L.A.P.D. ferme ses portes
L'aventure se termine ici mais promis, ce n'est pas un adieu ! L.A.P.D ferme ses portes mais nous vous invitons à nous rejoindre par ici
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| KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin | |
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and all the devils are here
| Sujet: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin Ven 30 Déc 2016 - 18:05
| Kate Joyce Murray 31 ans • Ecossaise • Les beaux messieurs • Sans coeur fixe, fraîchement séparée Archéologie - histoire de l'art • Conservatrice de musée et intervenante régulière à l'université • Classe sociale relativement confortable • Feat. Gal Gadot QUI ES-TU?Les papiers ne sont guère ce qu’elle préfère mais puisqu’il faut se livrer, dévoiler quelques facéties de son être, c’est avec la plus grande exactitude que les informations suivent l'administrateur qui validera ta fiche. De grands yeux, une silhouette longiligne caractérise la demoiselle Murray répondant au doux nom de Kate, native des terresécossaises. Si les années passent et estompent la jeunesse de certaines, la donzelle demeure encore pimpante du haut de ses trente-et-un ans. Durant ces dernières années, ses préoccupations se portèrent sur ses études en archéologie et histoire de l’art qui lui permettent aujourd’hui d’assurer les fonctions de conservatrice de musée et d’intervenir pour donner des cours à l’Université de LA. Les sentiments sont poignants mais traitres quand il s’agit de son matricule, les damoiseaux qu’elle affectionne la délaissent tandis que son son récent célibat la hante. Et si l’argent peut acheter beaucoup, il ne panse guère les blessures de cette enfance autrefois peu dorée qui aujourd’hui serait assez aisée. Kate, héroïne sans vergogne de ce conte où sa douceur, sa nature conciliante et raisonnée, sa patience mais également sa méfiance, son orgueil et son envie de toujours avoir raison forgent la suite de l’histoire. PORTRAIT CHINOIS• Première chose à laquelle tu penses au réveil: me laver les dents • Première chose que tu fais en rentrant le soir: allumer une bougie • Une musique qui te fait changer d’humeur en un rien de temps: Michael Jackson - Thriller • L'activité qui te remonte toujours le moral: la patinoire • Si ta vie était un film, ce serait: La nuit au musée
• Ce qui te fait le plus facilement pleurer: l'hypocrisie humaine • Ton plus grand complexe: Sailor moon addict • Ta plus grande fierté: ma réussite professionnelle • Ton mot préféré: conformément • Le meilleur motif pour raccrocher au nez de quelqu'un au téléphone, à tes yeux: son absence de conversation
• Définis-toi avec une expression: les chiens ne font pas des chats • Ta personnalité en un mot: conciliante • Ta personnalité (au lit) en un mot: démesurée • Plutôt sexe ou abstinence ? sexe bien que ça dépend avec qui • Tu as le pouvoir de changer le monde. Que fais-tu ? de la neige partout CASIER JUDICIAIRELes quelques frasques qui seront consignées ici sont totalement et irrémédiablement des erreurs de jugement de la part de la donzelle. Elles se comptent au nombre de trois, la première, des plus bénignes, prend les traits d’un excès de vitesse qui aurait pu lui coûter la vie. La seconde n’est guère plus juste puisque encore jeune et innocente, Kate s’était laissée séduire par un homme plus âgé et ce qui devait arriver arriva…sauf qu’elle découvrit par la suite qu’il était marié. Dernièrement, c’est au cœur du musée qu’elle a troqué une ancienne relique contre un faux, le temps de sa restauration sauf qu’elle n’a jamais remis la main sur l’ancienne, apportée un soir à son appartement afin de parader devant ses amis. De ce fait, la cleptomane s’en veut mais est assez fière que, dans son chez soi, quelque part sous une pile de vêtements, trône une pièce phare de leur collection au musée. Finalement, il lui arrive de ne jamais rendre des livres empruntés à la bibliothèque par goût du risque, vous voyez le genre ! L'art devrait être au service du peuple et non prisonnier de digicodes et autres alarmes démesurées. Il lui arrive parfois de subtiliser quelques toiles afin de s'en inspirer pour ses oeuvres et, en cachette, de remettre le tout comme si de rien n'était. Cela fait-il de la trentenaire une criminelle ? Une justicière de l'art, tout au plus. PRÉNOM: C PSEUDO: H ÂGE & ANNIVERSAIRE: quart de siècle dépassé le 31 mai PAYS: France GROUPE(S) SOUHAITÉ(S): INNOCENTS & WITNESSES ou à voir si Kate conviendrait pour RESEARCH & DEVELOPMENT NIVEAU DE RP: Heuu ? Par rapport à quoi ? PRÉSENCE: tous les jours PERSONNAGE: Recherche de Membre AIMERAIS-TU PARTICIPER À L'INTRIGUE DU MOMENT? Oui OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM? Top site QU'EN PENSES-TU? Tip top ! ANCIEN MEMBRE DE FRAT/L.A.P.D.? Nop AUTRES COMPTES: Non plus SOUHAITES-TU T'INSCRIRE AU MP DE MASSE? Oui [X] Non [ ] EN CAS DE SUPPRESSION ACCEPTES-TU QUE TON PERSONNAGE PUISSE DEVENIR UNE DES VICTIMES ? Oui TA PLUS GRANDE PEUR VIS-À-VIS DU FORUM? Me noyer parmi les membres UN DERNIER MOT? - Code:
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<span class="bottinpris"> GAL GADOT</span> • Kate Murray AVATARS tumblr, cristalline & lallybroch ; ICON créateur
Dernière édition par Kate Murray le Sam 31 Déc 2016 - 19:24, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin Ven 30 Déc 2016 - 18:07
| Mon histoire commence ici ... « OUVRE LES PORTES DU CHATEAU OU RESIDE L'AGNEAU INNOCENT » Fébrilement, je tenais cet objet qui faisaient ressurgir ces douloureux souvenirs. Je ne pouvais mettre ce foulard, vestige d’une reine qui brilla longtemps avant de retourner parmi les étoiles. Je serrai l’objet à bout de doigts, crispant le poing et mon visage devint le rappel de ses sentiments qui m’avaient jadis envahis. Remontaient à ma mémoire ces moments de joie lorsqu’elle dansait avec ce bout de tissu, cadeau de mon père qu’elle affectionnait comme la prunelle de ses yeux. Je me remémore encore son rire cristallin qui aujourd’hui repose six pieds sous terre, cet ange avait quitté la terre à l’aube de mes douze ans et, si j’étais assez grande pour me dire mature, j’avais encore besoin de ma maman. A la maison, nous étions cinq, mon père qui foulait chaque jour les chantiers, prêtant ses bras experts afin de mettre une pierre de plus à l’édifice. Ma mère, une rêveuse invétérée, pensait gagner fortune de ses croquis, allant de la simple robe de danseuse pour sa fille au costume empli de paillettes et de strass digne d’une princesse. A vrai dire, elle était ce rayon de soleil qui berçait notre quotidien, mon père et mes frères et sœurs. Nous n’avons rien vu venir…mais ce chauffard a plaidé l’inconscience de ma mère alors qu’il était sous l’emprise de drogues. Il a certes été condamné mais sa remise en liberté après plusieurs années marque une faille dans sa sanction. Hélas, je ne suis guère rancunière et plus que de la colère, j’éprouve une grande pitié envers cet être égaré qui a fini son existence dans les rues d’Edimbourg, sans foyer ni famille. Nous n’avons point grandi dans l’opulence, vivant dans un quartier populaire de la capitale écossaise, dans un logement social modeste mais avec tout l’amour qu’il fallait pour nous tous. J’étais l’aînée et la tâche fut ardue lorsqu’elle décéda. Je remplaçai par certains côtés cette figure maternelle tandis que mon père se reposait parfois sur moi. Etais-je envieuse de la place de mes cadets ? Certes pas, j’ai promis à ma mère de veiller sur les miens et jamais je n’aurais pu faire comme la grande sœur égoïste. Alors, j’ai pris sur moi.
J’étais inquiète, inquiète de perdre les brides de ses traits dans mon esprit alors je griffonnais sur des pages et des pages son antique sourire, ses yeux malicieux et sa crinière d’ébène, pensant qu’ainsi, ces gestes méthodiques graveraient son image à mon esprit. Auparavant, j’avais pour coutume de dessiner les paysages d’Edimbourg où elle m’emmenait et de reproduire ses esquisses, aujourd’hui, elles sont bouclées dans la boîte qui détient tous mes trésors. Et si cela ne devint pas un métier, je le gardais pour passion. J’étais telle une machine durant ma scolarité, tentant d’avoir les meilleurs résultats pour sortir de ce chaos social qui s’infiltrait peu à peu entre nous, d’ailleurs, mes 16 ans révolus, je gardais déjà des enfants et aidais dans un petit café du coin. L’argent qu’il me restait servait aux loisirs de notre famille. Je n’ai jamais été vénale mais j’ai toujours eu ce manque. Dès lors que ma scolarité obligatoire fut terminée, je pensais à travailler concrètement mais mon père m’en empêcha, il me força à m’inscrire à l’université où je me passionnai désormais pour l’archéologie et l’art, trouvant de la beauté dans l’histoire de ces objets datés. A l’aube de ma troisième année d’études, on me proposa une bourse pour partir étudier à Los Angeles, hésitante et inquiète, les miens avaient déjà migré et s’étaient construits des bases solides dans la vie. De plus, mon père pensait qu’ainsi, il pourrait voyager un peu en faisant escale sur mon nouveau continent. J’acceptais et me retrouvais donc à LA la puissante, sans repères ni points auxquels me raccrocher.
En alternance et afin de rendre mes fins de mois plus joyeuses, j’occupais un poste au musée, à l’entrée, renseignant les visiteurs mais ne touchant qu’avec le regard les lieux qui m’intéressaient vivement. C’est en début d’après-midi que je quittais le musée et décidai de déambuler dans les rues à la recherche d’inspiration. Je me remémore cette fontaine où j’étais adossée, observatrice du ciel, cherchant l’incandescence des étoiles derrière ces hauts nuages qui désormais étaient encrés sur mon calepin. Je ne faisais que peu cas de ce qui m’entourait sauf qu’à ces nuages s’ajoutèrent des yeux, ses yeux qui trahissaient je ne sais quel sentiment, peut-être le même que celui flottant dans les miens à cet instant-là. Il devint mon pilier à LA, source de beaucoup de mes projets et objet de mon affection. Je n’avais jamais été friande des valses amoureuses et des mots doux susurrés plus par nécessité que par envie. Pourtant, cela était différent avec lui. Une année après, nous emménagions ensemble tandis que je finissais mes études. Un bonheur quotidien, de simples joies qui pansaient certaines de mes plaies. Hélas, la vie n’est pas un long fleuve tranquille et, un an plus tard, il m’annonçait la fin de notre histoire, la fin d’un tout…notre fin à nous. Et si je me démène quand j’aime, j’ai respecté son choix, pensant que mon attitude devait pêcher ou peut-être la fin de mes études et l’approche d’un futur poste lui faisant peur. Je ne comprenais pas. J’eus la décence de ne pas laisser les larmes m’envahir devant sa personne mais le lendemain, une fois son service pris, je bouclai mes affaires désertant ce territoire qui désormais me serait inconnu. Je ne serais plus l’inquisitrice de ses allers venues, m’inquiétant de ses retours tardifs. Je le ferai mais en silence, de mon côté. Et si je n’ai jamais tiré un trait sur cette histoire car il n’y a pas eu de réelle fin, j’ai tenté de passer à autre chose même si je guette souvent les informations, le cœur haletant, priant que son nom n’y figure point.
Je lâchai l’objet de mon chagrin et observai par la fenêtre. Aujourd’hui, j’étais conservatrice au musée de Los Angeles ayant appris à aimer cette ville comme celle de mon adoption. J’ai régulièrement des nouvelles des miens et, je n’arrive à me projeter dans le futur, probablement seule avec mon chat qui vint à l’instant se lover contre moi. Je soupirai, mes aspirations de jeunette s’étaient concrétisées et si je n’avais réussi à retrouver à l’amour, sortant à peine d’une relation tumultueuse où ses sautes d’humeur finissaient parfois en excès de violence verbale et physique. J’y pense quelque fois à Adam, à ce qu’aurait pu être notre futur et au final, je reviens à ma vie, dessinant parfois son sourire au détour de cette fontaine.
AVATAR © créateur ; ICONS © créateur & créateur
Dernière édition par Kate Murray le Sam 31 Déc 2016 - 19:21, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin Ven 30 Déc 2016 - 18:19
| Preeeeeeem's ! Très bon choix d'avatar ! Bienvenu parmi nous et bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin Ven 30 Déc 2016 - 18:31
| Gal Gadot... la plus belle ! Bienvenue |
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| Sujet: Re: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin Ven 30 Déc 2016 - 23:38
| J'adore déjà le choix de Métier et tout, mon dieu Bienvenue et merci encore d'avoir choisi mon pré-lien, je sens qu'on va bien s'amuser |
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| Sujet: Re: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin Sam 31 Déc 2016 - 9:53
| Merci les amis Ravie d'être sur la même longueur d'onde Adam |
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| Sujet: Re: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin Sam 31 Déc 2016 - 12:13
| Bienvenue parmi nous Good luck pour ta fiche and have fun |
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| Sujet: Re: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin Sam 31 Déc 2016 - 19:26
| Merci ma belle J'ai terminé du coup, à voir juste avec Adam si ça lui convient |
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| Sujet: Re: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin Dim 1 Jan 2017 - 11:28
| "Bonjour madame je suis bien amoureux de vous pouvons nous nous marier ?" Alors ta fiche est ... Sublime, et divine, et parfaite et ... Tu es exactement comme j'imaginais Kate, je suis bluffé ! Enfin je ne l'imaginais pas en soit mais tout ce que tu as écrit correspond aux vagues idées que j'avais, et tu as su donner une profondeur et un sens à chaque détail, comme le dessin par exemple, franchement, je suis sans mots face à toute cette merveille. Et j'aime beaucoup le côté un peu cleptomane de la demoiselle, ça promet des rebondissements intéressants. Hâte d'explorer ce fantastique lien entre nos deux personnages en plus de profondeur. |
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| Sujet: Re: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin Dim 1 Jan 2017 - 19:40
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| Sujet: Re: KATE ▶ laisse mes doigts guider ton destin
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