîtrise son sens de la vue mieux que personne, au point de pouvoir feindre la cécité à l’encontre des éléments visuels qui le dérange. Stratégiquement l’endroit est idéal, il peut voir les flots d’étudiants arriver de toutes parts, mais dans la pratique, il se mange les rayons du soleil en plein visage et celle qu'il cherche à voir n'est peut-être même pas dans l’enceinte de l'établissement. Sa sœur l’inconstante, aussi irrégulière que les vagues qui s’écrasent contre les dunes ensablées de LA, pouvait être enfant de la brise comme monstre des tempêtes. Jamais il ne peut savoir comment le monde s’est occupé de sa moitié et ainsi comment il va la récupérer. Elle peut-être d’humeur à faire des merveilles, à rendre son monde plus beau rien qu’avec la force de son sourire, ou destructrice à l’entraîner plus bas qu’il ne l'est déjà. Nev a besoin de sa sœur comme la vie a besoin d’un souffle. Si lui était la nuit sa sœur était les astres qui peignent son univers. Sans elle, chaque lueur s’éteint et l’espoir n’ose plus se manifester par peur de se prendre une raclée. ▶ ▶ ▶ ▶ ▶ Pourquoi j’déraille comme ça ? Pourquoi il n’y a que moi qui suffoque parmi vous ? Qu’est-ce que tu vois quand tu me regardes maintenant ? Est-ce que ça te tue comme ç’me tue ? T’peux pas dire non, j’peux plus prendre pour tout le monde, j’peux plus être le seul à souffrir comme un chien. Il se réveille comme s’il n’avait pas dormi, les mêmes cernes qu’après une nuit blanche, la même impression d’être passé de la lumière à la lumière sans connaitre l’obscurité. Il quitte le lit comme un voleur, et cherche à calmer la panique qui le prend au corps. Dos au miroir il la regarde, étendue dans son lit, son lit à lui. Il se sermonne dans son fort intérieur. Qu’est-ce qu’elle fout là Nev, qu’est-ce que t’as foutu espèce de con. Lentement il collecte ses vêtements éparpillés dans les quatre coins de sa chambre. Sa torture se prolonge quand Reagan se réveille, les joues encore marquées par les traces de son maquillage coulant. Il ne lui laisse pas l'occasion de parler, peu sur d'être capable d'endurer le son de sa voix. « Sorry. I dind’t mean to use you. » Il rentre le soir, implosé de l’intérieur, sa peine inaudible, imperceptible. La main reposant sur sa cage thoracique pour stopper la lacération que subit sa chaire. L’aigreur qui lui monte jusqu'au visage, passant par sa jugulaire, ses dents, ses gencives, le mal l’immerge, sa respiration qui ne se manifeste plus. Elle est partout, elle s'imprègne dans tous les pores de sa peau, allant se glisser sous son épiderme, faisant de son corps un tombeau dont il ne peut s’échapper. Il pourrait s’évanouir tant l’exercice est un supplice. Chaque soir il s’enfonce dans ses habitudes, détester Reagan de toutes ses forces, trouver un moyen pour calmer ses nerfs sans alerter sa famille. La moitié du temps être rejoint par l'objet de ses délires. Oublier. Oublier la colère. Oublier la rancœur. La dévêtir, finir à deux, peu importe où, peu importe quand. Combler leur vacuité commune. Recommencer, soir après soir, erreur après après. Leur cercle vicieux est une spirale qui déploie les tornades, le cercle grossi de plus en plus subissant l’ouvrage du temps. Les éloignant comme deux apoastres. L'autre moitié du temps elle le condamne à sortir de lui-même, quand elle lui insuffle le pire des reproches « tu aurais pu faire un effort. » Il sait qu’elle est juste morte de peur, qu'elle ne souhaite pas que leur liaison se sache. Et elle connait trop bien Nev, elle connait sa discrétion mais elle voit les changements sur son visage, sa carapace est sur le point de de se fendre, et elle ne veut pas imaginer ce que les brèches pourraient révéler. Si l’amour peut rarement être lu sur le visage de Nev, la tristesse la haine et la désolation siègent sur sa peau. Ce qu’il entend c’est « tu souffres mais tu ne souffres pas assez ». Les mots et leur double sens qu'il ne maîtrise pas, peut-être n'a t-elle jamais voulu dire ça et peut-être qu’il n’aurait jamais pu la comprendre parce qu’ils ne parlaient pas le même langage. Les veines qui doublent de volume à cause de l’afflux sanguin, le cœur alimenté trop vite, le cœur alimenté trop fort. Le visage qui se transforme, qui perd son aspect humain pour laisser la place à une rage démoniaque. Il explose en présence de Reagan, braillant, hurlant, s’égosillant. Les décibels grimpent suivant l'allure de son incohérence, et plus les mots lui manque plus ceux qu’il arrive à extorquer de sa bouche se font brutaux, violents, assassins. Il a besoin de lui dire à quel point il a la haine, à quel point il pourrait lui balafrer le visage si il était un de ces cinglés qui perpétuent la folie et le chaos. Nev a toujours gardé le chaos en lui, peu importait le degré de ses émotions négatives. Il les préservait en lui pour mettre à l'abri ses proches attendant qu’elles le consument. Jeune homme fait de centre, jeune homme qui se dissout. Personne ne sait, personne ne voit que s’il n’a jamais eu de couleur dans le cœur c'est parce qu’il est fait de charbon. Nev et Reagan pyromanes amateurs avaient brûlé toutes leurs chances d'avenir avant même qu'il débute. But the gun still rattles.
Dernière édition par Nev Di Pietro le Dim 5 Mar 2017 - 17:58, édité 27 fois |
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| Sujet: Re: Nev ▶ Birds are born to fly Dim 5 Mar 2017 - 0:46
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| Sujet: Re: Nev ▶ Birds are born to fly Dim 5 Mar 2017 - 8:14
| Bienvenue par ici |
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| Sujet: Re: Nev ▶ Birds are born to fly Dim 5 Mar 2017 - 8:54
| Ouh, contente de voir que tu as craqué. C'est un réel plaisir de te voir parmi nous. (tes avatars sont une tuerie ) Hâte de voir la jolie bouille que tu vas prendre et comment sera le personnage. Bienvenue parmi nous. |
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| Sujet: Re: Nev ▶ Birds are born to fly Dim 5 Mar 2017 - 9:58
| Bienvenue Bon courage pour la rédaction de ta fiche J'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec ce personnage |
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| Sujet: Re: Nev ▶ Birds are born to fly Dim 5 Mar 2017 - 10:02
| L'histoire de Nev... Ok je suis amoureuse, et cette plume Garde-moi un lien, avec n'importe lequel de mes personnages Bienvenue parmi nous avec le beau Matthew
Dernière édition par Andreas Klein le Dim 5 Mar 2017 - 11:21, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Nev ▶ Birds are born to fly Dim 5 Mar 2017 - 10:36
| Bienvenue parmi nous et bonne chance avec ta fiche |
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| Sujet: Re: Nev ▶ Birds are born to fly Dim 5 Mar 2017 - 10:53
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| Sujet: Re: Nev ▶ Birds are born to fly Dim 5 Mar 2017 - 11:18
| Bienvenue j'adhère à l'avatar |
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| Sujet: Re: Nev ▶ Birds are born to fly
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